Vendredi merci : merci sourires inattendus !

Publié par Anik le vendredi, avril 30, 2010 4 bouteilles à la mer...
Pour terminer en beauté ce vendredi merci, je veux dire merci aux gens qui me font sourire sans que je ne leur ai demandé.
  • Merci à cette gentille caissière qui hier, alors que je payais à sa caisse, m’a dit que j’avais un beau collier. Elle a aussi complimenté le choix de chandail que j’avais fait puis a terminé en disant que mes yeux étaient très jolis… (et non, elle ne me draguait pas, n’ayez crainte)… Je l’ai complimenté à mon tour en lui disant que je la trouvais vraiment gentille et en la remerciant chaleureusement.
  • Merci à cette dame croisée dans le stationnement qui a su m’indiquer où était la SAQ la plus proche, alors que je n’étais pas dans mon coin de banlieue…
  • Merci à ce sympathique caissier de la SAQ avec qui j’ai jasé « magasinage »….
  • Merci à mes partenaires de badminton qui ont le don de me faire sourire par leurs compliments souriants et gratuits.
  • Merci aux collègues de travail souriants avec qui il est possible de jaser sans chialer sur le travail.
  • Merci à tous ces gens que je croise et avec qui j’échange des sourires…

 
Un sourire ne coûte rien…
Mais peut faire beaucoup de bien…

Ne l’oubliez jamais.

 
Lire la suite...

Comment se retrouver dans un champ de trèfles...

Publié par Anik le jeudi, avril 29, 2010 3 bouteilles à la mer...
J'ai rencontré récemment un homme qui me fait souvent sourire. Par ses théories et ses questions, j'ai parfois l'impression qu'il me fait avancer à vitesse turbo dans mes réflexions, dans ma découverte de la nouvelle moi... L'une des métaphore qu'il a utilisée et qui m'a fait vraiment sourire est celle du champ de trèfles... Un champ de trèfles, direz-vous ? Eh oui, ce symbole de l'Irlande constitue aussi une excellente façon de comprendre que la vie nous offre bien des occasions qu'il faut saisir...

Alors, je cède la parole, ou plutôt la plume, à mon ami Jacques Cossette...

________________________________________________

Mon métier est d’enseigner. Pendant quinze ans, j’ai exercé cette profession après des années de préparation et d’étude. Un diplôme et hop, on est prêt à entrer dans l’arène. Depuis deux ans, j’ai repris l’enseignement après une réorientation de 5 ans, mais dans une matière tout à fait différente de celle de mes premières armes.

Cependant, la matière n’a pas vraiment d’importance puisqu’enseigner, c’est enseigner. La grande différence, par contre, dans ce nouveau rôle est que le fait d’être prof n’est qu’une partie de mon activité professionnelle. La façon que j’ai de « distribuer » les notions pertinentes ne s’arrête pas à une présentation originale, mais bien plus un désir de m’adapter à la façon d’apprendre de mes étudiants. De plus, j’ai aussi une autre flèche à mon arc. Je réserve une partie du cours pour donner de courtes conférences sur certains aspects du comportement humain. C’est ce côté qui se révèle être la fondation de ma prochaine orientation de carrière. Et c’est aussi celle qui est le plus en harmonie avec ma personnalité la plus fondamentale.
Depuis que je provoque des occasions de « conférencer », que ce soit devant 10 ou 200 personnes, j’y retrouve ma vraie nature et je me sens de plus en plus moi-même. C’est également depuis ce temps que curieusement, je reçois des offres. Des opportunités comme celles qui se présentent en ce moment n’étaient pas au rendez-vous quand j’étais un « prof » devant une classe, même si j’ajoutais une certaine créativité dans mes cours à cette époque.

J’appelle ça être dans le « champ de trèfles ». Lorsqu’on est proche de sa nature propre, celle qui reflète nos valeurs les plus authentiques, nos actions sont en harmonie avec ces valeurs. Lorsqu’on est dans le champ de trèfles, il arrive parfois qu’un trèfle à quatre feuilles se manifeste. Ces trèfles constituent les opportunités. Mais on ne trouve pas ces "quadri foliées" dans un banc de sable. Pour les trouver, il faut aller dans le champ où ils poussent.
En reconnaissant nos talents, nos forces et nos réussites significatives, on arrive à se définir comme personne de valeur. Et cette personne aussitôt révélée saura trouver le « champ » d’action qui est le plus harmonieux. Ce n’est qu’à ce moment que les trèfles chanceux sauteront aux yeux de celui ou celle qui les garde ouverts.

JAK
Lire la suite...

Comment retrouver le sourire ?

Publié par Anik le mercredi, avril 28, 2010 4 bouteilles à la mer...
Depuis quelques temps, j'ai l'impression de devenir une autre personne. Cette transformation a été entamée en 2009, mais s'est intensifiée depuis quelques semaines... Je disais à mon amie Edith que j'avais l'impression d'être un serpent qui mue, qui change de peau... Puis, l'image n'étant pas assez reluisante, je me suis comparée à une chenille qui devient papillon et qui peut enfin battre des ailes...

Tout cela pour dire que cette transformation me fait sourire davantage, plus souvent et avec une sincérité non feinte. Évidemment, je n'ai pas la prétention de sourire en toute occasion. Je pogne encore les nerfs contre mes enfants, contre les chauffeurs du dimanche ou contre les foutus bains (soit dit en passant, mes problèmes de rénovation se sont réglés comme par magie hier midi... Merci la vie !), mais il n'en demeure pas moins que le calme et le bonheur m'envahissent peu à peu, de façon surprenante et, ma foi, fort agréable.

Sourire à la vie, poser des gestes qui vont dans le sens de ce que l'on veut vraiment (même si ça demande une certaine dose de courage et d'affirmation de soi), n'est-ce pas là la meilleure façon de se diriger vers le bonheur ? Quel pas pourriez-vous faire vers ce que vous voulez vraiment ?
Lire la suite...

Le bain... pour le meilleur et pour le rire...

Publié par Anik le mardi, avril 27, 2010 5 bouteilles à la mer...
Mon bain est un grand ami à moi : lieu de calme et de repos, c'est aussi le santuaire du temps pour soi... Confortablement callée dans l'eau chaude, je me permets un moment juste pour moi, dans le silence de la maison, alors que les enfants sont dans les bras de Morphée. Armée d'une pile de livres ou de mon journal d'écriture, munie de mon attirail de produits de beauté, ajoutant encens, chandelle et musique relaxante à l'ambiance, je me dorlote pour 45 minutes ou une heure, et ça me fait sourire.

Mais cette semaine, le bain est pour moi source de stress : je dois m'en procurer un pour refaire la salle de bain du sous-sol, et cette simple tâche est plus compliquée qu'il n'y paraît... Tous les bains que je veux sont en rupture de stock !!! Alors, ce matin, je vais prendre le premier du bord qui sera disponible et prier pour qu'on puisse me le livrer à temps...

Puis dans deux semaines, j'essaierai ce bain en souriant, effaçant le mauvais souvenir de sa recherche effrénée (et son effet amaigrissant sur mon portefeuille)... On devrait toujours se demander, quand on perd le sourire : « Est-ce que je me souviendrais de cet événement dans 1 jour, 1 semaine, 1 mois ou 1 an ? » Souvent, les événements auxquels on accorde un aspect négatif ne sont pas si graves que cela, non ? Sourions, ça va passer !
Lire la suite...

Comment péter le feu?

Publié par Julie le lundi, avril 26, 2010 5 bouteilles à la mer...
J'ai une confidence à vous faire. J'ai PetiteSoeur qui vit à fond son fucking four. Et j'ai Frérot qui semble franchement attiré vers le terrible two. Je vous laisse imaginer les moments de pur bonheur que nous vivons pleinement ces temps-ci à la maison...

===

Julie, de bonne humeur même si elle franchi la limite psychologique de se lever avant 5 heures du matin pour être prête à l'heure - Bon matin, mon petit zucchini chéri! Tu t'es levée toute seule ce matin! As-tu bien dormi?

PetiteSoeur, descendant les marches d'un air bourru, même après 11 heures de sommeil - Mais moi je voulais dormir encore... Et je ne veux pas aller à la garderie...

Julie, conciliante, s'approchant des escaliers - À ce que je vois, tu pètes le feu! (puis tentant de faire diversion) Tu n'as pas un petit creux?

PetiteSoeur, s'asseyant dans les marches, appuyant son menton dans ses deux mains - ...

GrandeSoeur, de la cuisine, n'en manquant pas une - Ça veut dire quoi "péter le feu"?

PapaZen, ne manquant jamais une leçon de vocabulaire, déformation professionnelle - Ça veut dire "Être vraiment de bonne humeur. Être joyeux, être content". Quand on pète le feu, la vie est vraiment belle.

PetiteSoeur, écoutant d'un air intéressé ladite leçon en mimant à la quasi perfection un air désintéressé - ...

Julie, ne manquant jamais une occasion d'ajouter son grain de sel - Comme ça, quand tu verras ton éducatrice, tantôt, et qu'elle te demandera comment tu vas aujourd'hui, tu pourras lui dire, avec ton plus beau sourire "Je pète le feu aujourd'hui, Marité!".

PetiteSoeur, soupirant comme une ado qui trouve une idée ridicule - Mais non, maman, je ne pourrai pas lui dire ça...

Julie, surprise - Mais pourquoi?

PetiteSoeur, roulant les yeux - Tu ne comprends pas maman. C'est parce que, je vais me faire chicaner...

Julie, ne comprenant pas plus - Je ne pense pas, ma puce. Elle va trouver ça drôle, Marité. C'est tout.

GrandeSoeur, se mêlant toujours de ses oignons - C'est vrai! Elle va rire. Ça va être rigolo.

