Tiens!

Publié par Audrey le samedi, mars 31, 2012 0 bouteilles à la mer...
Les premiers "mots" de bébé, quelle joie pour les parents. Bébé 1er est très volubile à 12 mois, mais on ne comprend pas vraiment. Il semble s'exercer à contrôler les sons qu'il émet. C'est mignon. Mais de plus en plus, on peut retrouver les mêmes syllabes dans les mêmes contextes, ce qui nous fait assumer que, parfois, "on le comprend"!

Depuis quelques semaines, on entend souvent le "ta!" caractéristique de "tata!", qui veut dire au revoir. Il est toujours accompagné de l'adorable menottte qui bat le vent, sans toujours s'adresser à quelqu'un en particulier.

On a maintenant une nouvelle syllabe devant laquelle se pâmer... C'est "tin!". En fait, c'est un dérivé de "ta!", avec une tonalité légèrement différente qui rappelle le mot "tiens!". Il est toujours accompagné d'une main tendue avec un objet. On ramasse l'objet et on répond "Merci!". Et le sourire que ça provoque... ça vaut de l'or!

Image : OpenClipart
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De vieilles et nouvelles habitudes

Publié par Evely le jeudi, mars 29, 2012 3 bouteilles à la mer...
Il y a quelques mois de ça, j’ai changé mon coin lecture. Je me suis débarrassée des vieilles chaises qui étaient plus âgées que Superpapa. Je me suis acheté un fauteuil en cuir qui embrasse les courbes de celui qui s’assoit sur son coussin. J’ai placé une lampe qui surplombe le coin pour que toutes les livres puissent s’illuminer dans les mains de son lecteur. Mon horloge grand-mère reste fidèle à son tic tac sur le mur de droite. Comme toujours, elle nous suit et rythme nos vies. À l’autre coin, la fenêtre donne sur la rue d’en avant où gisent les lambeaux des dernières neiges alors que le printemps renaît. L’ambiance est parfaite pour la lecture et la relaxation.

Je me suis munie de deux nouveaux livres pour mon congé de maternité. Je ne sais pas si j’aurais le temps de les lire. Depuis que je suis en couple, je lis beaucoup moins. En fait, j’ai remplacé mes moments de lectures par des moments de couple, puis par des moments familiaux. Pourtant Superpapa me dit que je devrais reprendre le temps de lire, car il sait combien j’aime ça et que ça me relaxe. Donc, je suis la seule qui m’empêche de m’adonner à un de mes passe-temps favoris.

Je me suis donc dit que mon congé de maternité serait le moment idéal pour reprendre cette vieille et très bonne habitude. En fait, je compte me pousser à reprendre plusieurs bonnes habitudes au courant de l’année et en développer des nouvelles.

J’ai hâte de recommencer à faire du sport. Superpapa va me dénicher un jeu de danse sur la Kinect. Bon, je ne suivrais pas de vrai cours de danse parce que j’ai deux pieds gauches, mais devant bébé 2, ça ne va pas trop paraitre.

J’aimerais aussi faire un peu plus de cuisine. Depuis quelque temps, j’ai des idées de recettes. Évidemment, je ne promets pas que ce sera délicieux, mais j’ai le goût de m’essayer.

Avec le couple, la carrière et la famille, on s’oublie des fois un peu. On se met de côté, on met nos passions de côté pour prendre soin des nôtres. Le plus drôle, c’est qu’ils n’en demandent pas tant. Superpapa m’a offert du temps pour moi pendant cette grossesse. La plupart du temps, j’en ai profité pour faire des roupillons de femme enceinte. Enfin, je me suis rendu compte que la meilleure manière de le remercier de ces belles attentions et peut-être de ne pas m’effacer, mais bien d’être moi avec mes passions, mes aspirations et mes angoisses.

Crédit photo © Kamal H
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Vous êtes-vous trouvé ?

Publié par Anik le mercredi, mars 28, 2012 8 bouteilles à la mer...
« Vous êtes soit un être qui se cherche, soit un être qui sait où il va. » C’est dans le livre « Réussir à tout prix – Je réussis, je gagne, maintenant! » de John et Shirley Lane-Smith, que je suis tombée sur cette citation de Zig Ziglar. Ça m’a fait sourire, et penser en particulier à mon amie Edith, parce que je me suis longtemps cherchée (nos nombreuses conversations téléphoniques en faisant foi)… J’estime que je ne me suis d’ailleurs pas encore entièrement trouvée, mais ça avance bien. Comment le sais-je ? Par mes actions, qui convergent de plus en plus vers les mêmes buts ou intentions.


J’ai le sentiment que plus on sait ce que l’on veut, plus nos actions sont efficaces. Voilà pourquoi, la plupart des matins, j’aime fixer mes intentions de la journée. Il s’agit simplement que quelques buts que je veux atteindre d’ici mon retour au lit. À la fin de la journée, je vérifie simplement si j’ai atteins mes objectifs… et j’en retire de la satisfaction.

Depuis quelques semaines, j’ai décidé d’initier mes filles au concept d’intention. En déjeunant avec elles, je leur demande : « Et puis, les filles, quel est votre plan de match aujourd’hui ? ». J’avoue que souvent, j’obtiens un « Je ne sais pas », mais je persévère. À force de leur poser cette question, avec le temps, je suis convaincue qu’elles finiront par avoir des réponses plus étoffées… Et en terminant la journée par une question sur la gratitude, du genre : « Qu’est-ce qui t’a fait plaisir ou que tu as aimé aujourd’hui », bien je les aide à construire, petit à petit, le chemin de leurs intentions…

Et vous, vous savez où vous allez ? Avez-vous l’impression que vos enfants aussi ? Comment les aidez-vous à avancer ? En commentant ce billet, vous courez la chance de remporter votre exemplaire de « Réussir à tout prix – Je réussis, je gagne, maintenant! », publié aux éditions Un monde différent.
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La "sale" de jeux

Publié par Julie le mardi, mars 27, 2012 9 bouteilles à la mer...
GrandeSoeur, découragée - Maman, je suis tannée de faire un gros ménage de la salle de jeux juste avant que madame S vienne faire le ménage!

