Je veux… un POINT c’est tout

Publié par Anik le mercredi, novembre 30, 2011 7 bouteilles à la mer...
Avez-vous l’impression que certains de vos désirs sont trop gros, trop hors de portée pour que cela se réalise ? Dites-vous parfois, à vous ou à votre entourage : « Sois réaliste ». Avez-vous l’impression que plus votre désir est grand, plus il sera long et compliqué à exaucer, dans le cas peu probable où il se réaliserait ?

Eh bien, c’est peut-être aujourd’hui que tout cela se termine. C’est peut-être aujourd’hui que vous cessez de vous mettre à vous-même des barrières, des limites. J’ai découvert, dernièrement, en lisant « Le pouvoir » de Rhonda Byrne (la fameuse auteure du Secret), publié aux éditions Un monde différent, une singulière façon de percevoir mes désirs pour les rendre plus accessible.

En fait, selon l’auteure, nos désirs, face à l’immensité des possibilités de l’univers, de sont qu’un petit point. Il n’y a rien de grand ou de petit face à la loi de l’attraction, pas de notion de temps. Tout s’équivaut. Alors, si vos désirs ne sont que de minuscules points pas très impressionnants, pourquoi ne pourraient-ils pas se réaliser aisément ? Constatez l’effet de dire : « Je veux (votre désir) et ce n’est qu’un point pour l’univers… Alors, il n’y a rien de compliqué là-dedans ! » Un point, un pet… appelez-ça comme vous voulez. L’objectif est simplement de vous faire ressentir avec conviction la possibilité que votre souhait se matérialise. Évidemment, vous devrez sûrement agir, faire des pas. Cependant, si vous êtes convaincu de la réalisation de votre vœu, je suis convaincue que les occasions se présenteront. Il ne vous restera plus qu’à sauter dessus !

Alors, la technique du point, ça vous dit ? Sinon, vous avez d’autres idées pour faire émerger en vous la conviction que tout est possible ? En commentant ce billet, vous courez la chance de remporter votre exemplaire du fascinant livre « Le pouvoir ». Le tirage a lieu dans 4 semaines.
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Y a des matins...

Publié par Julie le mardi, novembre 29, 2011 6 bouteilles à la mer...
En partant, ce n'était pas winner. Mettre son réveil quinze minutes plus tôt pour ramasser les dernières traîneries avant l'arrivée de notre fée du ménage n'a rien de glorieux.

J'ai été achevée en peu de temps. La station de radio avec laquelle j'ai l'habitude d'ouvrir les yeux joue habituellement une belle pièce classique. Au lieu de cela, j'ai eu droit à une publicité qui allait à peu près comme suit.

"Profitez de l'occasion pour dire adieu à votre famille. Nos services personnalisés et professionnels vous permettront de rendre un dernier hommage aux êtres que vous avez aimés. Organisez maintenant vos funérailles."

Franchement, j'ai pensé me recoucher et laisser ma maison bordélique.
En tout cas, je n'ai pas pris rendez-vous.

Crédits photo: Licence CC Lorenzolambertino
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Conflit... harmonie... fratrie !

Publié par Anik le lundi, novembre 28, 2011 5 bouteilles à la mer...
En fin de semaine, j'avais les filles. Et je ne travaillais pas à l'extérieur. Alors, j'ai eu la chance d'entendre mes filles interagir pendant deux jours... Chance... Je le dis avec ironie, car trois filles dans une maison, ça génère des conflits. Quand ce n'est pas une, c'est l'autre. Bref, il y a toujours deux éléments de mon trio qui s'opposent pour une variété de raisons. Et j'ai du mal à comprendre, pauvre petite fille unique qui n'a jamais vécu les chicanes de fratrie.


Ma benjamine, frustrée contre sa soeur cadette, lui lance :

- T'es plus ma soeur!
- Ben, t'as pas le choix, je vais toujours être ta soeur pareil !
- T'es plus ma soeur quand même!

Et les voilà qui se disputent pour je ne sais plus trop quoi...

Et deux heures plus tard, après le souper, cette même benjamine est carrément sur sa soeur cadette, sur le divan, en train de lui faire mille calins et de lui dire des « je t'aime »...

À n'y rien comprendre !!! Ah, l'amour fraternel!

Crédit photo : © *¦·sindorella·¦*
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Les potins du dimanche - Métro vers le pôle Nord

Publié par Julie le dimanche, novembre 27, 2011 3 bouteilles à la mer...
Cette semaine, je relance Maman 3.0 avec ses mots d'enfants gourmands.

Mes trois lutins étaient en route vers la parade. Ils avaient rendez-vous avec le père Noël. Non seulement ils allaient rencontrer celui qui exauce les souhaits, mais ils allaient aussi faire une balade en métro jusqu'à Place-des-Arts. Deux pour un. Une aubaine.

La voix célèbre de la dame - Prochaine station, Pie-IX. Tu. Tut. Tuuuttt.

PetiteSoeur, sérieuse - Papa, la "Place Lézard", est-ce que c'est beaucoup plus loin que la station "Pinotte"?

Sans compter qu'il y a Frérot qui compte drôlement...

Mangent-ils à leur faim, vous croyez?

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Isabelle écrit
Lettre à mes filles

Bonhomme sourire chez Martine
Chambre interdite

Solène discute valeurs
Laissez-les croire au père Noël

Prune présente son pot-pourri
Trois ans...