PetiteSoeur, s'impatientant - Mais non! Tu ne t'en rappelles pas GrandeSoeur qu'on n'a pas le droit de parler de pets à la garderie? Je vais me faire chicaner, c'est sûr. Ça fait trop rire les garçons...

===

C'est qu'en même dommage qu'en raison du niveau d'humour des petits amis, les éducatrices de garderie doivent rayer plusieurs expressions de leur vocabulaire. Ainsi, elles ne peuvent pas:
  • péter leur coche ou être en pétard (ce qui est une bonne chose, avouons-le)
  • donner une conséquence à un ami qui pète la petite pelle du carré de sable sur la tête d'un autre (mais elles peuvent le gronder si l'objet se brise)
  • servir des pets de soeurs (c'est peu santé, de toute façon)
  • péter au frette (une petite déprime est si vite arrivée...)
Par contre, on apprécie particulièrement si les éducatrices sont pétillantes et qu'elles font leur planification d'un pet (ça leur donne plus de temps pour s'adonner à leurs imMÈREfections!). Merci aux éducatrices pour leur dévouement!
Lire la suite...

Quand dimanche rime avec sourire

Publié par Anik le dimanche, avril 25, 2010 6 bouteilles à la mer...
Julie et moi avons le sourire... parce qu'Evely a accepté de collaborer avec nous et de pondre quelques savoureux textes, de temps à autres sur IEA. Vous vous souvenez d'Evely ? Même si cette sympathique blogueuse, maman d'un petit bonhomme d'un peu plus d'un an, a fermé récemment son blogue, son envie d'écrire demeure toujours. Alors, c'est ici qu'elle prendra la parole pour vous faire rire, réagir, réfléchir...

À toi l'honneur, chère Evely...
---

Il y a mille et une raisons de sourire. Si comme moi, vos racines viennent de la ville de Reims en France, vous souriez parce que les anges de la cathédrale le font. C’est un peu de là que vient l’expression « sourire aux anges ». Sinon vous souriez peut-être parce qu’on dit que les rides du sourire sont plus belles que les rides d’inquiétude. Ou encore vous sourirez parce que c’est contagieux, ou parce que sourire c’est la santé ou parce que… quelle que soit la raison pour laquelle vous souriez, elle est bonne et vous faites bien de le faire.

Cependant, la chose la plus difficile à faire, c’est de sourire quand ça va mal. C’est difficile de sourire dans les moments de tristesse, de désespoir et de deuil. Comment arrive-t-on à sourire quand les larmes nous coulent sur les joues? Et pourtant, on devrait le faire. On le sait bien. N'est-ce pas d'ailleurs ce que nous faisons quand Bébé pleure parce qu'il s’est cogné le genou? Pour le consoler, on fait les pitres. On danse comme dans Charlie Brown dans l’espoir, qu’au travers de ses larmes, naisse un sourire. Finalement, sur le coin de la lèvre tremblotante, on voit un petit pincement qui se relève et bientôt Bébé sourit alors qu’on fait une culbute arrière suivie d’un double salto. Donc, on le sait, pour faire passer la tristesse, on devrait sourire. Pourtant quand ça va mal, on a tendance à se renfermer dans notre bulle et à broyer du noir. Parfois, il y a tellement de noir qu’on ne voit plus le soleil à l’extérieur.

Ça me rappelle une anecdote qui m’a appris à sourire quand tout va mal. Comme certains (es) d’entre vous le savent déjà, ma maman est Suisse-Allemande. Quand j’étais petite, nous allions visiter mes oncles, mes tantes, ma cousine et ma grand-maman en Suisse. J’adorais passer mes vacances dans ce pays lointain avec cette langue qui danse dans la bouche. Cependant, quand arrivait le temps de partir, je devenais triste et je me fâchais facilement et pour un rien. Le dernier soir à la gare de train, mes tantes et ma maman discutaient en suisse-allemand. Je ne comprenais rien, mais j’écoutais. Puis elles se sont mises à rire. Pas juste un peu, aux éclats. J’en étais outrée. C’était tellement pas le moment de rire. Nous allions partir pour plusieurs années. C’était d’une tristesse incroyable et elles arrivaient à en rire!!! Après coup dans le train en direction de Paris j’ai demandé à ma maman pourquoi elles avaient gâché un moment endeuillé en faisant des blagues. Puis ma maman m'a regardée et m'a dit que c’était pour sourire. Elle ne voulait pas que le dernier souvenir qu'elle conserverait de sa sœur et de sa belle-sœur pour plusieurs années soit de les voir pleurer. Elle préfère se souvenir des gens quand ils sont tout sourire. Comme ça elle oublie les mauvais moments et ne garde que les bons. Je n’avais que huit ans, mais j’ai bien compris cette leçon de vie. Et depuis, j’essaie tant bien que mal de l’appliquer.

Voilà tout un défi malgré tout, que de sourire quand ça va mal. Il faut prendre une grande respiration, fermer les yeux et se distancer de notre douleur. Sauf que c’est vrai, quand on sourit il y a un petit rayon de soleil qui s’installe au travers la noirceur de cet instant difficile.

Je pense que le bonheur se cache dans la capacité que l’on a à sourire dans l’adversité. Bref, rire dans la face du malheur. Quoi de plus difficile, mais de plus gratifiant. C’est quand on se rend compte que finalement, malgré tout, on va bien. Et ça, ça vaut bien un sourire!
Lire la suite...

Quand dimanche rime avec chance!

Publié par Julie le dimanche, avril 25, 2010 2 bouteilles à la mer...

C'est ce matin, avec des tambours et des trompettes, qu'a eu lieu le tirage du livre Comment faire? de Linda Sauvé. ---

1001 questions qui vous chicotent. ---

50 experts qui y répondent. ---

1 personne gagnante qui saura maintenant :---

  • comment tenir ses résolutions
  • comment paraître 10 ans plus jeune
  • comment passer une bonne nuit de sommeil
  • comment se mettre à la méditation
  • comment faire du power ménage
  • et bien plus encore!



Et la gagnante est:

Félicitations à Andaf qui a été pigée par la main chanceuse de GrandeSoeur!

Andaf, écris-nous un petit mot pour nous donner ton adresse postale.

Merci à toutes les personnes qui ont participé!

Soyez à l'affût en mai: d'autres entrevues et concours sont prévus pour nos fidèles lectrices.
Lire la suite...

Samedi... de sourire!

Publié par Julie le samedi, avril 24, 2010 4 bouteilles à la mer...
{ce moment} - Un rituel initié par Soule mama et suivi par des blogueuses telles que M comme maman et Mamanbooh. Une seule photo - aucun mot - capturant un moment de la semaine. Un moment simple, spécial ou extraordinaire. Un moment à capturer pour le savourer et le garder dans nos souvenirs.

PetiteSoeur, tout excitée par son premier spectacle de danse - Maman, tu me mettras du "jour à lèvres"?

GrandeSoeur, toujours dans son rôle de grande soeur - PetiteSoeur, on dit du "rouge à lèvres"!

PetiteSoeur, pleine d'assurance - Pffftt. Je le sais! C'est juste que moi, je le dis en anglais!


© Julie
Sur la scène, je vais faire des beaux sourires!
Lire la suite...

Vendredi merci : merci de me faire sourire !

Publié par Anik le vendredi, avril 23, 2010 5 bouteilles à la mer...
Ah! C'est vendredi... Vendredi d'une semaine particulièrement particulière de particularités..., comme dirait Pat Duval... Comme Nolwenn, La Belle, Mamanbooh et compagnie, je me lance dans mon vendredi merci... Cette semaine, malgré mes problèmes de bouche (!!!), j'ai beaucoup souri, étant de très bonne humeur. C'est que la vie me sourit elle aussi, et pour cause, depuis vendredi dernier :
  • j'ai passé une première journée officielle monoparentale de fin de semaine bien occupée et agréable (malgré l'incident de fin de journée)
  • j'ai passé un super dimanche à relaxer en bonne compagnie
  • j'ai pris congé lundi et passé un moment merveilleux et mémorable...
  • je me suis fait masser lundi soir : délectable ! Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas pris de rendez-vous pour cela.
  • j'ai reçu une offre pour un contrat intéressant, avec Julie, qui devrait se concrétiser bientôt.
  • j'ai reçu sans le demander une offre pour écrire dans une nouvelle revue et le défi est motivant à relever...
  • j'ai trouvé des locataires pour mon sous-sol (mes travaux débutent lundi pour terminer le bachelor)
  • je retourne au badminton ce soir, après 8 semaines d'absence dues à mon pied fracturé. Je jubile!!!
Bref, les choses vont bien. Réellement bien. Je suis heureuse de la tournure des événements... Et je dis merci à la vie de me sourire autant... Je vais lui rendre le mieux que je peux, en souriant à mon tour... :-)

Comment la vie vous sourit-elle ?
Lire la suite...