Julie, en rajoutant - Ouais, mais c'est dommage. Si vous ne ramassez pas votre bazar, elle ne passera pas l'aspirateur dans la salle de jeux.

GrandeSoeur, en quête d'un projet - Est-ce qu'on pourrait faire un tableau des responsabilités? Comme ça, on ferait plusieurs petits ménages plutôt qu'un gros. Il me semble que ça irait mieux.

Julie, heureuse que l'idée vienne d'elle - Mais je me demande comment tu vas réussir à faire comprendre le tout à Frérot...

GrandeSoeur - J'ai déjà pensé à PetiteSoeur. Je vais lui faire des dessins pour qu'elle comprenne bien.

Julie - Bien lâche-toi lousse, ma belle!

© GrandeSoeur (Le lapsus du titre n'est pas de moi)
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Les potins du dimanche

Publié par Julie le dimanche, mars 25, 2012 6 bouteilles à la mer...
Changement de décor chez nous. À peu près toutes les pièces y ont passé! Des nouvelles couleurs, des nouveaux accessoires, de nouvelles ambiances. ---

Prochaine étape: on épure!
Attention, ça va revoler!

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Tout le monde en parle...

Ça revole aussi chez Grenouille verte
La saison du ménage

Ça cuisine chez Isabelle
Carrés à l'avoine et au dulce de leche et chocolat

Le verre à moitié plein chez Karine
Vie

Une découverte glanée chez Isabelle
Beauty that moves

Daisy pense à tout
Mes petits trucs pour la créativité des enfants

Maman se cuisine partage
La meilleure chose à faire pour sa santé

Maman@home est scotchée
La customisation du sexe féminin

Michèle fait une mini étude sociologique des gens trop énervés par le printemps
Billet pour attirer les hommes

Mon dernier billet sur mon blogue professionnel
1, 2, 3, tweetez!

Crédits photo: Licence CC found drama
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1 an pour Bébé premier… eh oui déjà!

Publié par Audrey le samedi, mars 24, 2012 1 bouteilles à la mer...
Ça y est, on a franchi le cap de la première année avec Bébé 1er. Tout le monde a survécu, fiston a l’air de trouver que nous sommes de pas-si-mauvais-parents après tout… Bref, je pense qu’on s’en sort plutôt bien!

Nous n’avons finalement pas sacrifié tant de sommeil que ça. Nous avons un petit coquin qui se réveille souvent à 6h, parfois 5h30, mais il dort super bien tout le reste de la nuit. Il grandit à vue d’œil et c’est tellement merveilleux de le voir faire des progrès. Lui dire « bye bye » et voir sa petite menotte se lever et faire le geste en marmonnant « ta!! », c’est tout simplement extraordinaire. Je le regarderais bien une journée entière me faire des « ta!! ».

Côté vocabulaire, nous sommes limités à « ta!! ». Une journée, une seule, il a dit « meman… ». Il l’a pratiqué toute la journée, puis plus rien. Mais je sais que ça reviendra…

Il fut un moment où j’étais un peu exaspérée de voir qu’il ne pouvait vivre sans son papa alors que si je n’étais pas près de lui, ce n’était pas grave… Ça s’est replacé depuis, maintenant j’ai regagné de l’intérêt, à mon plus grand bonheur.

Sinon, nous avons vécu le grand questionnement familial : change-t-on de voiture pour accommoder nos besoins grandissants? Nous avions finalement statué que nous attendrions, mais finalement, entre Vieille Bagnole et Voiture Expérimentée, c’est Mme Expérimentée qui a flanché cette semaine. Nous avons donc dû précipiter un peu le projet, à notre plus grand contentement cela dit… Nous voilà endettés comme tout bon ménage québécois! Pour ceux que ça intéresse, nous avons choisi le VUS (il était hors de question pour moi d’aller vers la minivan avant d’avoir au moins 6 enfants. J’exagère un peu, mais à peine…).

Bébé 1er a eu deux boutons. Oui oui, un sur le ventre et un dans le dos. Bon d’accord, un peu plus, mais des tout petits de rien… je me demandais ce que c’était, jusqu’à ce que je demande à la gardienne de me dire ce qu’elle en pense. PANIQUE! C’est une varicelle! Alerte alerte! Les parents d’une petite fille qui se fait garder décident de ne plus l’envoyer! Pourtant, si c’est bien cela, le mal est fait mes amis… Bon, 7 jours plus tard, on voit toujours des boutons, mais vraiment pas de varicelle… de minuscules têtes d’épingle qui disparaissent et réapparaissent en grappes de jour en jour… Au CLSC, on suggère une roséole. Tiens tiens, justement ce que la petite-fille-qui-ne-doit-pas-attraper-la-varicelle a eu il y a deux semaines… Je commence tout juste à me sentir moins paria, moi qui ai OSÉ emmener mon enfant à la garderie avec 2 boutons… Ouf!

Les hauts et les bas d’être parent, jusqu’à maintenant, ça me va! On continue! Je t'aime mon Bébé 1er!

Crédit photo : Mommy Walking Baby
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Comment être optimale dans le transport ?

Publié par Anik le vendredi, mars 23, 2012 3 bouteilles à la mer...
Hier, j’ai rencontré le KING d’utilisation du temps dans les transports publics. Pour ma part, j’ai toujours adoré les transport en commun… Une belle façon pour moi d’écrire, de lire ou encore de travailler tout en me laissant porter… Je me suis toujours dit que je savais rendre leur utilisation optimale pour éviter toute perte de temps. Mais le KING en question m'a fait remettre en question ma suprématie... ;-)


Assis dans la 31, à 23h00, le mec… se passait la soie dentaire! Lui, quand il arrive à la maison, il s’en va direct dans son lit sans aucune perte de temps, j’en suis certaine!