Je veux un bébé tourne en rond
Dilemme cornélien

Maman Oiseau fait preuve d'audace
Vie, me voilà!

Plaisir assuré tous les jours de décembre chez Isabelle
La visite des lutins

Bon dimanche!

Crédits photo: Licence CC Old Shoe Woman
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Panique à l'heure du repas!

Publié par Audrey le samedi, novembre 26, 2011 6 bouteilles à la mer...
Il y a trois moments que je crains plus que tout dans une journée : le matin, le midi et le soir. Pourquoi? Parce qu’il faut donner à manger à Bébé 1er! J’ai toujours peur de voir si ce sera un repas catastrophe ou si ça ira relativement bien.

Bébé 1er mange depuis environ l’âge de 5 mois. Au début, c’était plus pour jouer. On découvrait des saveurs et des textures sans trop calculer les quantités. Puis on est devenus plus assidus à 6 mois. Je dirais que le premier mois et demi, c’était un charme. Il mangeait très bien, vidait ses bols à tel point que je me demandais si je ne devrais pas augmenter encore plus les quantités! Il semblait tout aimer puisqu’après une grimace ou deux, il avalait avec appétit et rouvrait la bouche pour la prochaine bouchée.

Puis, ça s’est gâté. Le moment si agréable du repas est devenu synonyme de crise dès le moment de toucher la chaise haute. Puis quand s’approche la cuillère, les hurlements dignes d’une séance de torture débutent… Chic hein? Je sais que je ne suis pas la seule, alors j’ai vraiment besoin de vos trucs pour survivre à ce moment.

J’ai, je crois, tout essayé. Varié les aliments, la texture des purées, donné des petits morceaux, vérifié la température, la quantité, les mélanges, etc. J’essaie en chantant, en dansant, en faisant des coucous. La seule chose qui semble fonctionner est d’installer le portable sur la table et de taper « Passe-Partout chanson des légumes » sur YouTube. Ah ça, il aime ça. Mais je ne veux pas en faire une habitude…

Si un soir il dévore ses morceaux de patates, le lendemain ces mêmes patates semblent goûter l’acide pur à le regarder se tordre pour les éviter. J’ai remarqué par contre que ça passe mieux si ça vient directement de mon assiette et que je lui donne avec les doigts. Le hic, c’est que je ne peux pas encore tout lui donner. Ni le nourrir exclusivement de fromage et de clémentines!

Avez-vous des trucs qui ont fait des miracles chez vous? Je promets de tous les essayer :-)

Crédit photo : Licence CC Ben McLeod
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Qui remporte « Encore plus beau, la vie ? »

Publié par Anik le vendredi, novembre 25, 2011 1 bouteilles à la mer...
Je vous ai parlé dernièrement de l’excellent livre de Christine Michaud, Encore plus beau, la vie!, publié aux éditions Un monde différent. C’est maintenant le temps de connaître le nom de la personne chanceuse qui aura l’occasion de parcourir toutes les merveilleuses idées qui s’y trouvent, dont :


Le « dance party » pour la bonne humeur

Les « kif-kif » du bonheur

Comment se foutre la paix à soi-même ?

Comment faire de la vie un jeu ?

Et la gagnante est : Le fil d'Ariane.

Envoie-nous tes coordonnées postales à la-mere-est-calme@hotmail.fr pour que nous t'acheminions ton livre.
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Qué sera, sera

Publié par Evely le jeudi, novembre 24, 2011 5 bouteilles à la mer...
Avez-vous connu la crise de la listériose en 2008? Moi oui. Sur la rue Cartier, il y a une charmante petite fromagerie. Alors que j’étais enceinte de P’tit Clown, Superpapa et moi faisions notre marché sur la rue Cartier. Je demandais conseil au commis et je découvrais des nouveaux fromages pasteurisés.

Un jour la fromagerie a fermé ses portes pour cause de listériose. Les médias se sont emparés de l’histoire et d’autres fromageries ont aussi dû fermer boutique. J’étais enceinte de trois mois. Un matin, j’ai ouvert la télévision et je suis tombée sur le point de presse du MAPAQ. J’ai écouté attentivement: six femmes avaient fait des fausses couches à cause de la listériose. Pire encore, ça pouvait prendre jusqu’à trois mois avant que l’horreur ne se produise. Superpapa n’était pas là. Toute seule, j’ai pleuré le bébé que j’allais perdre.

J’ai appelé mon médecin. Quelques minutes plus tard, il est arrivé devant ma porte (eh oui, mon médecin est à ce point consciencieux!). Il m’a dit de me calmer. Il m’a dit que bébé resterait bien en vie et que j’aurais un gros et beau bébé en santé. Je ne le croyais pas plus qu’il faut. J’avais bien entendu à la télévision, les commis utilisaient les mêmes couteaux pour les fromages de lait cru que pour les fromages pasteurisés. Les agents du MAPAQ ont trouvé de la listériose sur ces couteaux.

Le temps a passé et on a appris qu’aucune des six fausses couches ne pouvait être liée directement aux fromageries. Et moi, j’ai pondu un gros bébé en santé. Mon médecin se souvient encore de cette histoire. Il me le rappelle à chaque rendez-vous en riant. « On exagère tout de nos jours, dit-il. On culpabilise les mères sur n’importe quoi et souvent pour rien ». Il a raison… biberon, travail, éducation, alimentation et j’en passe.