Correspondance: Le ciel est bleu, la mère est calme

Publié par Julie le jeudi, avril 22, 2010 3 bouteilles à la mer...
Ouf quelle semaine! Rien de mieux qu'un bon échange de courriels entre copines pour ventiler. ---

De : Julie ---
Envoyé : 20 avril 2010, 8:35 ---
À : Anik ---
Objet : Le ciel est bleu, la mère est calme ---

Allô Anik,

Je respire.
  • je dois finir le bulletin de Carrefour
  • j'ai 2000 courriels en attente (je les transfère tous à mon collègue en espérant qu'il pourra s'en occuper)
  • j'ai poireauté 1h30, dehors, dimanche matin, pour avoir un rendez-vous à la clinique d'urgence pour Frérot. Diagnostic: une 5e otite!
  • je suis donc allée à la pharmacie pour des antibiotiques, j'ai (re)pris un rendez-vous en ORL, me suis informée pour l'acupuncture et ai convaincu PapaZen que ce n'était pas si ésotérique que ça
  • après avoir réussi à convaincre la secrétaire de ne pas raccrocher parce que le nombre de patients maximal était atteint, je suis retournée à la clinique lundi soir car Frérot a eu un rash de boutons. Diagnostic: pas d'otite pantoute, une roséole
  • j'ai annulé le rendez-vous ésotérique pris en catastrophe et me questionne pour celui en ORL
  • puisque le médecin a oublié de nous dire si c'était contagieux, Frérot est allé à la garderie ce matin et il est présentement à un rendez-vous de routine en ophtalmologie avec PapaZen et PetiteSoeur (belle leçon de civisme!)
  • il y a ce truc qu'on nous a proposé pour IEA? et je n'ai pas deux minutes devant moi pour y penser. Au secours!
  • mon covoitureur a pris congé aujourd'hui, je dois donc me taper 3 heures de transport en commun
  • je n'ai pas écrit un seul billet de blogue depuis le début de la semaine
Je RES-PI-RE.

C'est quoi le thème de la semaine donc? Ah oui, le sourire!

Julie


Anik répond à Julie


De : Anik
Envoyé : 20 avril 2010, 12:28
À : Julie
Objet : RE : Le ciel est bleu, la mère est calme

Que dire ?

Ouf! Reouf!
Je suis essoufflée juste à te lire.

Je t'ai laissé un message sur ta boîte vocale pour t'encourager.

Mon diagnostic: Ta liste est trop longue et tu veux trop bien faire.
Ma prescription: Tourne les coins ronds et prends congé jeudi.

Anik

P.-S. Ne t'en fais pas pour le billet... Je suis certaine qu'Evely a plein d'idées ;-)

Julie répond à Anik


De : Julie
Envoyé : 20 avril 2010, 14:08
À : Julie
Objet : RE : RE : Le ciel est bleu, la mère est calme

Prendre congé jeudi... Tu me tentes...

PapaZen vient de m'appeler. J'ai pensé mettre des collations dans le sacs, des biberons, des couches... Mais j'ai oublié de mettre les cartes d'hôpital! Oups...

J'ai aussi glissé la mauvaise carte d'assurance maladie de PetiteSoeur. Tu sais, celle qui est expirée? ReOups...

Il avait des fleurs dans son coeur, PapaZen.

Julie
Lire la suite...

Souriez... vous avez une belle bouche !

Publié par Anik le mercredi, avril 21, 2010 5 bouteilles à la mer...
C'est toujours intéressant de sourire lorsqu'on a une belle bouche... Mais la semaine du sourire me met à rude épreuve. Tout simplement parce que je suis dotée d'un beau feu sauvage qui est apparu hier matin... Mon corps me fait savoir (comme à chaque fois que ça m'arrive) que je suis fatiguée... Mais à force de me coucher à 23h00 ou à minuit, vient un moment où je ne suis plus capable de suivre, malgré que je sois très énergique...

Alors, question de sourire davantage, je me suis couchée plus tôt hier... 22h00, hop au lit !
On verra bien ce que ça va donner... Reste que feu sauvage ou pas, il me semble que le sourire illumine le visage, non ?

On vous complimente sur votre sourire ? Y a-t-il des petits désagréments physiques qui vous empêchent de sourire ? En tout cas, je n'ai d'autres choix que de sourire tout de même, parce que je travaille à l'extérieur aujourd'hui, alors je vais croiser bien du monde... avec le sourire ! (et une bonne couche de rouge à lèvres !!!) Une chance que j'ai les lèvres déjà pulpeuses, ça paraît moins ! ;-)
Lire la suite...

Souriez... vous n'allez pas être en «crisse» toute la journée!

Publié par Anik le mardi, avril 20, 2010 3 bouteilles à la mer...
Samedi dernier fut ma première journée officielle de mère monoparentale. Nous avons décidé de nous séparer les fins de semaine (moi, je fais les samedis, lui, les dimanches) afin de bénéficier de plus de temps. Personnellement, je vais devoir travailler les dimanches (du moins, tenter de le faire même si c'est le jour du Seigneur...), question d'ajuster mes finances à ma nouvelle situation. Mais cela ne m'empêchera pas de faire (un peu) la grasse matinée (grasse, le mot est fort : à 8h30, je pense qu'on peut parler de matinée «grassette», ou avec des rondeurs, sans plus).

Enfin, tout cela pour revenir à mon samedi... Bizarrement, quand je suis seule avec les enfants, les choses vont assez rondement. J'avais planifié une journée bien remplie : à 10h15 nous avons quitté la maison pour aller à l'heure du conte... Pendant que Dynamite participait à l'activité (les deux autres n'ont pas entre 3 et 5 ans, donc inadmissibles), moi, Philosophe et AngeCornue nous sommes installées pour lire tranquillement. Petit moment de bonheur simple, avec le sourire. Que j'aime lire avec mes enfants ! (surtout quand je peux lire mes livres ! hihi!)

Ensuite, suivant l'impulsion du moment (et surtout, mon envie quasi viscérale de ne pas faire le dîner), nous sommes allés dîner au royaume du fast-food : le McDonald's... Soit dit en passant, je pense que ce serait potentiellement un bon endroit pour draguer, parce que nous étions 4 parents seuls dans la petite salle de jeux. Les 3 autres étant des pères qui ne doivent pas avoir l'habitude de cuisiner ou qui, comme la plupart des hommes, ne se cassent pas la tête pour concocter des repas équilibrés le samedi midi... ;-) Autre moment de sourire : manger du gras, continuer ma lecture, me laisser bercer les oreilles par une musique d'ascenceur et des cris d'enfants... Un pur délice !

Ensuite, direction Costco pour quelques achats, dont le CD de Lady Gaga et du café froid moccachino que j'adore... Sans parler de toutes les dégustations gratuites du samedi... Plein de sourires en perspectives, et des bisous pour les filles qui se tenaient à la hauteur de mon visage, bien assise dans le panier d'épicerie...

Je suis ensuite allée conduire Philosophe chez un petit copain, puis j'ai fait de la sauce à spaghetti en écoutant de la musique que j'adore (j'ai découvert ITunes en retard, mais c'est super pour classer de la musique). L'odeur de cette sauce me fait aussi sourire... Et certaines chansons, évidemment...

Après le souper, j'ai plié mes 2 énormes brassées de lavage avec AngeCornue... Tout allait bien, au point où je suis ensuite descendue pour écrire un courriel à un ami, ce qui me fait grand plaisir également... Le sourire au lèvre, je sirotais mon fameux mochaccino... Vint alors le moment de quitter la maison pour aller cueillir Philosophe chez son copain...

C'est alors que Dynamite me dit : « Je ne peux pas partir tout de suite, il reste du sable dans la chambre de Philosophe!»...

Du sable??? Du sable??? Mon cerveau se met à faire une constatation rapide. Philosophe a fait des balles de relaxation avec des « ballounes » qu'elle a rempli de sable. Je lui ai demandé de les cacher pour éviter que ses soeurs ne les trouvent... mais Dynamite a un 6e sens pour trouver ce qu'elle ne devrait pas trouver...

Je grimpe les escaliers 2 à 2 et j'arrive dans la chambre pour constater que la plage de Riviera Maya est rendue à Laval ! Il y a du sable partout ! Merde! Merde ! et Remerde ! En un éclair, je suis maintenant en crisse (pardonnez ce québécisme, lecteurs français : je suis en beau joalvert... euh... je suis en pétard ! ça se dit, ça ?)...

Je ne souris plus... Pourtant, j'aurais dû prendre cela avec un grain de sable (lapsus... un grain de sel!)...
Mais je n'y suis pas arrivée sur le moment... Ça m'a pris un petit moment...

Morale : ne pas oublier de sourire, et faire le focus sur l'enfant et non sur la gaffe (pauvre petite Dynamite, elle avait été chercher le balai et tentait tant bien que mal de nettoyer, mais il y avait vraiment trop de sable)...

Alors, souriez... vous ne serez pas en crisse toute la journée!
Lire la suite...

Souriez... vous êtes maman!

Publié par Anik le lundi, avril 19, 2010 5 bouteilles à la mer...
Transportez-vous dans le temps... Dans les tréfonds du votre mémoire, retrouvez le premier sourire de votre bébé ? Son petit sourire aux anges, puis son premier sourire franc et sincère, alors qu'il répondait avec bonheur à votre propre sourire ? Cela vous avait transportée de joie, vous aviez assurément ressenti un élan d'amour incroyable pour votre charmant poupon. Malgré ses fesses odorantes, ses régurgitations sur votre chandail propre, ses pleurs... Un seul sourire et rien de tout cela n'avait plus d'importance ... Encore aujourd'hui, je suis convaincue que le sourire qui illumine le visage de vos enfants ou de vos ados vous fait toujours chaud au coeur.

Il est vrai que le sourire est communicatif... Source de bonheur. Avez-vous déjà essayé d'être en *!%#$! alors que vous souriez ? Tentez l'exercice et vous le constaterez, cela s'avère quasi impossible. Considérant cet outil accessible et tout à fait gratuit (surtout comparé au tarif horaire de mon jardiner en bedaine... (on trouve le bonheur où on peut... héhé!)), pourquoi ne pas l'utiliser davantage ?

Pour les deux prochaines semaines, IEA se penche donc sur le sourire et les petits bonheurs de la vie...

Qu'est-ce qui vous fait sourire ? Allez, partager ! Et surtout, souriez ! :-)
Lire la suite...

Quand dimanche rime avec potinage

Publié par Julie le dimanche, avril 18, 2010 13 bouteilles à la mer...
Il semble que vous avez aimé mes potins de la semaine dernière. Je ne savais pas que vous aviez un petit côté commère, un petit côté papoteuse. Je vous pardonne, ça fait votre charme.