Et vous, quelle est l’activité la plus inusité que vous ayez pu observer dans les transports en commun ?
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Le dernier droit

Publié par Evely le jeudi, mars 22, 2012 3 bouteilles à la mer...
Je suis dans le dernier droit de ma grossesse. Il me reste moins d’un mois à faire. Je peux vous affirmer sans gêne que je n’en suis pas mécontente. Je me souviens qu’à ma première grossesse, mon écœurantite s’est fait ressentir vers la 39e semaine. Ce coup-ci à six mois, j’étais prête à faire sortir bébé. Je ne me supporte plus. J’ai sale caractère, je n’ai plus de souffle, je n’arrive presque plus à mettre mes bottes, j’ai tout le temps chaud et je suis énorme. Pourtant à ma première grossesse, j’étais bien plus ronde et moins en forme, mais ça ne me dérangeait pas autant.

Beaucoup de gens me disent que c’est du fait que j’en ai déjà un et que, du coup, j’ai moins de temps pour moi. C’est en partie vrai, cela dit, je pense que c’est aussi le fait que je sais ce qui vient après. Non, je ne parle pas de l’adorable petite créature qui va me faire fondre de bonheur. Je parle des nuits entrecoupées, du changement radical de routine et de l’adaptation à cette nouvelle réalité. Bien sûr, cette fois, je sais plus à quoi m’attendre, mais la réalité reste que mon besoin de contrôle sera confronté à une créature de sept livres qui n’en a rien à cirer de mes besoins à moi.

J’adore être maman. C’est la plus belle chose qui me soit arrivée. C’est d’ailleurs une des raisons que je répète l’expérience. Sauf que, quand on a vécu un post-partum au premier, il nous reste une crainte de récidive au deuxième. Une crainte que seul le temps peut détruire. Alors j’ai hâte d’être rendue là et de la confronter. De pouvoir dire, ben non pas ce coup-ci, pas de crise de larmes, pas de sentiment d’impuissance et d’incompétence. J’ai hâte d’être moi de la tête aux pieds. Et si post-partum il y a, j’ai hâte de me battre contre moi-même pour vivre pleinement ces moments privilégiés du début de vie de mon enfant.

Ça fait tellement longtemps que je vois ma famille dans ma tête. Mes deux enfants et mon fiancé. Je suis à deux doigts d’avoir ce bonheur que je ne me peux plus. J’ai hâte. Mon écœurantite me vient du fait que j’attends impatiemment ce moment. Mon grand, mon petit et mon amoureux. J’attends de voir si je serai à la hauteur. J’attends de vivre ces grandes fatigues qui viennent avec un nouveau-né, mais aussi ces petits moments douillets. Ce sont toutes ces choses qui font que j’arrive à mettre mes bottes malgré ma bedaine, à monter les marches lentement en prenant mon souffle vingt fois, à mettre des camisoles en hiver et à être tout le temps fatiguée.

Superpapa et moi avons toujours dit que deux enfants seraient assez pour nous. C’est donc la dernière grossesse que je vis. J’ai de la misère à croire que je ne sentirais plus les coups de pieds dans mon ventre. J’ai de la peine quand je pense que je ne sentirais plus les contractions qui raidissent mon corps. Je ne comprends pas encore que mon corps m'appartiendra à nouveau complètement. C’est un deuil à faire et une liberté à réacquérir. Mes deux garçons seront mes seuls enfants. C’est ce que j’ai toujours voulu et j’en suis heureuse. Même si je suis « à boutte » d’être enceinte, je roucoule de bonheur à chaque moment que je vis pour une dernière fois en tant que femme enceinte.

Crédit photo: Licence CC cyrilgalline
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Et celle dont le couple sera satisfaisait est...

Publié par Anik le mercredi, mars 21, 2012 1 bouteilles à la mer...
Angel! Elle remporte sa copie du livre « L'amour sexship », de David Bernard et Chantal Lamontagne publié aux éditions Un monde différent, car elle a commenté l'un des trois billets que j'ai écrits à propos de cete excellent livre... Pour celles qui auraient raté ces infos, découvrez :

- la règle infaillible pour le couple
- les 20 secondes qui changent tout
- comment améliorer votre vie de couple en 10 secondes

Angel, contacte-nous à la-mere-est-calme@hotmail.fr pour nous donner tes coordonnées. Nous te posterons ton livre!
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Pas un pli sur la différence

Publié par Julie le mardi, mars 20, 2012 1 bouteilles à la mer...
Toute la petite famille revient de faire les courses. L'entrée déborde de victuailles et objets à ranger ici et là dans la maison. Le trio s'éclipse mystérieusement.

Julie, se disant qu'une fille s'essaye - PetiteSoeur? Irais-tu ranger les boites de mouchoirs?

PetiteSoeur, soupirant - Bon, d'accord.

PapaZen, précisant la demande - SVP, ranges-en la moitié dans la salle de bain d'en haut. Et range le reste dans la salle de bain d'en bas.

Et PetiteSoeur de s'exécuter en trainant les pieds, faisant même deux "voyages de lâche" pour couper court.

Voyez le résultat.

En bas...

En haut...

Ça c'est du service!

Crédits photo: Licence CC THEfunkyman
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Les enfants, une raison pour ne pas faire de sport ?

