La rechute

Publié par Julie le mardi, juillet 17, 2012 0 bouteilles à la mer...
Je croyais que c'était derrière. Pourtant, nous avons encore les deux pieds dedans. Les mots de toilettes et les insultes à la grosse patate mettent toujours du piquant dans notre quotidien.

C'est la routine du dodo. Frérot et moi farnientons dans son lit.

Frérot, racoleur - Maman, je peux te faire "menton fourchu"?

Julie, intéressée par le grand classique - Bien sûr, mon petit loup.

Frérot, entonnant, touchant mon visage - Menton fourchu, bouche d'argent, nez CACA, joue bouille, joue rôtie, petit oeil, gros oeil, sourcillon, sourcillette... cogne, cogne la caboche!

Devant son sourire pleine dents, fier et sincère, je n'ai pas jugé à propos de le reprendre.

Crédits photo: Licence CC AP photographie
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Comment bien dormir ?

Publié par Anik le lundi, juillet 16, 2012 0 bouteilles à la mer...
Je suis de retour de vacances depuis 3 jours. J'ai visité l'Europe... avec le décallage horaire de six heures qui vient avec. Ce n'est pas dans mes habitudes de me coucher à 21h, mais ça s'imposait pour deux jours... Le réveil à 3h AM n'était pas trop agréable, par contre... Hier soir, je n'étais plus fatiguée, mais comme mon chum était encore claqué du décallage, vers 22h30, nous étions au lit. Résultat, à 5h AM, j'étais réveillée. Or, se promener dans une maison calme, alors que quatre enfants dorment encore et mon amoureux aussi, ça commence bien la journée, je trouve.

Mon conjoint et moi avions discuté du concept de sommeil avant notre voyage. Je suis tombée sur un article de La Presse Mobile qui stipulait, entre autres, que de se coucher à heure régulière (et pas trop tard) pouvait aider à bien dormir (tout comme prendre la peine de bouger dans le jour ou avoir un rituel de sommeil). J'en suis presque à me demander si je ne devrais pas me coucher, justement, vers 22h30 pour mieux profiter des matinées...

Et vous, c'est quoi votre astuce pour vous réveiller en pleine forme ?
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Les potins du dimanche - Édition vendéenne

Publié par Julie le dimanche, juillet 15, 2012 0 bouteilles à la mer...
J'en rêvais cet hiver, sous la neige. Nous y sommes!

À l'heure où vous lirez ces lignes, nous aurons déjà visité Bordeaux, végété à la plage, navigué dans la Venise verte et visité quelques-uns des plus beaux villages de France.

Je vous envoie néanmoins quelques potins rédigés d'avance.

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Tout le monde en parle...

Elle est morte en tweetant

Le Québec, une histoire de famille: les Gingras à l'honneur

Grève (sauce rosée)

Le blogue d'inspiration de Geneviève O'Gleman

La vertu

À glisser dans vos bagages cet été

Les boissons de l'été

Murs


Un compagnon bien spécial... la suite


À visiter: Presse-Éducation


Sur la toile éducative cette semaine...

Bon été!

Crédits photo: Licence CC Stéfan
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C'est pas plus difficile, c'est de l'organisation

Publié par Evely le jeudi, juillet 12, 2012 0 bouteilles à la mer...
Il y a deux semaines, je recevais ma belle-sœur, son amoureux, son fils et ses deux beaux-fils. La maison était pleine à craquer. Il y avait un ado dans le sous-sol qui jouait au à la console, trois jeunes qui jouaient dans la chambre de P’tit Clown, un Bébé Singe qui essayait de dormir et quatre adultes qui étaient heureux de se voir.

J’avais fait le ménage avant leur arrivée. Tout était rangé. En l’espace de quelques secondes, le chaos s'est abattu sur ma maison telle une tornade. Pour être très franche, j’ai aimé ça. Je ne pourrais pas vivre à tous les jours dans ce type de chaos, mais j’ai aimé la dynamique que ça a créée. P’tit Clown était heureux de jouer avec ses grands cousins. Superpapa en faisait toujours un peu plus pour faire rire sa sœur et son beau-frère. Bébé Singe se faisait cajoler par tous pleins de mains étrangères.

Le soir, quand tout le monde était couché, je suis restée dans la salle à manger en attendant l’heure du biberon. Nous sommes presque arrivés à tout ranger en prévision du déjeuner du lendemain. Bébé Singe dormait dans sa chaise sauteuse et moi j’étais à l’ordinateur à taper ce billet. Le calme régnait de nouveau chez moi. Un calme qui suivait la tempête, mais qui la précédait aussi. Une oasis en quelque sorte. J’aime bien ces moments-là. Je les apprécie encore plus de ces temps-ci puisqu’avec Bébé Singe, les horaires stables ont pris un peu le bord.

Une amie me demandait si c’était vraiment plus difficile quand on avait deux enfants. Non, c’est juste plus d’organisation. En prévision de la visite, j’avais fait des biberons en avance. J’avais placé le linge que les enfants mettraient le lendemain sur leur commode. Nous avions prévu un film de fin de soirée pour que les enfants se calment avant le dodo et le souper était moins évolué que ce qu’on fait d’habitude quand on reçoit. Ce n’est pas plus difficile quand on a deux enfants, mais il ne faut pas tourner en rond parce qu’on cherche nos oasis pour se rassasier un peu, alors il faut trimer un peu plus sur le coup pour y arriver.