Puisque nous sommes entre nous, il paraît que...

Sylvia Galipeau a fait de chouettes découvertes au dernier Salon maternité, paternité, enfants
Quelques réflexions sur le Salon maternité, paternité, enfants

La Belle réussit à profiter des petits moments qui passent
Prendre le temps

Béka apprend les rudiments de la logique enfantine
L'argument qui tue

Sara se questionne et cherche à retrouver la femme qu'elle est
L'image de soi

Mélissa Lemieux connaît des trucs pour mettre de côté les 1001 trucs qui nous chicotent
15 minutes pour me débarrasser de mes préoccupations

Monsieur Réponse sait pourquoi les hommes sont toujours en mode séduction
Pourquoi les gars draguent-ils toujours les filles?

Mamamiia a (presque) le goût de commencer son ménage du printemps en fin de semaine grâce à Châtelaine
Grand ménage: liste à cocher

Maman 3.0 discute sexe avec Copine 3.0
L'amour l'esprit en paix

Elise lance un nouveau livre destinée aux enfants
Bienvenue à la monstrerie: lancement

===

Je m'arrête ici. Je n'en dis pas plus. Des plans pour que je passe pour la bavasseuse du coin.
Lire la suite...

Samedi... de profiter de ce moment

Publié par Julie le samedi, avril 17, 2010 5 bouteilles à la mer...
{ce moment} - Un rituel initié par Soule mama et suivi par des blogueuses telles que M, Tigrou et Mélissa Une seule photo - aucun mot - capturant un moment de la semaine. Un moment simple, spécial ou extraordinaire. Un moment à capturer pour le savourer et le garder dans nos souvenirs.

Puis-je écrire moins de mots que la semaine dernière? Je crois que oui...
Puis-je publier une seule photo et respecter l'esprit du rituel? Je crois que non... (Je ne savais pas laquelle choisir!!!)

©Julie
Ménage du printemps



©Julie
Le ménage, chez moi, c'est très naturel...
Lire la suite...

Vendredi merci : merci rangement !

Publié par Anik le vendredi, avril 16, 2010 5 bouteilles à la mer...
Aujourd'hui, je veux faire un merci spécial à ce qui me permet de laisser ma maison bien rangée...
  • Merci à la fondation pour le diabète et pour la déficience intellectuelle, qui viennent ici, tous les 2-3 mois, pour chercher ce que je veux donner (vêtement, meuble, objets)... Chaque fois qu'ils m'appellent, je leur dis de venir, même si je n'ai rien mis de côté pour des dons... Je sais que je vais trouver des objets qui ne font plus mon bonheur, mais qui pourraient faire celui des autres...
  • Merci à ma famille de se ramasser de mieux en mieux... Évidemment, les menaces sont parfois nécessaires (Je vais donner tout ce qui traîne dans 5 minutes... alors, dépêchez-vous de ranger!), mais les filles s'améliorent.
  • Merci aux nombreux espaces de rangement que j'ai épuré de plus en plus... Ma grande penderie est presque vide (après avoir donné bon nombre de mes vêtements) et j'aime ça...
  • Merci à ma mère, qui a été un modèle en matière de rangement... Les piles droites... j'ai bien intégré ça... ;-) autre chose aussi, évidemment...
  • J'avoue que j'ai un petit frisson d'excitation à penser à toute la place dont je vais disposer dans ma chambre et dans le bureau de travail quand PapaRelax aura quitté la maison. Mais, question de ne pas avoir envie d'acheter trop de choses, je vais disposer les miennes un peu partout (à moins que je laisse cet espace vide pour « me commander » un nouveau conjoint à l'univers ??? Qu'en pensez-vous ? Il paraît que l'univers n'aime pas le vide et qu'il se remplit forcément...)
Et vous, qu'est-ce qui vous aide à maintenir votre logis bien rangé ?
Lire la suite...

Le ménage, mon chum, mes enfants et moi: les trucs de Linda Sauvé

Publié par Julie le jeudi, avril 15, 2010 8 bouteilles à la mer...
Je sais. Je sais. Vous êtes en délire et vous attendez avec impatience la troisième partie de cette entrevue avec Linda Sauvé, auteure et consultante en organisation. Je comprends tout cela car vous avez de fichues bonnes raisons de la parcourir.
  • Vous aurez plus d'un tour dans votre sac pour "partager" les tâches avec votre homme;
  • Vous saurez comment impliquer vos enfants dans les tâches ménagères;
  • Vous courrez la chance de gagner le livre Comment faire? qui divulgue 1001 façons de répondre à des questions qui vous chicotent.
Sans plus attendre, voici une panoplie de trucs qui vous simplifieront la vie!
===

Julie - Si tu veux, Linda, nous attaquerons aujourd'hui le sujet tabou du partage des tâches.

Linda - Je le veux bien! Et d'ailleurs, on dit souvent que le partage des tâches ménagères est un sujet aussi chaud que les questions d'argent. Dans Organise-moi ça! j'énonce que 40% des femmes considèrent que leur conjoint fait moins que sa juste part de travaux ménagers.

Julie - Et pourtant, toutes les petites tâches comptent pour le bon roulement de la maison... et satisfaire "sa femme"! Plusieurs de mes amies, qui préfèrent garder l'anonymat, se plaignent de devoir assumer seules plusieurs responsabilités reliées à l'entretien de leur maison. Comment arriver à partager les tâches pour que les deux membres du couple soient satisfaits?

Linda - Premièrement, il faut parler au «je» et ne jamais accuser l’autre de ne rien faire.

Julie, pensant à cet effort surhumain - Et c'est possible?

Linda - Bien sûr. Il s'agit, entre autres, de faire attention à ses humeurs. As-tu remarqué que c'est lorsque tu te sens fatiguée ou irritable que tu affirmes "faire TOUTES les tâches TOUTE seule"?

Julie, lui donnant raison - C'est vrai qu'il m'arrive de m'énerver moi-même en ces occasions... Un bol de peanuts, des bas en boule à côté du divan ou un journal qui traine me rapprochent dangereusement de la crise de mère...

Linda - Voilà! On peut aussi utiliser le «veux-tu» au lieu du «peux-tu». L’engagement viendra de Monsieur et non d'une commande de Madame.

Julie, approuvant - J'ai déjà lu ça quelque part... et je l'ai même testé! Il est bien plus difficile de refuser un "Veux-tu passer l'aspirateur, svp?" qu'un "Peux-tu passer la balayeuse?". Oui, il peut. Il est capable. Mais s'il le veut, ça c'est une autre histoire!

Linda, poursuivant - C'est important de se faire un plan de match et de tenir ses engagements. Il faut apprendre à lier la parole au geste et à ne pas être trop rigide sur les résultats. Je ne t'apprends rien si je te dis que chacun doit y aller avec ses affinités et faire des compromis de temps en temps.

Julie, rigolant - Tu ne m'apprends rien mais c'est une grande vérité que l'on prend une vie à intégrer!

Linda - Parmi les autres grandes questions à se poser, il y a "Qu’est-ce la propreté pour chacun?", "Pourquoi ça me stresse quand ce n’est pas fait?", et "Comment je veux me sentir quand je rendre dans telle ou telle pièce?"

Julie, pensant à son agacement lorsqu'elle réalise qu'elle devrait ramasser le comptoir de cuisine pour pouvoir préparer le souper - C'est vrai que l'aspect d'une pièce peut déclencher des émotions agréables ou désagréables...

Linda - Il faut aussi faire la différence entre l'espace commun ( chambre, cuisine, salle de bain, salon, etc) et l'espace privé ( bureau ou espace personnel à chacun). Pour s’en sortir indemne - et ne pas s’ajouter un stress de plus! - il faut faire fi du "barda" et du désordre des espaces privés de son conjoint.

Julie - Voilà un grand défi à relever...

Linda, souriant - Ce n'est rien à comparer à abandonner la mauvaise habitude de vérifier comment s'en sort notre homme s'il prend une initiative! S’il sent pas qu’on ne lui fait pas confiance dans ce domaine, ça dénote un malaise dans d’autres sphères de la vie à deux. On gagne beaucoup lorsqu'on apprend à lâcher prise sur les résultats « à ma manière ou rien »!

Julie, désirant aborder un autre sujet populaire - J'aimerais que l'on aborde un autre sujet populaire: les enfants! Que l'on en ait 1, 2 ou 3, la maison se salit à la vitesse de l'éclair. Comment donner à nos enfants de bonnes habitudes et les impliquer dans les tâches ménagères?

Linda, sage - Ma théorie est simple: si on commence à les impliquer une fois devenus adolescents, c’est très normal qu’ils nous disent : "Tu l’as fait pour moi depuis si longtemps qu’est-ce qui te prend?". On doit commencer tôt, dès qu'ils comprennent qu'ils font partie de la famille. Pour qu'elle fonctionne bien, tous doivent participer à son bien-être... et cela inclut faire la lessive, de mettre la table et de faire la vaisselle... Les parents sont les modèles, si on ne trouve pas la motivation, pourquoi nos enfants l’auraient-il naturellement?

Julie - Logique. Et dans le concret, tu vois ça comment?

Linda - Dans la mesure du possible, il faut que ça s'apparente au jeu. Si on a des enfants d’âge scolaire, on peut déléguer une pièce par personne (en ayant pris soin auparavant de détailler ce qu’il y a à faire dans chaque pièce pour qu’elle soit fonctionnelle ). On met 20 minutes sur la minuterie, on met de la musique et on s'active! Après on fait une activité en famille pour se récompenser ( film, jeu de société, lecture, sport, soirée sans élément électronique, etc.)

Julie, pratico-pratique - Devrait-on donner de l'argent à nos enfants pour les féliciter d'avoir réalisé des tâches ménagères?