À cette grossesse, je n’ai pas peur. Toutefois,une infirmière est quant même arrivée à semer le doute.

C’est qu’à l’échographie de la treizième semaine, on s’est rendu compte que j’étais plus avancée que prévu. Le technicien m’a alors dit qu’il ne pouvait pas faire les tests pour la trisomie 21. J’étais simplement trop avancée pour que ce soit concluant. Cependant, il m’a dit qu’avec la prise de sang que j’allais faire au CLSC je saurais à quoi m’en tenir. La semaine suivante, j’étais contente d’aller faire cette prise de sang. L’infirmière s’est emportée quand je lui ai donné ma date prévue. « Vous êtes ben trop avancée, le résultat ne sera pas valide. Pourquoi avez-vous attendu, franchement !!! ». Je lui ai expliqué qu’on venait juste de savoir que j’étais plus avancée et donc, je n’avais pas vraiment le choix d’être que de faire le test oa moment où j’étais rendue. Elle me l’a dit et me l’a répété: les tests seront vains et que je risque d’avoir un enfant trisomique.

Elle m’a ébranlée. Je n’ai pas fait exprès d’avoir eu mes règles le premier mois de ma grossesse. Mon médecin était très fâché quand je lui ai raconté ça. « Tu sais, tes parents n’ont jamais fait ce test et tu es intelligente et en santé, alors du calme ».

Il y aura toujours quelque chose d’imparfait. Il y aura toujours quelque chose qui va m’affecter parce qu’il s’agit de mes enfants et de leur santé. C’est tout de même dommage. C’est lourd ces jugements et ces commentaires. Bien sûr, il y a des risques. Bien sûr, des enfants tombent malades et même meurent parce qu’ils ont un système plus faible. Ce n’est pas ce qu’on souhaite et on fait tout ce qu’on peut pour ne pas que ça arrive. Même si on prend toutes les précautions, la nature aura toujours le dessus.

Sauf qu’il faut le dire, la nature aime bien quand on gagne. Elle est clémente la plupart du temps. Alors, faisons-lui confiance. Enfin, c’est ce que j'ai choisi de faire.

Crédit photo: Licence CC Raymond Barlow
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Leçon démocratique - Votez pour moi

Publié par Julie le mardi, novembre 22, 2011 0 bouteilles à la mer...
Pendant que PetiteSoeur fait visiter sa classe à Frérot, PapaZen et moi discutons tranquillement de son premier bulletin. Madame L est une enseignante d'expérience. Elle s’assoit devant nous, sans notes. Elle nous regarde dans les yeux en traçant le portrait de notre fille. Ses observations sont justes et positives. Nous reconnaissons notre fille sans peine.

Madame L, banalement - Chaque mois, les élèves de la classe discutent pour choisir le thème que nous aborderons. Celui qui a été choisi pour les quatre prochaines semaines est celui des chiens.

PapaZen - Oh...

Julie, lui lançant un regard - Ouf. C'est un sujet sensible chez nous. PetiteSoeur vous a-t-elle raconté?

Madame L, empathique - Oui, elle a dit que vous aviez perdu votre chien dernièrement....

Julie, se rappelant ce triste épisode - Oui. Ce thème ne pouvait pas tomber plus mal. Sincèrement, je n'ai jamais vu ma fille avoir une si grande peine...

J'ai balayé la classe du regard et j'ai vu que PetiteSoeur faisait semblant de jouer. Elle tendait l'oreille pour ne manquer aucun mot de notre conversation.

Madame L - Elle a d'ailleurs pleuré quand les amis ont passé au vote...

Julie, surprise que sa fille ne lui en ait pas parlé - Oh...

Madame L, sage - Mais vous savez, elle trouvera la force. (puis rigolant) Elle n'aura pas le choix de passer à travers, car nous allons parler des chiens pendant un mois!

J'ai laissé décanter. J'ai attendu. Plusieurs jours se sont écoulés avant que PetiteSoeur ne me reparle de l'incident. Un soir, pourtant, le "chien" est sorti du sac.

PetiteSoeur, feuilletant son album photo de feu notre chienne avant d'aller au lit - Maman?

Julie - Oui, ma puce.

PetiteSoeur, tristounette - Tu sais, ça ne me fait pas de bien de parler tous les jours des chiens...

Julie - Tu penses encore à Inès?

PetiteSoeur, soupirant - Ouais... Pourtant, j'ai essayé...

Julie - Tu as essayé de l'oublier?

PetiteSoeur, encore fâchée - Non. J'ai essayé de convaincre tous mes amis de voter pour moi et mes saisons. Mais tout le monde est allé du côté de B et ses chiens. (puis déçue) Moi, je n'avais que F de mon côté. Ce n'était pas assez.

Julie, pédagogue - Tu sais, ma puce. Les amis n'ont pas voté CONTRE toi. Ils ont voté POUR les chiens. Ce n'est pas pareil...

PetiteSoeur - En tout cas, depuis que j'ai perdu, F est un peu devenue ma copine.

Beau temps, mauvais temps. So-so-so. Solidarité.