Publié par Anik le lundi, mars 19, 2012 2 bouteilles à la mer...
Quand je parle avec des copines, plusieurs me disent ne plus avoir de temps pour faire du sport à cause des enfants. Et là, je parle de tous les sports… à la verticale comme à l’horizontale… ;-) J’avoue qu’il m’est arrivé à plusieurs reprises, les fins de semaine où j’étais en mode monoparental, de ne pas bouger de la journée, à part pour m’activer à faire du ménage (parce qu’on s’entend qu’essayer de conserver une maison propre avec 3 ou 4 enfants, c’est comme tenter d’avoir une cour dégagée pendant une tempête d’hiver : il faut que tu t’actives à pelleter en titi!).


Enfin, été comme hiver, mon trio semblait m’empêcher du faire du sport comme je l’aurais voulu (c’est-à-dire avec une intensité intéressante). Impossible d’aller faire du vélo avec mon trio parce que la dernière ne suit pas, impossible d’aller suivre un cours au gym… Il ne me restait plus qu’à manger mes émotions à la maison! ;-)

Plus maintenant ! J’ai réalisé, la semaine dernière, une chose… Alors que je passais devant depuis trois mois, je n’avais pas remarqué qu’à ma succursale d’Énergie Cardio, il y a une salle pour enfants. Avec une petite télévision, des jeux… Bref, je peux apporter mes filles et m’entraîner pendant qu’elles jouent une petite heure. Quel bonheur ! Plus de raison de me priver de bouger ! Alors, à celles qui croient que les enfants nuisent à l’entraînement, plus de raisons, non ?

Et vous, vos enfants vous font-ils bouger ou vous font-ils plutôt ralentir ?
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Les potins du dimanche - Un peu... beaucoup!

Publié par Julie le dimanche, mars 18, 2012 4 bouteilles à la mer...
Mardi soir, c'est zumba pour moi. Quand j'arrive, mes trois mousses viennent tout juste d'être bordés par PapaZen. ---

Cette semaine, Frérot, encore éveillé, m'a entendue franchir le pas de la porte. ---

Frérot, dans son lit - Maman! Tu es revenue? ---

Julie, se déchaussant - Oui! C'est moi! Veux-tu que j'aille te coller un peu pour te dire bonne nuit?

Frérot, coquin - Non, pas un peu. Beaucoup!

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Tout le monde en parle...

Toujours pratiques dans les boîtes à lunch les idées de Nancy
Moi rebelle?

On magasine entre femmes chez Anne-Marie
Le poids de l'âge


Ça compte chez Lucie
Les quantités, c'est relatif

Un nouveau livre pour Solène
Petit Loup rentre à l'école

À essayer!
Défi 100 couleurs

Avant, après... chez MaxiMaman
Révision des exigences à la baisse

Émotions chez Karine
L'homme de ma vie

Marie-Julie fait réfléchir
Un accident de voiture et la vie de mon amie bascule...

Primeur chez X-Mom
Sur la place publique

Bon dimanche!
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Le ménage : calvaire ou bénédiction ?

Publié par Anik le vendredi, mars 16, 2012 4 bouteilles à la mer...
Vendredi, 6h30… Je me lève, sans enfants… Un objectif : faire du ménage. J’ai lu récemment que le ménage aidait à être de meilleure humeur. Et vous savez quoi, je pense que c’est pour ça que je n’ai pas de femme de ménage. Certes, il serait aidant d’avoir un coup de pouce. Cependant, on dirait que je n’en ai pas envie. Ces quelques heures par semaine, avec de la musique en guise d’ambiance, me font du bien. Je décroche, je ne pense à rien, ou encore je pense à des choses qui me plaisent… Et la maison devient telle que je la souhaite. Propre. Rangée, nette…

C’est drôle, parce que pourtant, avant, je détestais « perdre mon temps » à faire du ménage. Ça a bien évolué. Et ça me rappelle ce sage conseil de mon ex-mari : « Trouve du plaisir à faire ce que tu fais, qu’importe ce que tu dois faire… » Bon, je n’ai pas encore réussi à trouver du plaisir à faire mes impôts (parce que je paye toujours, entre autres), mais j’ai préparé mon rapport en toute neutralité, ce qui est déjà une amélioration.

Et vous, le ménage, ça vous dérange ou ça vous plaît ? Arrivez-vous en général à éprouver du plaisir dans les tâches moins « reluisantes ? »
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Au bout de soi-même

Publié par Evely le jeudi, mars 15, 2012 3 bouteilles à la mer...
Avez-vous parfois l’impression de ne pas aller jusqu’au bout de vos capacités ? Sentez-vous que vous pouvez performer dans toutes les sphères de votre vie? Que vous atteignez non pas seulement les objectifs que vous vous êtes fixés, mais aussi ceux que vous pouvez rejoindre ?

Depuis quelques années, ma sphère professionnelle évolue beaucoup. En fait, depuis plus de trois ans, je suis une analyste en planification et contrôle de projet (mieux connu sous le nom de PCO – projet controler officer). J’aime bien ce que je fais, mais dans ma tête et dans la tête de mes supérieurs, ça toujours été un emploi tremplin. En fait, même quand j’étais secrétaire-réceptionniste c’était dans le but de monter dans la hiérarchie et de devenir chargée de projet. Il y a donc longtemps que je travaille vers ce but.

Pourtant, plusieurs circonstances ont freiné ma graduation. Entre autres, alors que j’étais secrétaire-réceptionniste, un poste s’est ouvert. Pour mes patrons la perspective qu’ils doivent former deux personnes (moi en charge de projet et une autre en secrétaire-réceptionniste) a fait qu’ils ont priorisé quelqu’un d’autre. Après, dans ma carrière de PCO, mon manque d’expérience en tant que consultante a fait que les mandats qu'on me proposait n’étaient pas à la hauteur de mes attentes. Finalement forte de mon expérience, c’est un supérieur qui m’appréciait trop dans mon rôle qui ne voulait pas que je devienne chargée de projet. Finalement, quand l’opportunité s’est présentée, je suis tombée enceinte. On m'a alors demandé d’attendre à mon retour de congé de maternité pour progresser.

