Je vous présente un nouveau bouquin pour les trois prochaines semaines. Vous pourrez évidemment remporter votre copie si vous commentez les mercredis littéraires. ---
Cette semaine, c'est le livre Raccourci vers la réussite - Vivre ses rêves, en faire profiter les autres et en être richement récompensé, de Paul-Gérald Farmer, aux Éditions Un monde différent, qui prend la vedette.
J'ai adoré ce sympathique bouquin rédigé par un homme d'affaires heureux et performant. Il y propose une foule de petites astuces pour se diriger vers le succès et le bonheur à vive allure. Et pour l'impatiente que je suis, c'est gagnant!
Cette semaine, je partage avec vous une loi que j'ai découverte dans ce livre : la Loi de Parkinson. Rien à voir avec la maladie du même nom. En fait, il s'agit d'une loi qui soutient que :
Nous prenons toujours autant de temps pour accomplir une tâche que le temps qui nous est alloué.Lisant cela, au départ, je me suis dit : c'est faux! Quand j'étais étudiante universitaire et que j'avais des travaux de session, je les terminais toujours en novembre, me laissant le mois de décembre pour relaxer à ma guise. Mais pourtant, cela confirme cette loi, puisque je me donnais à moi-même jusqu'à la fin-novembre pour terminer mes travaux. Il était hors de question pour moi de travailler à la dernière minute en décembre. Ainsi donc, je prenais tout le temps disponible pour faire la tâche, et je la terminais en novembre.
Encore aujourd'hui, lorsque mes éditrices des revues Montréal pour enfants ou Destination famille me fournissent une date d'échéance pour un article, je me donne jusqu'à 3 jours avant la date pour terminer. Et je termine... trois jours avant la date d'échéance, certes, mais à la dernière minute du temps que je me suis alloué pour la tâche...
Ce mois-ci, j'avoue que je me sens débordée. L'entretien printanier de la maison, ma nouvelle session d'enseignement au collégial, mes filles, une formation en hypnose, un roman à terminer d'ici quelques jours, mes blogues, mon travail régulier, mon « social », mon sport... Ouf, la liste de tâches est longue et j'ai l'impression, comme j'ai souvent eu par le passé, que je ne vais pas y arriver à temps. Mais dans les faits, ai-je déjà pris du retard dans mes échéanciers essentiels ? Non. Je les ai toujours respectés.
Ainsi, si je cessais simplement de perdre mon temps à me stresser à propos de mes échéanciers et que j'avançais avec confiance, les choses ne risqueraient-elles pas d'être réalisées à temps, stress en moins ? Souvent, quand on n'a pas le choix de réaliser une tâche pour un moment X, on trouve la créativité de faire les choses autrement pour arriver dans les temps... L'auteur du livre propose d'ailleurs de faire exprès pour se mettre à soi-même des échéanciers plus courts, justement pour faire preuve de cette créativité et éviter de traîner du stress.
Vous en pensez quoi, de la loi de Parkinson ? Comment remarquez-vous sa présence (ou son absence) dans votre vie ?
5 bouteilles à la mer...:
Cette loi fait bien du sens. Personnellement, je déteste avoir des projets inachevés.
Étant de nature expéditive, je bats le fer pendant qu'il est chaud.
Le stress (ou la course à la finition) est alors de courte durée et je bénéficie de temps pour moi.
J'y vois toutefois un inconvénient dans le travail d'équipe... si la personne avec qui tu fais équipe n'a pas la même vision, ça peut être source de conflits (ex.: j'attends que tu termines ta partie pour pouvoir relire et finaliser le tout).
J'attends la suite!
Elle m'encourage! Si le déménagement a lieu dans 5 semaines et qu'aucune boîte n'est faite à ce jour, ça veut dire qu'on va y arriver! Plus besoin de m'inquiéter alors! La créativité viendra à mesure pour tout faire.
@ Caro
C'est vrai qu'en équipe, ça peut causer des frictions. Mais en théorie, connaissant tes collègues et leur propension à remettre à la dernière minute, pourquoi ne pas mettre une échéance très proche (quitte à inventer une raison) pour que tu puisses avoir la partie de travail rapidement ?
C'est comme avec les amis retardataires. Tu leur dis d'arriver 15 minutes avant la vraie heure, comme ça ils arrivent à temps... Parce que eux, selon leur loi de Parkinson, ils disposent toujours d'un 15 minutes de plus... ;-)
@ Edith
Je ne suis pas inquiète du tout pour toi. Et dis-toi que l'avantage d'un déménagement rush, c'est que tu n'endures pas de vivre dans des boîtes très longtemps. :-)
Elle est totalement vraie cette loi! Je rajouterais même, mais ça vient seulement de moi, qu'on accomplis toujours les tâches à la hauteur de nos propres attentes. Par exemple, si on trouve une tâche moins importante, on la fera moins bien que si on y accorde beaucoup d'importance.
L'idée des échéanciers plus court est vraiment bonne pour s'organiser, mais j'avoue avoir un peu de difficulté à la mettre en pratique. Comme si l'échéancier imposé par quelqu'un d'autre avait plus de valeur que ceux que je me fixerais moi-même.
Je crois que chaque personne a sa propre conception du temps qu'il nous reste!
Pour ma part, je suis tellement du genre à attendre à la dernière minute! J'aimerai être comme toi par contre!
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