Crédits photo : Licence CC Gwen
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Un cadeau inestimable…

Publié par Anik le lundi, novembre 21, 2011 2 bouteilles à la mer...
J’ai décidé de me gâter. J’en avais envie depuis un moment, mais j’avais trouvé toutes les excuses possibles pour ne pas m’offrir ce cadeau. Trois enfants, deux ou trois emplois, une maison et un amoureux… que de bonnes excuses pour me dire que je n’avais pas le temps de me gâter ainsi.

Or, une petite voix me disait que j’en retirerais des bénéfices inimaginables, même si parfois, j’en suis consciente, ce cadeau pourrait me demander des efforts que je n’aurais peut-être pas envie de fournir. Toutefois, j’étais convaincue que ce fameux présent, j’en deviendrais pratiquement accro et qu’il ferait de moi une femme comme je veux l’être : belle, bien dans sa peau, énergique, de bonne humeur… et avec les fesses de Jennifer Lopez ! ;-)

Alors, ça y est… Je me suis permis d’en profiter ! Un abonnement d’un an chez Énergie Cardio. Tout près de chez moi (donc pas d’excuses pour ne pas me rendre), avec une foule de cours offerts le matin comme le soir (mon horaire de travail irrégulier est donc respecté) et des installations en gym intéressantes… Je me lance !

Je l’avoue, c’est la première fois que je m’abonne dans un gym. Jusqu’alors, il n’y a que le badminton qui ait réussi à me faire sortir systématiquement de chez moi. Cependant, je fais ce pari : dans 12 mois, je serai une femme transformée… Physiquement, certes, mais je suis convaincue qu’au plan mental, ce bain de sport améliorera d’autres aspects de moi, pour mon plus grand bien.

Je m’engage donc ici, officiellement à fréquenter mon gym un minimum de 3 à 5 fois par semaine… Et je vous tiendrai au courant de mon respect de ce défi… et des bénéfices marginaux ! C’est ma petite stratégie pour favoriser mon implication et ma motivation, car je n’aime pas dire des choses et ne pas les faire. Sentez-vous bien libre de m’imiter… ;-)

Qui a envie de relever le même défi? Du sport ou de l’entraînement 3-4 fois par semaine ? Allez, osez ! Si vous vous engagez ici, vous n’aurez d’autre choix que de respecter votre parole, non ? Et si je ne vous ai pas encore convaincue, sachez que je n’ai pas dit mon dernier mot… (demandez à mon chum ce qui arrive quand j’ai une idée dans la tête, pour voir !)

P.-S... Pascaline, si tu me lis... saches que je t'envoie des ondes pour atteindre ton objectif...

Crédit photo : © Ken's Oven
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Les potins du dimanche - Je suis "ma tante" !

Publié par Julie le dimanche, novembre 20, 2011 7 bouteilles à la mer...
Vendredi dernier, j'ai pris mes courriels aux dix minutes. Une vraie folle. J'ai aussi parlé à ma mère trois fois pour être au fait. Même à 600 km de distance, je ne voulais rien manquer. Si bien que lorsque j'ai reçu cette belle photo pendant la formation à laquelle j'assistais, j'avais les yeux plein d'eau.

"Voici notre belle E qui s'est jointe à la famille. Ta soeur est géniale dans tout cela."

Je craque pour le premier bébé de ma petite soeur. Avez-vous vu si elle est belle? Lorsque ma soeurette habitait Montréal, elle était aux petits soins pour moi les trois fois que j'ai accouché. Ça me semble si difficile d'être au bout du monde. J'aurais tant voulu lui rendre la pareille. À moins d'un retournement du destin, je serai "ma tante" virtuelle.

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Tout le monde en parle...

La matière grise s'active chez Maman 3.0
Mots de... papa

Grande Dame s'en sort indemne... cette fois-ci!
Les organes

Daniel tente sa chance dans un concours de twittérature
Une nouvelle en 140 caractères

Entendu chez Maman à bord
Bonne question!

Daisydées réinvente les classiques
Qu'est-ce qu'on peut mettre dans un calendrier de l'Avent?

Quelque part optimise son temps
9 1/2 minutes

Crédits photo: ©Tante Lou
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« Envoye dans l’parc! »

Publié par Audrey le samedi, novembre 19, 2011 4 bouteilles à la mer...
Bébé 1er a 8 mois. La période d’apprentissage de la position debout bat son plein. Déjà, il est capable de rester en équilibre quelques secondes, puis une poussière le distrait et boum!, il retombe sur les fesses. Ça, c’est quand on est chanceux.

La moitié du sol du salon a beau être recouverte de tapis en mousse, il faut inévitablement que Ti-Poulet tombe sur le coco en dehors de cette zone chaque jour. Quelques larmes, un bisou de maman et tout est vite oublié, mais quand même.

Papa 1er a donc suggéré de sortir le parc. Hé oui, le fameux parc dans lequel on a passé tant de temps quand on était jeune. Et aujourd’hui? À part que de servir de couchette portable quand on va en visite, à quoi ça sert un parc? Je n’ai vu aucune de mes connaissances qui sont mères l’utiliser comme endroit de jeu sécuritaire pour bébé. « C’est comme une prison, ça ne favorise pas son développement. » Ah bon! J’avoue que ça me chicote aussi.