Linda - Je n'ai pas d'enfants, mais j’ai une suggestion de gros bon sens. On ne devrait jamais payer un enfant pour une tâche que l’on ne payerait pas de toute façon. Par exemple, faire son lit = non. Laver les vitres de la maison = oui.

Julie - J'aimerais terminer avec une question à 1000$: Être organisée, est-ce que ça s'apprend?

Linda - Bien sûr! Toutefois, il faut le vouloir! Être organisé, ça commence toujours entre les deux oreilles. On doit faire le ménage à l’intérieur de soi avant de s’attaquer à son environnement.

Julie, curieuse - Pourquoi?

Linda - Ça surprend toujours les gens quand je dis en conférence « Mon environnement reflète profondément ce qui se passe à l’intérieur de moi». Je leur fais même répéter la phrase à voix haute... Si c’est le désordre dans un domaine de notre vie ( travail, famille, social, émotif, spirituel, etc), ça se reflètera dans notre environnement. Dès que cette prise de conscience ce fait, les changements peuvent se mettre en place. Et c'est là qu'on peut apprendre à mieux s'organiser. C’est pour cette raison qu’on ne peut pas imposer l’organisation à quelqu’un: c’est un choix. Si on a fait cette prise de conscience mais qu’on résiste à faire des changements, on doit trouver la raison de notre résistance.

Julie, souriant en pensant à son syndrome de la page blanche et à l'aspect actuel de sa table de travail - J'ai des réponses à trouver, je crois...

Linda - Si c'est momentané, ne t'en fais pas trop. Mais si ça perdure, tu dois identifier ce que ton désordre te procure. Tant que tu trouveras des bénéfices à être désorganisée (ne pas inviter des gens à la dernière minute, la paresse, refus ou blocage émotif, etc), la situation ne changera pas. Tu sais, on maintient un comportement tant et aussi longtemps qu'on en retire des bénéfices.

Julie - C'est vrai?

Linda - C'est vrai. Si sinon on cesse de pratiquer ce comportement! Oui, l’organisation c’est émotif!

Julie, ravie, même si elle réalise qu'elle doit trouver ses propres réponses - Linda, je suis ravie que tu sois venue faire un tour sur notre blogue et que tu aies partagé ton expertise. C'est un grand honneur pour nous deux, mamans débordées.

Linda - C'est avec plaisir que j'ai accepté votre invitation. Toi et Anik avez un ton fort convivial, sympathique et personnel. Un air de grandes chums semble vous lier!

Julie, reconnaissante - Nous en profitons pour te dire remercier de nous avoir, sans le savoir, inspirées pour notre projet d'écriture. Organise-moi ça! est tombé à point dans nos vies!

===
Répondez à la question suivante et courez la chance de gagner le livre Comment faire? de Linda Sauvé
  • Dans votre couple, le partage des tâches ménagères vous apparaît-il équilibré?

Truc imparfait pour les fans de concours:

Augmentez vos chances de gagner en allant commenter les deux premières parties de cette entrevue avant le vendredi 23 avril, 23h.

===
Pour consulter la première partie de cette entrevue
Pour consulter la seconde partie de cette entrevue
Pour consulter le site de Linda Sauvé (pour découvrir ses trouvailles et ses formations à venir)
Pour en savoir davantage sur ses livres (et vaincre le chaos une fois pour toutes!)
Pour lui écrire (et avoir la chance de mettre la main sur un des derniers exemplaires d'Organise-moi ça!)
Lire la suite...

Le ménage et l'organisation : une aide précieuse pour annoncer un divorce ?

Publié par Anik le mercredi, avril 14, 2010 5 bouteilles à la mer...
Hier, PapaRelax et moi avons annoncé à notre grande fille que nous allions divorcer. Qu'elle allait avoir deux maisons plutôt qu'une. Après une crise de larmes en règle, nous lui avons fait miroiter quelques points positifs à cette nouvelle vie.

PapaRelax se fait construire une nouvelle maison et a proposé à notre grande fille de l'aider à organiser et à décorer la maison, à faire les choix de couleurs et de meubles... Nous lui avons aussi dit qu'elle pourrait choisir les jouets qu'elle veut ici et les emporter là-bas. Cela a eu l'air de lui plaire. Comme quoi, un projet comme celui-ci peut être salvateur, ou du moins, diminuer la peine, changer les idées...

Reste que j'aurais quand même aimé attendre encore pour lui annoncer la nouvelle, comme il reste encore 3 mois avant le jour D (pour Divorce, Déménagement ou bon Débarras... ichhh! elle est méchante la madame, mais ça reste que c'est un peu difficile d'endurer cette situation entre-deux et j'ai hâte d'être seule dans mes affaires, à mener ma barque).

En tout cas, le ménage va être vraiment plus facile à faire sans homme à la maison... et je ne parle pas juste du bol de toilette... ;-)
Lire la suite...

Comment déléguer le ménage sans culpabilité ?

Publié par Anik le mardi, avril 13, 2010 5 bouteilles à la mer...
Comme vous le savez, en fin de semaine, Julie et moi étions au salon du livre. Et qui dit fin de semaine, dit ménage chez moi. Le dimanche matin, c'est le rituel. Or, je n'étais pas là dimanche. Et la semaine précédente, j'avais fait zéro ménage ni rangement (ou presque). Résultat :
  • le sous-sol était bordélique (vous devriez voir la salle de bricolage : la table de brico contient des amas de petites retailles, bouts de rubans, peinture et autre, il y a des jouets partout par terre)
  • les planchers des chambres des filles étaient jonchés d'objets, de vêtements ou de jouets
Bon, d'accord, c'est à peut près tout. Les autres pièces avaient leur allure habituelle. Cette semaine-là, je n'avais pas le goût d'exiger des filles qu'elles se ramassent. Pourquoi ? Probablement parce que sachant que je partais pour 2 jours, je voulais laisser à PapaRelax le « plaisir » de ramasser avec les filles.

Comble de la délégation (et de la déresponsabilisation, tout est relatif), les filles ont fait une soirée cinéma le vendredi soir, et je n'ai pas ramassé la quantité de graines phénoménales qui en a résulté. J'ai laissé ça tout sale, et samedi matin, je me suis poussée à 7h30... Bye! Bon ménage à vous tous !



Ça fait du bien... Je ne me sens pas coupable et je suis revenue à la maison avec une maison propre... (ou presque, mais quand on délègue, on se la ferme ou on fait soi-même!)
Lire la suite...

Entrevue Web: L'auteure Linda Sauvé partage le B.A.-ba de l'organisation

Publié par Julie le lundi, avril 12, 2010 7 bouteilles à la mer...
La première partie de cette entrevue a remporté un vif succès.

Écoutez les témoignages de ces clientes satisfaites:

La Belle en feu ces temps-ci -
Organise-moi ça!
est un livre que j'ai toujours proche de moi!

MamanBooh, sceptique confondue -
Les filles, est-ce une vraie entrevue?

Cat, nouvelle sur IEA -
Wow! Je veux participer au tirage !

Mamounet, inspirée
-
J'ai survécu au dynamitage de mon sous-sol, notre tri de bidules progresse!

Prune, d'humeur changeante -
J'ai du mal avec les rituels. Organisée un jour, pas organisée toujours!

Anik, rassurée -
Moi, j'ai déjà eu un ouragan dans mon sous-sol, avec tous ces trucs, je suis maintenant prête à toute éventualité!

Voici la deuxième partie de cette entrevue Web avec Linda Sauvé, consultante en organisation!

Au programme:
  • Au secours! Comment ne pas passer sa fin de semaine à faire du ménage?
  • Devrait-on suivre la "mode" et attendre au printemps pour faire un grand ménage?
  • Merde! De la visite s'annonce à l'improviste! Comment s'en sortir?
  • Quelles sont les imperfections d'une consultante en organisation?
===

Julie, méthodique - Pour cette seconde partie de l'entrevue, si tu le veux bien, nous aborderons trois grandes difficultés rencontrées par les mères de famille à l'horaire bien rempli.

Linda, d'attaque - Je suis prête à partager mes conseils!

Julie - Difficulté #1: PapaZen et moi, même si une bonne fée du ménage nous rend de précieux services aux quinze jours, nous sommes découragés d'avoir autant de ménage à faire la fin de semaine. Au secours! Comment se reposer et profiter de nos week-ends?

Linda, ayant plus d'un tour dans son sac - Pour avoir ma fin de semaine libre de corvées, je fais le ménage d’une pièce par soir. Il y a habituellement 5 pièces majeures dans chaque résidence. J’y consacre 20 minutes au maximum. J'utilise la minuterie: c'est un outil extraordinaire pour se mettre en action, même pour ceux qui procrastinent!

Julie - Tiens! Pas bête du tout!

Linda, poursuivant - Je fais aussi mon ménage avant mon émission de télé préférée. Ça me motive et ça devient ma récompense. Après c’est soirée libre!

Julie, se disant que les occasions sont multiples avant Lost, Grey's Anatomy et Flash Forward et que sa maison brillera probablement comme un sou neuf bientôt - ... Je sens que je n'aurai plus d'excuses...

Linda - Et tu te surprendras peut-être à espérer que les séries de la coupe Stanley seront trrrèèèssss longues. Ça motive son homme de ramasser la cuisine avant l'hymne national...

Julie, souriant - Je prends des notes. Je prends des notes... Situation problématique #2. Notre spécimen est Anik, une femme aux multiples imMÈREfections. Elle préfère faire son « grand ménage » l’hiver plutôt qu’au printemps puisque, de toutes façons, elle dit qu’elle est "pognée" à l’intérieur. Le grand ménage, qu'on associe à la saison du printemps, est-il une légende urbaine? Devrait-on plutôt l'intégrer à notre routine quotidienne?