Tout cela me fait me questionner sur mes ambitions. Peut-être que je ne suis tout simplement pas faite pour être une chargée de projet. Je n’ai nul doute que je suis capable de faire le travail, et ce même dans plusieurs domaines, mais peut-être que je ne m’éclaterais pas autant que je le pense dans ce rôle. En parlant avec une collègue de travail, qui est une fonceuse, je me suis rendu compte que ce serait peut-être la communication et l’organisation du travail qui pourrait être ma voie. Évidemment je suis qu’au balbutiement de cette idée. Je me donne un congé de maternité complet pour me faire une idée claire sur mes aspirations professionnelles. Mais j’en viens tout de même à une première conclusion: je peux faire plus et mieux que ce que je fais. Ce qui me bloque est la plupart du temps, moi-même. Mon manque de confiance, ma crainte de l’inconnu, mon appréhension de ne pas être assez présente pour mon couple et mes enfants le temps de me mettre à la page d’une nouvelle carrière. Je lisais Mamamiia qui était plus ou moins dans cette situation il y a quelques mois, j’écoutais ma collègue fonceuse qui aspire à plus aussi, mais qui n’a pas peur de faire ce qu’il faut pour s’y rendre et je me suis demandé ce que moi je devrais faire.

On m’a souvent dit que les congés de maternité sont propices à la réorientation. Alors que ma vie à l’extérieur de ma carrière est en parfaite harmonie, est-ce qu’il se peut qu’un renversement professionnel se pointe à l’horizon ?

J’ai beaucoup de questions et pour l’instant peu de réponses. Je sais juste que je peux aller beaucoup plus haut au niveau professionnel. Et surtout j’en ai le goût.

Crédit photo: Licence CC mytoenailcameoff
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Les 20 secondes qui changent tout…

Publié par Anik le mercredi, mars 14, 2012 5 bouteilles à la mer...
Cette semaine, j’ai eu un différend avec mon chum. En fait, je réalise que si nous avions appliqué une règle simple dont il est question dans le livre « L’amour sexship », ça ne serait pas arrivé. Je lui ai posé une question, il y a quelques jours, à laquelle il m’a répondu rapidement oui, sans trop réfléchir au bien-fondé de cette réponse. J’ai donc organisé mes flutes en fonction de sa réponse, pour apprendre, après plusieurs jours, qu’il souhaitait changer de réponse… La fille organisée en moi n’a pas aimé du tout…

On a donc eu toute une discussion sur le fait que quand je lui pose des questions, j’aimerais la vraie réponse, ou sinon, un « je vais y penser ». Bizarrement, j’ai déjà développé cette aptitude avec mon ex. Il prenait toujours du temps pour me répondre (quelques secondes avant d’ouvrir la bouche), mais il me répondait la vraie réponse. Moi, je lui répondais rapidement, mais je continuais ma réflexion à voix haute pour finalement en arriver parfois à des conclusions différentes de la prémisse de départ. Ça lui tapait sur les nerfs. Maintenant, quand mon chum me pose une question, il m’arrive fréquemment de prendre quelques secondes pour y penser avant d’ouvrir la bouche. Mon chum n’est pas habitué : il me répète souvent la question ou s’assure que j’ai entendu… Ce à quoi je lui dis, systématiquement : « Je réfléchis ».

Selon L’amour sexship, accorder ce temps de réflexion qui peut aller jusqu’à 20 secondes est primordial pour une bonne relation de couple. L’homme, surtout, en aurait besoin, parce que son cerveau analyse une chose à la fois. Alors, la prochaine fois que je poserai une question à mon chum, même s’il me répond rapidement, je pourrai toujours lui dire « Est-ce vraiment ta réponse finale ou tu as besoin de temps pour y penser ? »… Comme dans un quiz, quoi : « Is that your final answer ? » Et vous, appliquez-vous la règle des 20 secondes ? Comment gérez-vous les questions qui demandent une certaine réflexion ou une prise de position ?

N’oubliez pas qu’en commentant ce billet, ou celui ce la règle des 10 secondes ou des trois règles pour une vie de couple simple, vous courez la chance de gagner votre exemplaire de L’amour sexhip, de David Bernard et Chantal Lamontagne, publié aux éditions Un monde différent. Le tirage est la semaine prochaine! Bonne chance!

Crédit photo :  © Valerie Everett
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Les potins du dimanche - Une journée vachement spéciale

Publié par Julie le dimanche, mars 11, 2012 3 bouteilles à la mer...
Pour lui, franchement, ça ne faisait aucun sens...

Frérot n'a jamais compris pourquoi c'était la Journée de la "ferme" le 8 mars dernier.

Pas facile d'être dans le champ!

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Crédits photo: Licence CC McBeth
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Le civisme et le savoir-vivre jouent à cache-cache

Publié par Evely le jeudi, mars 08, 2012 4 bouteilles à la mer...
Un peu de civisme, de savoir-vivre !!! Est-ce que c’est les hormones qui parlent? Peut-être.

J’ai dû prendre l’autobus de la ville à deux reprises la semaine dernière. La première fois, c’était jeudi après le travail. Personne ne s’est levé pour me laisser sa place, et ce, même si mon bedon de huit mois pointait au travers mon manteau. Finalement, un homme s’est levé. Je me suis dit "bon, en voilà un qui a compris! » Je me suis assise, mais je me suis bien vite rendu compte que la seule raison pour laquelle il s’était levé, c’était parce que son arrêt avait été sonné. De ma nature bonasse, je me suis dit qu’une fois n’est pas coutume et que je ne pouvais pas m’y fier.