J’ai donc décidé de considérer le parc comme une station de jeu différente en y plaçant des jouets. Ainsi, on peut varier les lieux pendant la journée pour garder Bébé 1er heureux et stimulé. De plus, ça me permet de faire certaines tâches sans m’inquiéter de ce que Bébé va attraper et faire tomber… Je n’ai pas trop l’impression de le mettre en prison et il n’a pas l’air malheureux. Génial!

Et chez vous, dans l’parc ou pas d’parc? Ce sont des questionnements qui paraissent bien anodins, mais c’est fou ce que la vie de maman en est remplie!

Crédit photo : Licence CC Stephane Raymond
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C'est quoi ton joli nom

Publié par Evely le jeudi, novembre 17, 2011 4 bouteilles à la mer...
Avant même de tomber enceinte, je cherchais le prénom parfait. Superpapa m’a demandé de me calmer au moins jusqu’à ce que je sois enceinte. Chose que j’ai faite, mais au jour un de ma deuxième grossesse, je lui ai lu les 500 prénoms de filles et de garçons qui sont les plus fréquents. Pour ma défense, nous revenions de Toronto et avions décidé de faire le trajet de nuit. Il fallait bien que j’aide Superpapa à ne pas s’endormir au volant.

Après cette lecture des plus euh… on va dire… prenantes par moment, nous n’avions rien. Aucun nom ne nous plaisait. Enfin, aucun sauf celui de P’tit Clown. Nous avons décidé d’attendre de savoir si bb2 était une petite fille ou un petit garçon.

Bien que nous ayons promis d’attendre, nous avons entendu un prénom. Un joli petit prénom qui serait parfait. Alors si jamais bb2 était de ce sexe-là, nous avions son prénom de choisi. Comme vous le savez, la nature aime nous faire travailler et à notre première échographie, le technicien nous a dit que ce ne pourra pas être le prénom de notre bébé. Bon, il faut encore que l’on confirme que c’est bien le cas. J’ai eu l’échographie à ma quinzième semaine et le sexe de bébé n’était pas clairement défini, mais le technicien semblait convaincu.

Alors nous revoici à la case départ. Nous cherchons à droite et à gauche. Nous testons les noms sur notre famille et nos amis, mais rien ne colle. Si j’aime un nom, Superpapa ne l’aime pas. Et le contraire est tout aussi vrai. Même P’tit Clown met son grain de sel.

C’est bien ce qui est comique à propos des prénoms. Ils ne plaisent jamais à tout le monde. À chaque proposition que nous avons faite, quelqu’un a dit « Ah ouin, vraiment…euh ben euh c’est euh bon j’imagine, mais bon ce ne serait pas mon choix ». Mille et une raison, quelqu’un connait quelqu’un qui est insupportable portant ce prénom, ce prénom ne va pas avec le nom de famille selon un autre, le prénom est tout simplement un appel à la moquerie selon un troisième.

Alors, quel est le nom de bb2? Je n’en sais rien. Je ne suis pas inquiète. Quand j’étais enceinte de P’tit Clown, son prénom n’a été que définitif vers mon huitième mois. Ce qui est drôle c’est que P’tit Clown porte tellement parfaitement son prénom que je ne pourrais pas l’imaginer avec un autre prénom. Quel que soit le prénom de bb2, j’espère avoir ce même sentiment.

Crédit photo: © Ghusse -
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Trois kifs par jour... et le bonheur pour toujours ?

Publié par Anik le mercredi, novembre 16, 2011 6 bouteilles à la mer...
En lisant Christine Michaud dernièrement, j’ai ri de bon coeur. Elle rapportait que selon Florence Servan-Schreiber, pour une vie heureuse, une dose de trois kif-kif quotidiens était préconisée. Savez-vous ce que c’est qu’un kif-kif ?

KIF-KIF : n.m. instant, situation, interaction, événement, perception ou émotion provoquant une sensation d’agrément, d’aise, d’amour, d’amusement, de bien-être (…) pour lequel on éprouve de la gratitude…

Profitez-vous de vos trois kif-kif quotidiens ?

Si ce n’est pas le cas, aucun problème! Vous pouvez les créer… Christine Michaud propose de penser à des moments désagréables qui sont maintenant du passé… Spouish… Par exemple :
  • je n’ai plus besoin de…
  • je ne souffre plus de…
  • ... est fini pour de bon…
Ça fait du bien, non ? Par quoi pourriez-vous compléter ?

Pour ma part, voici ce qui me vient spontanément :
  • Je n’ai plus besoin de porter des lunettes. Yes ! Je peux voir l’heure sur mon réveil-matin.
  • Je ne souffre plus de surplus pondéral (j’ai déjà été boulotte…)
  • Mon sentiment de pauvreté et d’insécurité financière est fini pour de bon (et je me permets d’aller chez la coiffeuse demain sans réserve quant à cette dépense). Je me gâte… Sans excès, sans me créer des besoins, mais je me permets ce qui me fait réellement plaisir !
N’oubliez pas qu’en commentant ce billet, vous courez la chance de remporter le livre de Christine Michaud, Encore plus belle, la vie!, publié aux éditions Un monde différent.

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Trois printemps...