Évidemment, il faut aussi laisser-aller certaines choses qu’on n’a juste pas le temps de faire. Mes platebandes ont pris un coup cette année. Je ne vous raconte même pas. Mais chaque matin je me fais une liste des choses que j’aimerais faire dans la journée. Ça va de "faire du lavage" à "prendre une marche" ou "m’entrainer". Chaque fois que je fais un truc de la liste, je le coche. Ça me permet de mieux gérer mon temps et de sentir que je fais de quoi.

Deux enfants, ce n’est pas du sport. C’est de la gestion. J’ai la chance d’avoir un P’tit Clown qui est calme et qui suit bien les consignes, mais quand ça ne lui tente pas et que Bébé Singe fasse une crise, je me relève les manches et je pense à ma gestion de projet. On va régler tous les incidents, mais on va prioriser et gérer un à la fois. C’est certain qu’avec le temps ce sera plus facile puisque Bébé Singe gagnera en indépendance et que P’tit Clown trouvera en lui un ami de jeux.

Ma famille est exactement de la grandeur que je la veux. J’imagine que quand on a trois ou quatre enfants, c’est encore plus de gestion et de laisser-aller, mais pour moi c’est juste parfait comme c’est là. Puis je vois dans les yeux de mes enfants qu’ils sont bien et heureux, et ce même si, parfois, il faut qu’ils attendent leur tour.

Crédit photo: Licence CC John Flinchbaugh

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Nos carnets de voyage

Publié par Julie le mardi, juillet 10, 2012 6 bouteilles à la mer...
L'heure des vacances a sonné. J'ai presque fait le tour du calendrier depuis mon changement de cap. Je ne regrette rien de mon nouveau choix professionnel... mais le voyage qui nous attend sera le bienvenu!

Je vous avais "potiné" que les carnets de voyage de Tchoubi me faisaient rêver. Je me suis mise à l'oeuvre, au grand bonheur des filles!

Nous sommes (presque) prêts pour le décollage. Il ne reste qu'à espérer que la météo sera de notre côté!

À bientôt!







Crédits photo: © Julie
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La complexité des boires

Publié par Evely le jeudi, juillet 05, 2012 6 bouteilles à la mer...
Une de mes grandes craintes quand j’étais enceinte de Bébé Singe était de revivre une dépression post-partum. Celle que j’avais vécue, à la suite à la naissance de P’tit Clown, avait duré environ six mois. Je suis donc très heureuse de pouvoir dire que ce coup-ci, je n’en fais pas.

Cela dit, je me rends compte de la pression que je me mets sur les épaules et du stress que ça engendre. P'tit Clown était un bon buveur. Il était un appétit sans fin. Il aurait mangé la table s’il avait pu. Superpapa et moi suivions son appétit du mieux que l’on pouvait. Il se rendait toujours à la limite recommandée pour un bébé de son âge. Très inquiète, à l’époque, j’avais presque le numéro d’info-santé sur le speed dial.

Mon médecin m’a finalement donné un exemple qui m’a fait comprendre comment gérer l’appétit de P’tit Clown. Il m’avait dit que dans un buffet, la plupart du monde sait quand s’arrêter, mais que certains continuent jusqu’à être malade. C’était P’tit Clown. Il fallait donc, que l’on décide pour lui quand arrêter et quand l’augmenter. J’étais la spécialiste des biberons pour bébé insatiable.

En ce moment, Bébé Singe a diminué la quantité de ses boires. Jusqu’à tout récemment, il buvait beaucoup, mais rejetait le biberon quand il en avait assez. Sa courbe de quantité montait toujours un peu, mais restait dans l’acceptable. Puis il y a un peu plus qu’une semaine, il s’est mis à refuser le biberon. Après trois ou quatre petites tétées, il faisait une crise de dégoût. Au début, c’était correct, mais après chaque biberon, je me suis mise à m’inquiéter. Ses quantités ont drastiquement diminué, mais restaient toujours dans les normes recommandées. Il ne fait pas de fièvre, il sourit et joue. Il fait des beaux dodos et des pipis et des cacas. Alors on me dit de ne pas m’inquiéter. Je comprends que je ne devrais pas, mais je suis toute crispée et j’ai toujours peur le soir de compiler la quantité de la journée.

En bons parents, nous avons essayé deux, trois petites choses pour voir si ce n’était pas le lait qu’il n’aimait plus ou s’il a mal au ventre ou si, ou si… Rien n’y fait, il diminue ses quantités et moi ça me fait paniquer. J’ai peur qu’il y ait quelque chose là-dessous que je ne vois pas. J’ai peur qu’il soit malade et que l’on ne fasse rien pour l’aider. J’aurais besoin qu’il suive une diète définie et stricte, mais les bébés ne sont pas comme ça. Alors la plupart du temps, je fais comme si de rien était. Seul Superpapa sait à quel point ça me tourmente.