Samedi, alors que je prenais une seconde fois l’autobus, sur un trajet complètement différent, la même chose m’est arrivée. Ce coup-ci, je me suis placée de manière à ce que ma grosse bedaine soit dans le visage d’une dame qui jasait avec son mari placé un peu plus loin. Elle m’a ignorée complètement. Finalement, quelqu’un a sonné son arrêt et j’ai pu m’asseoir.

Un ami m’a demandé pourquoi je n’avais pas exigé une place ni pourquoi je n'étais pas allée me plaindre au chauffeur. Peut-être que j’aurais dû le faire, mais j’étais trop estomaquée que personne ne daigne se lever. De plus, je ne suis pas du genre à exiger.

Mon beau-frère m’a dit que c'était pareil en France. Tristement, je le crois et je sais que ce n’est pas juste au Québec que nous avons perdu notre savoir-vivre.

Un autre ami me faisait remarquer que le contraire est aussi vrai. Il ouvre régulièrement des portes pour les mamans avec poussette dans les centres d’achats, mais ne récolte que très rarement un – merci –. Pour l’avoir vécu moi-même, je sais qu’il dit vrai, un service n’est pas toujours souligné par la personne qui le reçoit.

Samedi matin, j’étais dans les halles du Petit Cartier avec P’tit Clown. Nous sommes passés devant des mini muffins qui étaient trop attrayants. À la caisse, P’tit Clown dit un gros bonjour à la commis. Quand il a reçu son mini muffin, je lui ai demandé de la remercier. La bouche pleine, il a fait un sourire, il a fini sa bouchée et a dit "merci, madame". Superpapa et moi lui disons sans cesse de dire bonjour – s’il vous plaît – merci. Surtout quand on a affaire avec des gens qui travaillent dans le service à la clientèle. Quand on va à l’épicerie, on lui montre de toujours rester sur le bord des allées et ne pas mettre son panier au centre de manière à bloquer tout le monde. Sur la rue, on lui apprend à laisser la place à ceux qui semblent plus pressés. Et dans la voiture, euh bon, on n’est pas tout à fait des bons exemples en auto, mais on se force tout de même à ne pas dire de gros mots à ceux qui roulent à cinquante dans la voie de gauche ou qui on une conduite erratique (j’admets qu'on a encore beaucoup de travail à faire à ce niveau-là).

Je ne sais pas si ces petits détails de civisme vont lui rester quand il sera adulte. Je ne sais pas s’il va se rendre compte qu’une personne âgée a moins d’équilibre que lui et que c’est du savoir-vivre que de lui laisser sa place en autobus. Est-ce qu’il comprendra qu’un commis d’épicerie a le droit au même respect qu’un PDG d’une multinationale ? Comprendra-t-il l’importance qu’est un remerciement ?

Je me souviens que ma maman me disait tout le temps à quel point c’est important. Elle qui a été serveuse pendant longtemps, sait que les mercis viennent des fois au compte-goutte. Elle s’est forcée pour que chez mon frère et moi, cela devienne naturel. Au point tel que lorsque Padou m’a offert un cadeau dernièrement et qu’elle m’a fait remarquer que je ne l’ai pas remercié, j’ai presque eu du mal à la croire que j’avais fait un tel oubli.

Enfin, je suis rentrée chez moi frustrée de mes deux trajets d’autobus. Frustrée que des choses qui me semblent naturelles ne le soient pas pour d’autres. Oui, un oubli peut se faire, oui il arrive qu’on passe une mauvaise journée et qu’on se fiche de la condition des autres, mais que dans un autobus bondé personne ne consente laisser sa place, non ça je ne le comprends pas. Si je me force à enseigner le savoir-vivre à mon fils, c’est que je crois que c’est juste normal.

Je ne suis pas parfaite, j’ai mes journées moins civiles moi aussi, mais j’ai toujours pensé que si l’on fait l’effort, on peut un peu changer les choses. Puis personne n’est tenu de toujours être parfait, mais c’est triste quand on constate que le civisme et le savoir-vivre se font de plus en plus rares.

Crédit photo: Licence CC dugspr - home for good
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Comment améliorer votre vie de couple en 10 secondes ?

Publié par Anik le mercredi, mars 07, 2012 3 bouteilles à la mer...
Tout le monde est paresseux. Travailler sa vie de couple, ça demande de l’énergie. Du temps. Mais si je vous disais qu’une simple astuce facile qui prend 10 secondes peut améliorer sensiblement votre vie de couple, seriez-vous partante ?


En théorie, l’astuce s’adresse à vous, mesdames. Or, il y a des exceptions. Alors que je lisais L’amour sexship, avant même de découvrir cette astuce, j’avais dit à mon chum que pour moi, cette chose faisait une grosse différence, alors que pour lui, ce n’était pas si important. Quelle ne fut pas ma surprise de voir que ça aurait dû le toucher plus lui que moi.

Enfin, parions que vous mourez d’envie de savoir quel est ce fameux truc dévoilé par David Bernard et Chantal Lamontagne dans leur bouquin ? C’est simple : quand votre mec arrive à la maison (en particulier lorsqu’il revient du boulot), lâchez ce que vous faites et venez simplement l’accueillir à la porte avec un baiser langoureux. Comment ne pas se sentir apprécié et à sa place dans un tel contexte ? Les hommes (et moi aussi, il semblerait) ont besoin de se sentir désirés, appréciés. Alors, essayez, pour voir! Qu’est-ce que vous avez à perdre, à part 10 secondes par jour ? Vous mettrez en pratique ? Vous le faites déjà ? Vous avez un autre truc rapide et efficace à partager ? Commentez ce billet et courez la chance de gagner votre exemplaire de L’amour sexship, publié aux éditions Un monde différent.

Crédit photo : © Www.CourtneyCarmody.com/
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Qu'est-ce qu'on mange?