Publié par Julie le mardi, novembre 15, 2011 1 bouteilles à la mer...
Déjà trois ans pour notre Frérot. Notre bonhomme a sa personnalité bien à lui et donne sa couleur à notre trio Fiesta. ---

Comme il le dit lui-même, c'est un gros garçon maintenant. Sa couchette a été vendue. Ses vêtements passés au suivant. Et la barrière d'escalier (victoire!) a été reléguée aux oubliettes après 8 ans de bons et loyaux services. ---

Nous lui avons choisi un tout nouveau "lit de grand" et une couette "pleine de zanimaux". Qui plus est, on peut maintenant s'allonger auprès de lui pour le border ou faire des muffins. Au petit matin, il nous arrive de paresser sous la couverture en nous caressant les cheveux. Chouettes tête-à-tête.

Le premier soir, il s'est couché en petite boule. Malgré ses trois printemps, il a mis son nez contre ses nunus et a placé ses fesses en l'air, comme lorsqu'il était bébé. Il semblait minuscule dans son lit géant. La paupière lourde, il souriait béatement malgré la fatigue.

- Maman, 'suis content.

Crédits photo: Licence CC Methyl_lives
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Ces petits mots qui ont du sens…

Publié par Anik le lundi, novembre 14, 2011 4 bouteilles à la mer...
Vendredi dernier, alors que je suis allée chercher mes filles à l’école pour les reprendre, j’ai entendu quelque chose qui m’a fait plaisir. Je conduisais la voiture, mes deux plus vieilles assises derrière, en direction de la garderie de ma plus jeune.


Ma benjamine me dit alors :

« Maman, est-ce qu’on se gâte ce soir ?

- Qu’est-ce que tu veux, ma belle ?

- J’sais pas … On pourrait faire quelque chose de spécial.

- Comme quoi. Demande, qui sait, ça pourrait arriver.

- Bien, on pourrait cuisiner quelque chose de spécial. Une tarte aux pommes ?

- La pâte est congelée, mais on peut faire de la croustade de pommes !

- Ah oui!

Elle était contente et nous avons passé un beau moment. Toutefois, au départ, c’est son utilisation du mot « gâter » qui m’a fait le plus plaisir. C’est un mot que j’utilise de plus en plus. La vie me gâte… On est gâtée… Est-ce qu’on se gâte ? J’associe ce mot au plaisir, qui est une valeur primordiale pour moi, dans mon TOP 3. Alors, que mes filles développent cette notion me fait le plus grand… PLAISIR !

Et vous, quels sont vos mots que vos enfants répètent ? Que dénotent-ils en guide de valeur ou de message ?

Crédit photo : © MSR
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Les potins du dimanche - Le sens du nombre, version gourmande

Publié par Julie le dimanche, novembre 13, 2011 4 bouteilles à la mer...
PapaZen, pédagogue - Allez, Frérot! On compte! Je commence. Un... ---

Frérot, docile (pour une fois!) et articulant clairement - Deux. Trois. Quatre. Cinq. Six. Sept. Muit. Meuf... Quatre... ---

PapaZen, réorientant son bambin - Neuf. Dix... ---

Frérot, ayant trouvé son erre d'aller - Onze, douze et fraise! ---

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Tout le monde en parle!

Deux recettes de Nancy que j'ai le goût d'essayer
Une tite vite??
Beautiful, non?

Chez Lucile, la famille ce n'est pas que les tout-petits
La maladie et la mort... les bouts plates de la vie de famille

Tout à l'envers après ce texte de Mme Cornue
Culpabilité et trahison

Marie-Claude Lortie frappe fort
Imbécillité, égalité

X-Mom est le premier membre du Slow driving (et moi la 3e!)
Humains à bord
(lisez aussi ce billet qui a fait naître cette réflexion)

Maman Oiseau prend le large
Ces choses-là


Crédits photo: Licence CC Manchester-Monkey
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Laisser ou ne pas laisser pleurer : là est la question!

Publié par Audrey le samedi, novembre 12, 2011 4 bouteilles à la mer...
Bébé 1er a atteint un âge où maman commence à être préoccupée par son sommeil pendant la nuit. Il lui faut songer au retour au travail qui se fera dans quelques mois, donc habituer Bébé 1er à ne pas se réveiller la nuit.

Cela dit, mon cher poupon fait habituellement de très belles nuits. Mais il arrive certaines semaines où il ne semble pas pouvoir se passer de moi pendant une nuit complète, ou que son ventre crie famine.

Je vais donc lancer un débat. Certains sont d’avis qu’il faut laisser pleurer bébé pour qu’il finisse par se rendormir tout seul. D’autres pensent plutôt que ça dépend vraiment des parents, puisque les bébés vont, de toute façon, un jour finir par faire leurs nuits.

J’ai essayé les deux méthodes. Mon conseil : essayez les différentes méthodes et prenez celle qui semble offrir le moins d’inconvénients! Voici mes résultats personnels pour chaque méthode

Premièrement, laisser pleurer. C’est presque insupportable pour maman, mais la raison me disait qu’il fallait que j’essaie puisque ça a fonctionné avec tant d’autres enfants. Aux premiers pleurs, je vais le voir, le replace confortablement dans son lit et lui donne son toutou qu’il aime tant mettre dans sa bouche. Cinq minutes plus tard, ça recommence. J’attends les 10 minutes de la méthode « 5-10-15 », puis je vais mettre son mobile en marche. Avec la petite veilleuse, ça lui fait quelque chose à observer. Mais les pleurs continuent de plus belle. J’attends le 15 minutes, puis je vais changer sa couche, le berce un peu, mais rien n’y fait. Là je me demande si je craque et lui offre le biberon. Une fois, j’ai essayé de voir s’il finirait vraiment par se rendormir tout seul. Mais après 1h30 de pleurs, je n’en pouvais plus, et lui non plus. Il a fallu au moins 15 minutes pour le calmer, puis il a bu un peu et s’est endormi dans mes bras. Ouf, deux heures de sommeil perdues pour toute la famille. Est-ce vraiment un bon moyen de lui apprendre?