Ce coup-ci, je ne fais pas de dépression, mais je réalise combien j’angoisse pour tout et pour rien. Je suis une personne qui aime avoir le contrôle sur ce qui m’entoure et là je ne l’ai pas. J’aime l’ordre et la routine et là elle n’existe pas. Je suis donc mal à l’aise. Je vois combien il serait facile de retomber dans un cercle vicieux et de me sentir responsable de tout. Je vois que je pourrais facilement dire que je ne suis pas à la hauteur. Je me redis souvent une phrase que je disais pendant ma dépression après P’tit Clown. "Ce bébé est tellement parfait, et moi non. Je n’arriverais jamais à lui offrir tout ce qu’il mérite, à satisfaire tous ses besoins".

J’ai appris avec P’tit Clown qu’une maman est tout ce que les enfants ont réellement besoin (et un papa, bien sûr). Cela dit, en ce moment, devant le manque d’appétit de Bébé Singe, je me sens désarmée et affolée. J’ai juste hâte que ça passe. Bien que selon toutes les normes établies, il est correct. Ah la la, c’est pas facile de se laisser aller et de faire confiance que tout est normal, même si ça ne se passe pas exactement comme dans le Mieux vivre avec son enfant.

Crédit photo: Licence CC Dodger666
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Votre bonheur est-il vraiment le vôtre ?

Publié par Anik le mercredi, juillet 04, 2012 2 bouteilles à la mer...
Tapez le mot  "bonheur" sur Google... Regardez les publicités... Observez votre quotidien. Le concept de "bonheur" est partout. La société le définit à sa manière, et celle-ci passe plus souvent qu'autrement par la consommation. Achetez ceci et vous serez heureux... Faites ceci et vous serez heureux... Nos parents aussi nous ont vendu bien des idées au sujet du bonheur. Qui dit vrai ?

En fait, je crois qu'il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises réponses universelles, cependant il y a de bonnes et de mauvaises réponses pour soi. Ce qui rend les autres heureux ne nous convient pas nécessairement...

Êtes-vous vraiment la personne qui avez le contrôle sur votre définition du bonheur ? Avez-vous vraiment choisi comment avoir une vie satisfaisante à votre point de vue ?

Petite, on m'a toujours laissé croire que le bonheur passait par les études universitaires (et les sciences pures au cégep), une maison, une famille, un job sécuritaire... Rien de plus, rien de moins. Or, ce n'est pas la formule que j'ai finalement choisie... J'ai tout fait ça (sauf les sciences pures), mais j'ai laissé la job sécuritaire et divorcé pour avoir un rythme de vie qui me convient mieux.

En fait, je trouve que la recette de notre propre bonheur passe par une bonne connaissance de nos valeurs essentielles... Connaissez-vous les vôtres ? Pour moi, liberté, plaisir, sérénité, gratitude et  santé sont primordiales. C'est pourquoi chaque jour, je pose des actions dans ce sens...

Note : En commentant ce billet, vous courez la chance de remporter votre exemplaire de "Et si on choisissait d'être heureux ",  de Nicholas Gaitan, aux éditions Un monde différent.

Crédit photo : abdallahh
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Rayon de soleil

Publié par Julie le lundi, juillet 02, 2012 1 bouteilles à la mer...
Il est tôt. Je me faufile sur la pointe des pieds. Je marche doucement pour ne pas faire craquer le plancher qui pourrait réveiller mon petit monde. Puis je m'installe devant mon clavier.

Je navigue ici et là sans pour autant faire quoi que ce soit d'important. J'entends Frérot qui grouille sous sa couette. Suit ensuite le bruit de ses pas précipités.

Il franchit sa porte de chambre, pieds nus et en bedaine. Ses bouclettes sont en bataille et ses yeux encore bouffis de sommeil. Il tient du mieux qu'il peut ses nombreux oursons contre lui.

Somnolent, il traverse le passage pour me rejoindre, tentant tant bien que mal de se blottir contre moi avec ses compagnons de nuit. En petit boule dans mes bras, comme il l'était dans mon ventre, il est resté quelques instants sans bouger, les yeux fermés.

Puis, avec sa voix rauque et son haleine du matin, il m'a dit: "Maman, je t'aime trop".

Crédits photo: Licence CC stevendepolo
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Les potins du dimanche

Publié par Julie le dimanche, juillet 01, 2012 2 bouteilles à la mer...
Tous sont en vacances à la maison... sauf moi! Mais j'y arrive!

Plus que 11 jours avant notre envolée vers la France avec les grandes. Notre premier voyage en famille en avion. Très fébriles!!

Plage, châteaux, villages médiévaux, nous voici!

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Tout le monde en parle...

Facile et délicieux

Allez les pères, on vous fait confiance!

J'ai 12 enfants!

Crème glacée au citron

Allô!!! Il y a quelqu'un!!!

55 choses en 505 jours - le retour

Étampe digitale gratuite


Rond, dodu et grassouillet

Idées pour remplir un journal d'été

Bon dimanche!


Crédits photo: ©M. Lavoie


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