Linda - Pour ma part, si j’ai le goût de me défaire de vêtements ou de meubles, je n’attends pas le printemps! Je passe à l’action tout de suite! Je suggère d'ailleurs dans mon site, la rubrique TROUVAILLES. Elle renferme une listes d’endroits où donner des objets inutiles pour soi.

Julie - Merci pour ces références! Pour ma part, j'utilise la rubrique à donner des PAC. C'est gratuit et j'ai déjà réussi à me débarrasser de mes cochonneries en 24h (excusez-la!). J'en connais qui sont des fans inconditionnels du réseau FreeCycle et de Kijiji. C'est vrai que, quand on est prêt, donner nos surplus, ça presse! Il faut répondre à cet "appel"!

Linda, acquiesçant - Ce qui est super avec le « grand ménage» c’est que ça fait de la place pour du nouveau et c’est bon en tout temps de l’année!

Julie, subitement honteuse - Situation embarrassante #3. Quand de la visite s'annonce à l'improviste chez nous, j'ai comme une petite gêne lorsque je regarde le nombre d'objets qui ne sont pas à leur place. Quelles tâches devraient absolument être faites?

Linda, rassurante - Ce n’est pas le temps de sortir la balayeuse, ni le plumeau! Il faut s'attaquer aux endroits critiques : les pièces où tes invités mettront les pieds c’est-à-dire : l’entrée, la cuisine, le salon et la salle de bain. L'action clé ici est « dégager » : dégager l’entrée des bottes ou manteaux superflus, dégager les comptoirs dans la cuisine et salle de bain, ainsi que la table à café du salon. Tout ça pour avoir le temps de troquer le pyjama pour des vêtements plus appropriés et de dire : « Ah! mais entrez donc! » lorsqu’ils passeront le pied de la porte.

Julie, notant mentalement que PapaZen en fait un peu trop de zèle en lavant les portes miroirs avec frénésie - Je retiens. Je dégage les espaces! Ça devrait me permettre de me sentir mieux! On va gagner un peu de temps car on n'a pas de table à café... (puis curieuse) Maintenant, j'aimerais en savoir un peu plus sur les petits et grands défauts d'une personne qui fait de l'organisation une profession. Dis-moi, une parfaite organisatrice est-elle imparfaite?

Linda, sérieuse mais avec un franc-parler qu'on lui découvre - Je suis une perfectionniste qui se soigne. Vive l’imparfaiteté! Mon dieu, je viens d’inventer un mot!. J’ai « slaqué la barrette » et je m’en porte beaucoup mieux. J’aime me simplifier la vie... Je trouve qu’on se la complique tellement parfois parce qu’on veut garder le contrôle! C'est pourquoi je tente de partager mes trouvailles et mes réflexions avec le plus de gens possible.

Julie - Dans le chapitre relié au power ménage de Comment faire?, tu affirmes que dans la culture zen, on se purifie à faire du ménage. Je me demande... Réussis-tu réellement à reposer ton âme en faisant du ménage?

Linda, riant - Ceux qui affirment cette thèse, je ne les ai pas encore rencontrés! Mais cette théorie m’aide à me calmer le pompon si je prends le temps de faire la vaisselle à la main. C’est assez zen si je prends cette tâche dans le sens de "laver les choses inutiles de la journée pour n’en garder que le bon". Mais je ne pousserais pas jusqu’à dire que c’est une méditation mais … je me pratique ( ha! ha!)

Julie, qui pense relire le chapitre de Comment faire? intitulé "Comment se mettre à la méditation?" - Anik et moi sommes des amies très proches de St-Antoine-de-Padoue, bien que ce dernier soit tellement sollicité qu'il n'a plus le temps de s'occuper de retrouver les chaussettes qui ont perdue leur jumelle...

Linda, compatissant - Et c'est fort dommage...

Julie - Je l'ai même déjà invité à souper pour qu'il nous aide à retrouver les lunettes de PetiteSoeur. L'invoques-tu toi aussi pour retrouver tes objets perdus?

Linda - St-Antoine est assez fort, je l’avoue! Mais le fait de faire toujours six choses à la fois, ne nous aide pas à être présent dans chaque activité de notre journée. Souvent, on met le doigt sur cet endroit mystérieux où se cache notre objet lorsqu’on va prendre une marche ou l’on fait autre chose. Notre cerveau est une machine phénoménale.

Julie, pensant entre autres au sien - Je n'ai pas de mal à te croire! (puis concluant) Écoute, Linda, j'aimerais aussi aborder le partage des tâches ménagères entre les membres de la famille. Accepterais-tu de revenir nous donner des pistes pour amener notre douce moitié et nos non moins doux trésors à coopérer?

Linda - Ce serait avec plaisir!

===

Répondez à la question suivante et courez la chance de gagner son livre Comment faire?
  • De la visite arrive chez-vous à l'improviste, comment vous en sortez-vous?
Truc imparfait pour les fans de concours:
Augmentez vos chances de gagner en allant commenter les deux autres parties de cette entrevue!
===
Pour consulter la première partie de cette entrevue
Pour consulter la troisième partie de cette entrevue
Pour consulter le site de Linda Sauvé (pour découvrir ses trouvailles et ses formations à venir)
Pour en savoir davantage sur ses livres (et vaincre le chaos une fois pour toutes!)
Pour lui écrire (et avoir la chance de mettre la main sur un des derniers exemplaires d'Organise-moi ça!)
Lire la suite...

Quand dimanche rime avec potinage

Publié par Julie le dimanche, avril 11, 2010 9 bouteilles à la mer...
Il y a quelques mois, j'ai pris la grande résolution de suivre TOUT ce qui se passait sur la blogosphère féminine. Dans la grande frénésie qui me caractérise à chaque début de projet, j'avais fait une importante et jolie collection de fils RSS* dans mon agrégateur. J'en avais des dizaines. Et assurément les meilleurs parce que je les avais choisis minutieusement (déformation professionnelle).

Mais, en tant que mère de famille (donc en femme débordée), j'avais tellement de fils à suivre que je ne prenais jamais le temps d'aller voir ce qui se tramait dans les chaumières de mes consoeurs. Les bons billets que je n'avais pas le temps de lire s'accumulaient. C'était désespérant juste d'y penser.

Mais comme j'en suis à faire du ménage pour bien m'orienter dans mes projets, j'ai passé ma liste au bistouri un peu plus tôt cette semaine! Et j'ai découvert une dizaine de perles que j'aimerais vous partager.

Mamamiia veut organiser une journée pour les blogueuses
Bon congé et sondage pour une journée conférence

Grande Dame partage sa technique pour ne pas critiquer sa (tendre) moitié pendant qu'il fait une tâche (pourtant simple) comme le ménage
La technique

Stéphanie de NaîtreEtGrandir se questionne
Allaiter 6 mois: réaliste ou idéaliste?

Monsieur Réponse tranche une question épineuse
Pourquoi les femmes sont si compliquées?

Valérie arrive à ses fins en "négociant" une sieste avec son fils
La négociation

La Mère Michèle nous invite à un intense moment de bonheur dans sa baignoire
Passez go et ne réclamez pas les coliques

Prune gardera-t-elle la tête au-dessus de cette insulte?
Skud

Sur une suggestion de Prune, je me suis retrouvée sur Auguste et cie, dont ce billet m'a tiré des larmes
La maman d'Auguste

Mamanbooh partage un concept ingénieux
Connaissez-vous la loi de Mommy?

Tchoubi est...
Je suis

Aimez-vous ce concept de potinage? Devrais-je continuer à vous faire découvrir mes trouvailles?

===
*Pour celles dont l'expression fils RSS s'apparente à du chinois, je vous conseille de parcourir l'imparfaite et rigolote vidéo RSS in plain english ou encore Se tenir informé avec les fils RSS du RÉCIT FGA pour vous familiariser au concept.
Lire la suite...

Samedi... de faire mieux!

Publié par Julie le samedi, avril 10, 2010 7 bouteilles à la mer...
Voici une idée toute simple, repiquée de M. Comme Maman, la maman créatrice par excellence, celle que j'envie parce qu'elle semble avoir le temps de faire tout ce qui lui plaît. Elle-même s'est inspirée de Soule Mama.

L'idée est de prendre une photo d'un moment significatif de notre semaine. Pas de mots. On laisse la photo parler.

Humm... Pour moi, c'est difficile. J'aurais aimé vous mettre ma photo en contexte et vous expliquer comment j'en suis arrivée là. J'aurais voulu vous dire que "je le sais, je mérite mieux", que "ce n'est pas de ma faute, les filles laissent leurs babioles un peu partout"... Besoin de ménage = besoin d'idées claires... n'est-ce pas ce que vous avez conclu dans la discussion philosophique menée par Anik un peu plus tôt cette semaine?

Zut... j'ai déjà trop parlé. Je me reprendrai la prochaine fois :-D

©Julie
Vous ai-je dit que j'ai le syndrome de la page blanche en ce moment?
(ne pas confondre avec le syndrome de la plage blanche...)
Lire la suite...

Vendredi merci: merci visiteuses du Salon du livre de Québec!

Publié par Anik le vendredi, avril 09, 2010 11 bouteilles à la mer...
Merci à vous, lectrices, de venir nous rencontrer si nombreuses au Salon du livre de Québec.

Nous serons au kiosque #331 :
le samedi 10 avril, de 13h30 à 15h30
le dimanche 11 avril, de 9h00 à 10h00

Il nous fera plaisir de dédicacer votre copie d'Imparfaite, et alors? et de jaser imMÈREfection avec vous!

Viendrez-vous nous saluer?
Lire la suite...

Faites-vous du ménage à deux niveaux ?