Après cet épisode (qui n’était pas ma première tentative, mais certainement la plus longue), j’ai pris la décision que j’irais le voir et lui offrirais du lait après les 10 minutes de la méthode 5-10-15. L’avantage est énorme pour moi : 20 minutes seulement et tout le monde peut retourner dormir tranquillement jusqu’au lendemain.

Depuis que j’ai cessé de laisser pleurer Bébé 1er, les épisodes de réveil la nuit sont plus rares. Mais, pour en avoir discuté avec d’autres parents de jeunes enfants, la méthode du « laisser pleurer » semble fonctionner pour certains bébés. Peut-être que le mien n’est pas prêt, ou qu’il n’en aura pas besoin.

De votre côté, comment avez-vous géré cet épisode de la vie de vos enfants?


Crédit photo : Licence CC aquella manera
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Je suis une grande fille!

Publié par Anik le vendredi, novembre 11, 2011 5 bouteilles à la mer...
Ça y est, j’en ai la preuve écrite… Je suis une grande fille maintenant ! Je suis passée chez la notaire cette semaine, et me voilà l’unique propriétaire de ma maison. D’accord, je la paie toute seule depuis plus d’un an, mais on dirait que cette officialisation (et le beau cadeau que je vais faire à la ville de Laval avec mes taxes de Bienvenue) me fait grandir. Je suis seule responsable de ma maison, de mes 3 enfants (je n’ai pas de pension, mais un accord à l’amiable selon le salaire avec mon ex), de ma vie. Ça fait du bien !


Évidemment, une partie de moi aurait aimé être née dans une famille de millionnaires et avoir tout cuit dans la bouche. Cependant, d’un autre côté, la fierté ressentie n’a pas de prix. Se dire que tout ce que l’on possède, c’est parce qu’on l’a attiré à soi, c’est super, non? Alors, je me donne une petite tape sur l’épaule à moi-même et je dis : « À moi l’abondance, sous toutes ses formes ! »

Chin-chin!
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Une fois n'est pas coutume

Publié par Evely le jeudi, novembre 10, 2011 0 bouteilles à la mer...
Ma première grossesse en était une de rêve. Incroyable ! Pas de maux, pas trop de fatigue, pas trop de sautes d’humeur, bref je me reconnaissais dans le miroir tous les matins.

La deuxième grossesse ne se passe pas exactement comme la première. J’ai mal au dos, je suis claquée comme ce n’est pas permis, mais surtout j’ai mal au cœur. Par chance je n’ai pas de nausée, mais le matin ce n’est pas facile de choisir un petit déjeuner.

La journée où ça a commencé, je n’en ai pas fait de cas. J’ai sauté le déjeuner et j’ai mangé ce que j’ai pu quand ça rentrait. Le deuxième jour j’ai fait la même chose, mais au troisième jour je manquais d’énergie, alors je me suis prise en main.

Diclectin à la main, j’ai finalement pu me mettre quelque chose sous la dent. J’ai remarqué que les muffins aux pommes et cheddar rentraient bien, alors ce fut mon déjeuner pour les deux semaines qui suivirent. Après deux semaines, je ne voulais plus rien savoir de ces choses. Je me suis rabattue sur les grilled cheese qui au bout de deux semaines ne me parlaient plus. J’ai fait des muffins poire et chocolat. Ça a duré deux semaines aussi. Après ce fut les toasts à la confiture aux fraises et maintenant c’est les bagels multi grain au fromage à la crème.

Par chance, j’ai arrêté le médicament et maintenant je n’ai plus de maux de cœur, mais je n’arrive pas à manger n’importe quoi.

Tout ceci est bien nouveau pour moi. Mon P’tit Clown ne m’empêchait pas de manger. Au contraire, il me donnait le goût de tout goûter. D’ailleurs, j’en porte encore les marques avec mes kilos en trop.

Mes collègues me taquinent tous les matins, alors que je me demande si j’ai vraiment le goût de mon bagel. Et l’après-midi quand je me dis que des olives seraient un bon snack.

BB2 s’amuse bien dans mon bedon et, même si c’est un peu exaspérant, j’en reste charmée que ce soit aussi différent. Je ne sais pas les surprises que le reste de cette grossesse me réserve, mais j’ai hâte de les découvrir ces moments bien uniques.

Crédit photo © meehanf -
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Un petit « Dance party » pour la bonne humeur ?