Publié par Julie le mardi, mars 06, 2012 2 bouteilles à la mer...
Un soir de fin de semaine... ---

Julie, terminant de servir - Le petit et les grandes, c'est prêt! ---

Le régiment, grimpant l'escalier après une enlevante partie de Wii party - Yé! ---

Frérot, gourmand - Maman, qué qu'on mange? ---

Julie, tentant désespérément d'intégrer un peu d'oméga-3 dans son régime alimentaire - On mange du pâté au saumon, ma grosse barbote! ---

Frérot, satisfait avec un accent anglais - Ouais! On mange du party!

Crédits photo: Licence CC Kerri9494
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Le sport, pour sortir le méchant ?

Publié par Anik le lundi, mars 05, 2012 1 bouteilles à la mer...
Je suis allée en vacances récemment. Encore sur le rythme du sud, ma soirée de badminton de la semaine dernière a été pourrie. J’étais trop relaxe, trop zen (oui, c’est possible!). Pas du tout dans mon attitude habituelle de combattante, de gagnante… À la fin de la soirée, je me suis tannée de perdre, toutefois (mon orgueil aidant, évidemment). Alors, j’ai fait une tentative. J’ai pensé à un combat que je mène parfois, en parallèle, dans ma vie. Quelque chose qui me tape royalement sur les nerfs. Qui vient me chercher. Et bien, étonnamment, je me suis mise à jouer d’une tout autre manière, renvoyant les volants et les rattrapant même quand ça semblait vain.

Tout cela pour dire que je me demande si le sport n’est pas meilleur quand il fait sortir le méchant, justement. J’avais d’ailleurs remarqué que le cours de Tae Boxe auquel j’assiste chez Énergie Cardio une fois par deux semaines génère en moi un effet relaxant incroyable (et quelques fous rires, le Français qui donne le cours étant trop drôle). Pendant le cours, mon agressivité peut s’exprimer. Ensuite, je suis vidée… puis douce comme un agneau (j’exagère à peine, hihi!). Sans blague, je reviens ensuite à pied du gym, et mon pas est calme, reposé. Le méchant est sorti ! Il n’y a pas à dire, le tae boxe est mon cours favori !

Et vous, vous utilisez le sport pour quoi ? Pour sortir votre méchant ? Pour décompresser ? Pour vous amuser simplement ? Quelle est votre activité de prédilection pour vider le trop-plein ?

Crédit photo :  ©  Léo-Flash
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Les potins du dimanche - Le retour

Publié par Julie le dimanche, mars 04, 2012 5 bouteilles à la mer...
Je m'active dans la cuisine. Je mets au lave-vaisselle des verres sales et "oubliés". Je consulte le menu de la semaine. Sachant à quoi m'en tenir, je dégage un bout de comptoir pour commencer le souper. Je sors la planche à découper. Au passage, je range les boîtes à lunch et me sers un verre de jus. J'aligne quelques légumes. Je suis prête.

Frérot, faisant son entrée avec Nunu sous le bras - À quoi tu joues, maman?

Julie, ne comprenant pas - À quoi je joue?

Frérot, reformulant - Qué que tu fais, maman?

À quoi je joue? Une question banale qui fait pourtant réfléchir. Pour Frérot, la vie se résume à un jeu. C'est chouette juste d'y penser.

Qué que je fais en ce moment? Il me faut à nouveau trier l'essentiel de l'accessoire. Je l'ai déjà fait dans le passé. Je suis mure pour une version 2012 de l'exercice.

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Tout le monde en parle

Louis-Simon se dit qu'un non-parent averti en vaut deux!
Avertissements aux non-parents

À vos fourneaux
Comment faire des recettes pour familles nombreuses

Une idée toute simple de Mamanbooh pour la relâche
Brico Bingo!

Une suggestion de La Belle
Photography 101: Capturing Childhood

Il m'arrive d'y penser pour mettre les choses en perspective
Le top 5 des regrets des personnes mourantes

Martine a détaillé le programme pour nous
Des idées pour occuper la semaine de relâche

Tchoubi s'organise!
Envie de cuisiner

Le plus beau petit pois, chez Germaine
Ce moment

Karo se lance
Je réécris mon histoire

Un retour dans le temps pour Annie
Le pantalon troué

Bon dimanche!
Bonne relâche à celles qui la commencent!

Crédits photo: Licence CC brungrri
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Moi, j’aime mieux mon papa!

Publié par Audrey le samedi, mars 03, 2012 3 bouteilles à la mer...
J’avais lu que c’était possible. J’étais donc préparée. Mais quand on s’en rend compte, ça frappe… et ça fait un peu mal en fait! Heureusement, ça ne dure pas toujours, il paraît. Bébé 1er, je pense, achève une phase « J’aime mieux Papa que Maman ». ---

Il va avoir un an dans moins de 2 semaines et depuis quelques jours, j’ai remarqué qu’il voulait toujours jouer avec son papa. Avec moi, ça dure à peine 2 minutes, puis il s’en va voir ce que son papa fabrique.

Il le suit partout dans la maison.

Il hurle son désespoir dès que papa va aux toilettes ou dehors porter un sac à la poubelle.

Mais si c’est moi qui fais la même chose, alors c’est comme si de rien n’était, il n’en fait aucun cas. Je peux monter et descendre les étages de la maison sans avoir peur qu’il ne se jette dans l’escalier, comme il le fait quand son papa se déplace…

Je vais le chercher le soir à la garderie, et dès qu’on arrive à la maison, il n’en a plus que pour son papa.

Le matin quand je me lève, bébé me regarde à peine et continue de boire son lait dans les bras de son papa.

Puis, au déjeuner, s’il ne voit pas son papa, il le cherche des yeux et ne mange presque pas.