Publié par Anik le jeudi, avril 08, 2010 9 bouteilles à la mer...
Je ne sais pas pour vous, mais personnellement, lorsque me prends l'envie de faire un grand ménage, c'est souvent que dans ma vie, je souhaite également faire du ménage... Clarifier, ordonner et libérer mon espace a un effet positif sur moi et m'aide à clarifier mes idées, ordonner mes objectifs et libérer mon esprit.

Or, je remarque que cette envie me prend, non pas au printemps, mais généralement en décembre. Influence de l'année qui se termine et désir de commencer la prochaine année en beauté ? Probablement... C'est peut-être aussi que le congé des fêtes semble un bon moment pour ranger, surtout que l'on reçoit beaucoup pendant cette période...

Pour une chose qui rentre dans la maison, j'essaie d'en faire sortir une autre, question d'éviter l'encombrement... Technique simple à écrire, mais pas si facile à appliquer. Mais bon, j'ai de la « chance », mon ménage sera bientôt très aisé à effectuer : lorsque PapaRelax quittera la maison en juillet, je compte bien lui donner bien des choses (les objets d'enfants, entre autres, prennent une place folle, vous ne trouvez pas ça chez vous?)... Me retrouver avec le même espace, mais deux fois moins d'objets, j'avoue que ça relève du fantasme, presque... Enfin, un milieu de vie vraiment épuré...

Avez-vous envie d'épurer aussi votre habitation, ou préférez-vous une maison bien remplie ?
Lire la suite...

La consultante en organisation Linda Sauvé révèle ses meilleurs trucs!

Publié par Julie le mercredi, avril 07, 2010 14 bouteilles à la mer...
Ça s’est passé quelque part à l’automne 2006. J’étais de retour au boulot après le congé de maternité de PetiteSoeur. J’étais déjà cernée et j’en avais plein les bras. Pour me détendre, j'avais décidé d’aller à la bibliothèque. J'avais mis la main sur une pile de bouquins pour meubler mes « temps de transport ». En faisant la file au comptoir du prêt, je me suis retournée vers l’étagère des nouveautés. Il était là. Il m’appellait. « Organise-moi ça! ». Quel beau titre pour moi! J'ai feuilleté. J'ai salivé. Mais je l'ai replacé, me disant que PapaZen allait se payer ma gueule. C’est que, dit-il, j'ai l'habitude de tout optimiser et que je n'ai plus rien à apprendre du concept d'efficacité. Le livre m’appelait encore. « Organise-moi ça! S’organiser efficacement pour sauver temps et argent. » C’était un signe. Au diable le fou rire de PapaZen. Je l'ai pris et suis partie sans demander mon reste.

Dans l’histoire de ma bibliothèque municipale, je détiens probablement le nombre record de renouvellements pour ce livre, dont j’ai déjà fait les éloges ici. J’ai partagé ma trouvaille avec Anik qui, à la même époque, faisait aussi des pieds et des mains pour concilier le travail avec la famille. S’organiser. Simplifier. En faire moins. Épurer. Reconnaissez-vous les idées à la base d’Imparfaite, et alors? Ce livre a été notre élément déclencheur.

Même si l’auteure d’Organise-moi ça!, Linda Sauvé, nous a appris une foule de trucs pour nous simplifier la vie, Anik et moi faisons toujours une belle paire dans le domaine de l’organisation et du ménage. Quand ce n’est pas Anik qui a envie de tout crisser dehors ou de passer au jeu télévisé la Roue de l’organisation, c’est Julie qui pense breveter le torchon Cendrillon pour motiver ses enfants à faire du ménage ou lancer la journée familiale du désencombrement

Puisque qu’on n’a jamais assez de trucs pour faire vite (et mieux!) et puisque je vous imagine aussi débordées que nous, j'ai demandé à Linda Sauvé de nous partager ses meilleures astuces. En tant que consultante en organisation, voici comment ses conseils pour survivre à la corvée du ménage du printemps et à l'organisation de sa maison.

Commençons aujourd'hui par la BASE.

===

Julie – Je te remercie de répondre à nos questions imparfaites. C’est tout un honneur pour nous que tu prennes le temps de le faire.

Linda, sympathique à souhait – Merci à toi pour cette belle occasion de jaser. Qui sait, cela allumera peut-être des lumières pour simplifier la vie de vos lectrices?

Julie, enthousiaste – Tu sais, je ne suis pas trop surprise qu'Organise-moi ça! soit best-seller. Je l'ai dévoré en quelques jours, mais j’y ai référé souvent au fur et à mesure que je progressais...

Linda, humble Organise-moi ça! a été le premier livre du genre au Québec, écrit pour les gens d’ici. Cet ouvrage m'a pris deux ans de recherche et trois ans d’écriture. La 2e édition n'est plus disponible en librairie, mais il m’en reste une vingtaine de copies chez moi, disponibles à la vente… On n’a qu’à communiquer avec moi.

Julie, pensant réserver une copie – Les trucs que tu y présentes sont simples et il est facile de les mettre en pratique. Et tu as adopté la même approche avec Comment faire? que tu viens de publier. Cinquante spécialistes répondent à 1001 questions qui nous chicotent comme "Comment faire du power ménage?", Selon toi, quelle est la première étape pour organiser notre maison et mettre fin au bric-à-brac qu'elle contient?

Linda, pratico-pratique – Il faut faire le tri de ses objets. C’est une étape incontournable. Il faut trier parce qu’on change. Ça nous donne enfin l’occasion de nous demander : est-ce que je veux encore de cet objet, de ce vêtement, de ce bidule? Est-ce utile dans ma vie actuelle. C’est l’étape #1. On détermine si on garde, on donne, on vend, ou on jette.

Julie, récitant presque cette révélation-choc de mémoire – Tu dis d'ailleurs qu'on ne devrait garder que ce qui nous apporte du plaisir, que si nos objets ne nous en apportent plus, il faut les laisser aller à d'autres qui en retireront. Même si cette philosophie a complètement changé mon rapport à mes bébelles, je ne sais pas toujours par où commencer pour organiser ma maison.

Linda, allant droit à l'essentiel – C'est facile! Il faut toujours commencer par l’endroit qui nous achale le plus, qui nous stresse ou qui nous fait soupirer. Pourquoi? Parce qu’une fois organisé cet espace procure un effet d’accomplissement. Ça valorise, ça donne une grande satisfaction et ça nous pousse à continuer dans les autres espaces qui demandent notre attention.

Julie, trouvant le tout logique mais réalisant l'ampleur de la tâche avec la tornade de ses trois enfants - Il reste que c'est une longue entreprise. Comment ne pas se décourager en cours de route?

Linda – Il ne faut pas partir en peur! Par exemple, si tu es du genre à penser que vous réorganiserez votre garage en trois heures, je te dis STOP! Donnez-vous plutôt la chance de réussir en prenant trois heures par fin de semaine pendant trois semaines. Aussi, tu peux travailler une zone à la fois. Par exemple, la zone outils de jardinage, la zone recyclage, la zone auto et zone bricolage.

Julie, pour qui le concept de zone apparaît vraiment concret – Vraiment?

Linda – Bien oui! De plus si tu fais ton triage avec ton homme, avec une bonne musique, un cocktail (optionnel!) et que vous prévoyez une récompense non alimentaire à la fin, ça change tout!

Julie, voyant bien que Linda est une vraie de vraie avec son histoire de cocktail – Donc, le plaisir est une clé. On garde les objets qui nous font plaisir et on travail dans une ambiance décontractée...

Linda, concrète – Tu vas voir, l'énergie sera beaucoup plus dynamique. Et tu te sentiras moins coupable d’avoir attendu si longtemps avant de te décider à passer à l’action. Faire du ménage de fond, ça doit être le fun! Si c’est une autre tâche à ajouter à la liste déjà trop longue de trucs à faire (et même si on avait une clone pour nous aider), ça ne nous dira jamais de nous y mettre!

Julie, déjà trrrèèèsss familière avec le concept de To do List – Pas étonnant que j'aie tant aimé ton livre. Tu parles mon langage! Personnellement, je trouve que le printemps est un excellent moment pour faire le ménage de nos placards. Quels sont tes conseils pour faire un bon tri?

Linda, rapide sur la gâchette – Je dis souvent à mes clients : un tiroir à la fois, un type d’objets à la fois. Par exemple, faire le triage du papier, le triage des pantalons ou le triage des souliers.

Julie, se félicitant intérieurement d'avoir fait ce qu'il fallait – Justement, nous sommes cinq chez nous. Et les vêtements, c'est toujours pêle-mêle.

Linda, femme d'expérience – Voici un truc, facile à retenir et amusant. Il est toujours grandement apprécié dans mes conférences ou mes consultations. Pour les vêtements, par exemple, on garde nos AMIS.

Julie, un peu sceptique – Nos amis?

Linda, acquiesçant – Nos amis, c'est-à-dire, ceux que l’on portent souvent. Au fait, savais-tu que l'on porte 80% du temps, 20% de notre garde-robe?

Julie, se remémorant cette révélation-choc qui a changé la vie d'Anik – Anik est sans connaissance depuis ce temps. Je me demande même si monsieur Pareto n'est pas son ami Facebook...

Linda, poursuivant sa métaphore – On garde aussi quelques morceaux que l’on porte à l’occasion. Ceux-là, je les appelle des CONNAISSANCES. Enfin, on donne, on vend les vêtements que l’on ne porte plus parce qu'ils ne sont plus de notre taille, qu'ils ne sont plus de notre style ou qu’ils ne nous donnent pas l’impression que l’on vaut 1 million de dollars.

Julie, se disant que cette image de million de dollars plaira à Anik -
Et ceux-là, tu les appelles comment?

Linda, patiente - Je les appelle les ÉTRANGERS.