J’ai lu qu’il arrivait que les bébés « préfèrent » un parent à l’autre pendant quelque temps, puis changent. Visiblement, on est dans la période « je préfère Papa ».

Heureusement, je pense que ça va se terminer bientôt. Hier soir, il est resté avec moi tranquille, sa petite tête accotée sur mon épaule, à regarder ce que je fabriquais sur mon ordinateur pendant que Papa préparait le souper dans l’autre pièce. Cela aurait été impensable avant-hier. Ça fait du bien, disons!

Crédit photo : Licence CC Jeff Rhines
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Une tape dans le dos!

Publié par Anik le vendredi, mars 02, 2012 2 bouteilles à la mer...
Une tape dans le dos!


En l’honneur de « feu » les vendredis mercis… je veux exprimer ma gratitude aujourd’hui. Je viens de terminer une semaine avec les filles. Une grosse semaine, puisqu’un retour de vacances, il faut toujours payer pour… Cependant, j’ai passé une magnifique semaine avec mon trio. Un rythme plus centré sur le présent, une plus grande disponibilité et un plus grand calme de ma part.

Alors, je me donne une tape dans le dos ! Ça fait du bien. Et on n’a besoin de personne pour le faire, même à un très jeune âge… ;-)

Allez-y, tapez-vous donc dans le dos vous aussi ! Qu’est-ce que vous avez fait dont vous êtes fière cette semaine ? Souvent, il ne faut pas attendre après les autres pour se lancer des fleurs. Alors, en ce vendredi, lancez-vous en ici allégrement ! On pourra même vous en lancer nous aussi!

Crédit photo : © Ash Brian
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La semaine de relâche

Publié par Evely le jeudi, mars 01, 2012 0 bouteilles à la mer...
Je n’aime pas l’hiver. Même petite, aller jouer dehors ne me faisait pas plaisir du tout. J’avais froid après quelques minutes, les mitaines m’empêchaient de faire des châteaux de neige qui avaient du bon sens, je glissais toujours sur la glace et me pétais le coccyx dans un fracas digne d’un sumo, ma mère nous obligeait à faire du ski de fond et c’était dur, long, plate et replate comme sport (en passant aujourd’hui, j’aime le ski de fond). Bref, quand je mettais le bout de mon nez rose dehors, je me demandais pourquoi on ne me laissait pas tranquillement jouer aux poupées dans ma chambre. Si c’est vrai que ça fait du bien de prendre l’air, pourquoi était-ce aussi pénible? En plus, ces inconséquents d’adultes, n’arrêtaient pas de dire, l’été venu, qu’il faut que je rentre, alors que là qu’il fait moins 20 degrés, on me disait qu’il fallait que je sorte. N’im-por-te quoi !!!

D’ailleurs, mes plus belles vacances de la relâche ont eu lieu à l’intérieur. Chaque année, maman nous amenait pour la semaine à Sutton (la ville officielle des Suisses au Québec). Nous restions dans une petite auberge rustique suisse qui faisait les meilleurs crêpes au monde. Les propriétaires étaient Suisses et jasaient en suisse-allemand avec maman. Elle avait l'air de rien, mais je sais qu’elle adorait ça.

Bref, bien qu’il y a un joli petit mont à Sutton, nous n’y allions pas, car maman ne savait pas faire du ski alpin. À la place, nous allions dans les sentiers pendant toute la journée à faire du ski de fond. Frérot grano et moi n’aimions pas ça au point d’en faire pendant une semaine, mais maman était aux petits oiseaux à se promener avec sa marmaille dans les décors féeriques (voir presque Suisse) de l’hiver. Un jour, Frérot grano proposa qu’on aille faire du patin. Bon, j’aurais proposé du chalet, mais au moins ça changeait un peu. Maman accepta. C’était en fait une bonne idée et vu que les trois nous savions patiner avec deux pieds gauches, ce serait une bonne pratique pour devenir des caïds dans le temps de le dire ou tout au plus apprendre à freiner dans mon cas.

Une fois sur la patinoire, emmitouflés dans huit cents épaisseurs parce qu’il faisait fichtrement froid cette journée-là, nous nous sommes donnés à cœur joie en imaginant les Gretsky et les Carbonneau sur la glace. Du coin de l’œil, j’ai vu mon frère qui a perdu pied dans son échappée contre Guy Lafleur invisible : il s’est alors fracassé le crâne contre la bande.

Après l’incident, il ne se souvenait plus pourquoi nous étions là. Au début, je croyais qu’il me faisait de mauvaises blagues, mais quand ma maman m’a dit qu’on allait à l’hôpital de ce pas, j’ai compris que c’était sérieux. Le médecin était très gentil et nous a expliqué que Frérot grano avait « perdu ses esprits » et qu’il allait tranquillement les retrouver. Le médecin faisait semblant d’attraper un esprit au passage et le rendait à mon frère. Bien que ça m’amusait, je restais collé sur mon grand Frérot grano d’amour.

Quand Frérot grano redevint taquin, nous savions que tout était de retour à la normale et le médecin nous donna congé. Nous sommes restés sages après cet accident. Je me souviens qu’on a joué à Clue prêt du feu et que nous avons sorti le jeu de cartes aussi. Je me souviens que le couple de propriétaires était au petit soin avec nous. J’avais de plus grosses portions de crêpes qu’à l’habitude.

Nous sommes retournés faire du ski de fond après quelques jours. Maman était contente de nous entendre nous chamailler. Elle riait quand je me mettais à chanter à tue-tête les désespoirs d’une jeune fille qui doit faire du ski de fond. Frérot grano ne nous proposa plus de faire du patin, mais quelques années plus tard, il convainquit ma maman de faire du ski alpin. Elle se tordit la cheville à la première descente. La chanceuse, elle a pu faire du chalet tout l’après-midi.

Crédit photo : © IvanWalsh.com
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