Julie, comprenant l'analogie - Ah! C'est un bon exemple, qui peut assurément être transféré pour d'autres objets! Et je suis même certaine qu'il parlera à mes enfants aussi! Mais dis-moi, après ce dur labeur, comment ranger les trucs qui ont survécu au tri parce qu'ils nous sont encore utiles?

Linda, simple - Chaque objet que l'on décide de garder doit avoir une place assignée, un lieu désigné et permanent.

Julie, faisant des liens - Ce n'est pas ton concept de "maison"?

Linda, pragmatique - C'est lui! T'a-t-il aidée?

Julie, reconnaissante - Et comment!!! C'est très parlant pour tous les membres de la famille. Mais je travaille encore sur le fait que le premier "trou" disponible ne fait pas nécessairement de ce "trou" une bonne maison pour ranger une paire de bobettes, une manette de télé ou un bricolage...

Linda, se rendant à l'évidence - Disons que l'apprentissage prend un certain temps... Pour bien ranger, il faut garder à portée de main ce que l’on utilise SOUVENT. On garde plus bas, dans son armoire par exemple, ce que l’on utilise A L’OCCASION. Enfin, on range plus haut, parce que c'est plus difficile à atteindre, les objets que l’on utilise RAREMENT.

Julie - Admettons que nous avons, PapaZen et moi, travaillé comme des dingues pour faire notre tri et ranger notre barda. Qu'on ait pris notre cocktail pour rester motivés et qu'on se soit félicités à l'aide d'une récompense non alimentaire. Comment maintient-on nos résultats?

Linda, ayant décidément réponse à tout - Il y a une règle d'or: si un nouvel objet entre dans vos espaces, quel qu’il soit, un vieux doit inévitablement en sortir. Sinon, ça recommencera à déborder. Si cela arrive, c'est un signe que vous devrez refaire un tri dans vos tiroirs, bacs en plastique, paniers, garde-robes et armoires!

Julie, réalisant le caractère plausible de ce scénario - Mon petit doigt me dit que ça risque d'arriver...

Linda - Vois-tu, le maintien fait partie du plan de match. Si on ne prévoit pas du temps pour maintenir notre organisation, ça sera encore à recommencer dans humm... deux semaines. Le maintien, c’est replacer l’objet dans sa «maison permanente» après son utilisation. C’est prendre quelques minutes par jour et par semaine, pour classer dans le bon dossier les factures payées. C’est avoir un système en place (que tous les membres de la famille connaissent!) pour simplifier sa vie.

Julie - Linda, j'ai une pile d'autres questions imparfaites à te poser. L'implication des enfants dans les tâches ménagères, la visite qui s'annonce à l'improviste, les imperfections d'une organisatrice professionnelle...

Linda - Puisque tu veux tout savoir, je te dirai tout! Et je pourrai aussi remettre un livre à vos lectrices à la fin de cette entrevue.

Julie, heureuse de cette proposition - J'en connais qui seront ravies! On poursuivra cette discussion d'ici quelques jours.

===
Que pensez-vous de ces trucs? S'appliquent-ils à votre façon de faire? Vous motivent-ils à passer à l'action?

Commentez ce billet et courez la chance de gagner son livre Comment faire?

Truc imparfait pour les fans de concours:
Augmentez vos chances de gagner en allant commenter les deux autres parties de cette entrevue!
===

Pour consulter la deuxième partie de cette entrevue
Pour consulter la troisième partie de cette entrevue
Pour consulter le site de Linda Sauvé (pour découvrir ses trouvailles et ses formations à venir)
Pour en savoir davantage sur ses livres (et vaincre le chaos une fois pour toutes!)
Pour lui écrire (et avoir la chance de mettre la main sur un exemplaire d'Organise-moi ça!)
Lire la suite...

Comment rendre le climat des repas plus agréable?

Publié par Julie le mardi, avril 06, 2010 0 bouteilles à la mer...
Vous vous souvenez de notre entrevue avec Geneviève O'Gleman?

Bien, notre nutritionniste imparfaite préférée se lance dans un nouveau projet. Pour mieux comprendre comment se déroulent les repas des soirs de semaine avec les enfants, elle a conçu un sondage, auquel vous, lectrices dévouées, êtes conviées de répondre.

C'est chouette parce que:
  • il s'agit d'un sondage en ligne (aucun représentant n'ira chez vous);
  • cela ne prend que quelques minutes (ou un peu plus si vous souhaitez être seule un petit moment);
  • les questions sont faciles (et vous pourrez vous défouler un peu sous le couvert de l'anonymat ou vous confiez à une oreille compatissante);
Vous avez jusqu'au 15 avril pour répondre au sondage.

http://www.surveymonkey.com/s/repas

Ps. Moi j'y ai mis toute la gomme en répondant parce que, s'il s'agit d'un nouveau livre de trucs et de recettes pour les enfants comme j'en fais l'hypothèse, je saurai enfin comment résoudre tous mes petits chichis.
Lire la suite...

Une envie folle de faire du ménage!

Publié par Julie le lundi, avril 05, 2010 5 bouteilles à la mer...
Avec le beau temps des derniers jours, je jubile à l'idée de profiter du printemps. Pour moi, cela signifie une nouvelle énergie et des espaces aérés. Et des espaces aérés, bien ça passe inévitablement par une envie incontrôlable de faire du ménage.

Pourtant, en janvier, je confiais déjà à Anik que que j'étouffais et que j'avais besoin d'oxygène. Je jurais aussi à PapaZen qu'on allait enfin se débarrasser de tous nos objets inutiles. En avril, bien... j'ai avancé un peu dans ma traque au bric-à-brac familial. Le salon se maintient tant bien que mal. La réorganisation de la salle de jeux est pratiquement terminée. Et j'ai passé au peigne fin presque toutes les armoires de la cuisine. Mais puisque vous remarquerez les adverbes "un peu", tant bien que mal", "pratiquement" et "presque" de mes dernières phrases, vous comprendrez pourquoi mes hormones ne me crient pas encore haut et fort qu'elles sont enfin satisfaites.

Nous jaserons donc ménage du printemps au cours des deux prochaines semaines. Ressentez-vous aussi cet Appel avec un grand A? Avez-vous commencé? Comment vous y prendrez-vous?
Lire la suite...

Quand dimanche rime avec Pâques

Publié par Julie le dimanche, avril 04, 2010 2 bouteilles à la mer...
Que fait la famille de Julie en ce matin de Pâques? Voici un choix de réponses.
  1. Tous font la grasse matinée jusqu'à 7h15
  2. Julie et PapaZen cuisinent des crêpes parfaitement réussies, comme au restaurant
  3. Julie et les filles réalisent un bricolage qui n'a pas mal tourné
  4. Tous vaquent à leurs activités personnelles en pyjama
1, impossible?
2, sans rater la première en plus?
3, avec des oeufs de Pâques, sans les casser, je suppose?
4, tous, vraiment?

Vous n'y êtes pas du tout!
Il s'agit de toutes ces réponses!
  1. Julie et PapaZen ont vraiment apprécié la surprise de cette grasse matinée bénie, après avoir écouté tard hier soir l'excellent film québécois J'ai tué ma mère.
  2. La recette de tites minces de Nancy est délicieuse. D'autant plus qu'elle requiert les 4 oeufs nécessaires pour réaliser le #3.
  3. Julie s'est inspiré d'une création de son amie Zela, qui avait fait un malheur au secondaire avec ses oeufs de St-Valentin.
  4. PapaZen qui regarde la course auto, Frérot qui déguste son biberon dans son lit, PetiteSoeur et GrandeSoeur qui papotent, Julie qui blogue. Vive les matins pyjama relax!



Vous, que ferez-vous aujourd'hui?
Lire la suite...

L'oeuf... ou la poule?

Publié par Anik le samedi, avril 03, 2010 5 bouteilles à la mer...
En cette semaine pascale où règne la poule en chocolat et les oeufs de Pâques, je souhaite démarrer un singulier et populaire débat... (puis m'éparpiller dans tous les sens, pardonnez mon manque de direction, je ne sais pas sur quel pied danser, pour faire un mauvais jeu de mots en lien avec ma sympathique fracture du pied gauche)

Alors, l'oeuf ou la poule ? Qui est venu en premier ? Lequel découle de l'autre ?

Dans le même sens, devient-on parent parce qu'on est responsable et prêt, ou ce sens des responsabilités et le fait d'être prêt apparaissent-ils en devenant parent ?

Est-on jamais vraiment prêt à devenir parent ? Personnellement, je pense que devenir mère a été le choc de ma vie... Mais vraiment... Je ne m'attendais pas du tout à ce que ce soit aussi prenant... Pas tant en terme de temps (quoi qu'au début, on s'entend qu'avec l'allaitement et les nuits entrecoupées, c'est quelque chose), mais en terme d'investissement de soi et d'oubli de notre petite personne... Ce doit être parce que je suis fille unique, mais je trouve encore difficile de faire passer la famille avant moi... Ça vous arrive, à vous aussi ?

Enfin, en cette semaine pascale, je fais une constatation : je n'ai que mon bébé à la maison. Seules toutes les deux, je réalise que d'avoir un seul enfant avec moi est presque une période de vacances, par rapport aux 3 habituelles... Je pense que bébé apprécie aussi cette pause familiale, car elle est beaucoup plus calme et autonome cette semaine... Morale de l'histoire : changer la dynamique familiale, de temps à autres, il me semble que ça fait du bien, non ?

Bon, bien sur ce, je vous vous souhaite une bonne journée!
Lire la suite...
 

Le ciel est bleu, la mère est calme... Copyright © 2010 Designed by Ipietoon Blogger Template Sponsored by Online Shop Vector by Artshare

Le ciel est bleu, la mère est calme... Copyright © 2009 Girlymagz is Designed by Bie Girl Vector by Ipietoon | Distributed by Blogger Templates