Publié par Anik le mercredi, novembre 09, 2011 8 bouteilles à la mer...
La semaine dernière, dans le cours de Conception d’activités éducatives que je donne au Collège LaSalle, le cours était dédié à la musique. Résultats : mes étudiantes et moi avons passé la soirée à essayer des activités sous le son de musiques de tous genres. J’ai même dansé le baladi !!! Nous avons aussi pris quelques minutes pour écouter « Évolution of dance » (un petit 6 minutes bien investi, si vous ne connaissez pas et souhaitez rire et bouger…). À la fin de la soirée, plusieurs étudiantes sont venues me voir pour me remercier du cours. Tout le monde est parti le sourire aux lèvres, même si la plupart d’entre elles avaient une grosse journée dans le corps (c’est un cours du soir, et elles sont en stage le jour).

Ça m’a rappelé le concept de « Dance party » dont Christine Michaud parle dans son livre Encore plus beau, la vie ! L’idée vient de Sean Stephenson, un jeune homme handicapé qui préconise simplement de danser sur au moins une chanson par jour, histoire de favoriser la bonne humeur. Le pire, c’est que ça marche ! Avez-vous déjà essayé de danser sur une chanson que vous aimez en étant en maudit ? Impossible ! La danse fait du bien au corps et à l’esprit (à la ligne aussi…hihi!). Avec mes filles, il m’arrive au moins une fois ou deux par semaine de danser dans le salon. C’est immanquable, nous avons un plaisir fou. En plus, je les initie à toutes sortes de musique…

Alors, cette année, je mets les dance party au menu quotidien. Après tout, qui ne dispose pas de 3 minutes pour danser ? Au pire, faites-le avec le haut de votre corps sur votre chaise au bureau ou dans la voiture en plein trafic. Mais faites-le ! Just do it ! Partantes ? Sur quelle chanson allez-vous commencer votre party ? Si vous manquez d’inspiration, je vous propose celle-ci :

N’oubliez pas, en commentant ce billet, vous courez la chance de remporter votre exemplaire de l’excellent livre « Encore plus beau, la vie », de Christine Michaud, publié aux éditions Un monde différent.

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Leçon du dimanche: compter sur ses doigts

Publié par Julie le mardi, novembre 08, 2011 3 bouteilles à la mer...
Je faisais l'air de rien. Mais j'écoutais attentivement. Derrière mon écran d'ordinateur, je me faisais discrète pour ne rien manquer.---

Mes filles jouaient à l'école dans la chambre. Du haut de ses huit ans, GrandeSoeur faisait la leçon à sa cadette. Bien que seulement au préscolaire, PetiteSoeur faisait de son mieux pour répondre aux questions pièges posées par son enseignante-d'un-jour et remplir la feuille de mathématiques spécialement préparée pour elle. Une dictée de nombres et des calculs ont été donnés. Un enseignement stratégique digne de ce nom a été prodigué lors de la résolution de problème. Le tout corrigé en marge et annoté de commentaires. De la grande pédagogie.

GrandeSoeur, surprenant son élève - Non, non! Tu ne peux pas compter sur tes doigts!

PetiteSoeur, profitant de sa chance parce qu'encore en pyjama - Est-ce que je peux compter sur mes orteils, alors?


Crédits photo: ©PetiteSoeur et GrandeSoeur
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Les douze mois de mon année sont-ils les mêmes que les vôtres ?

Publié par Anik le lundi, novembre 07, 2011 4 bouteilles à la mer...
Eh non! Je ne vous parle pas de maths ce matin... En fait, je vous parle d'une autre de mes lubies d'anniversaire... Je ne sais pas trop comment j'ai eu l'idée de faire ça maintenant, mais elle est basée sur cette citation d'Einstein : « La folie, c'est de se comporter de la même manière et de s'attendre à un résultat différent. » et sur cette intéressante vidéo Try something new for 30 days.

Bon, alors pour cette nouvelle année qui commence pour moi, j'ai décidé qu'à mon anniversaire, j'allais vivre ma vie différemment... Il y a un tas de choses que j'ai envie d'intégrer dans ma vie. J'y parviens relativement bien, mais il y a des rechutes, des oublis... Alors, je me suis demandé : « Comment puis-je m'assurer que ce qui est important pour moi devienne une habitude ? »

En temps normal, j'aurais attaqué tout de front (c'est du « moi » tout craché »), mais là... je vais faire différemment. J'ai fait ma liste de 12 habitudes qui m'inspirent... En fait, 12 attitudes, habitudes, valeurs... que je souhaite développer... Cependant, ce que j'ai fait avec ça, c'est deux choses :

  1. Les ordonner... pour que chacun des douze mois qui composent mon année soit consacré à l'un de ces éléments...
  2. Créer un cahier de suivi, pour noter chaque jour ce que j'ai fait pour développer l'élément du mois... (histoire de devenir plus sensible à tout ce qui entoure cet élément dans la journée et de sentir que je dois avoir quelque chose à écrire, à la fin de la journée)...

Ça ne veut pas dire que les 11 autres éléments seront oubliés pendant le mois... Mais un à un, je les ajouterai à mon quotidien, mois après mois... C'est la première fois que je fais cela. On verra bien ce que ça donne... Chose certaine, ça fait travailler ma patience... (mon talon d'Achille).

Comme je ne savais pas dans quel ordre les placer, j'ai fait une pige au hasard en demandant que l'ordre soit le meilleur possible pour moi... Je dois avouer que j'ai été très surprise de la pertinence de l'ordre. Voilà ce que ça donne :
  1. Novembre : travailler mon intuition (c'est un excellent départ !)
  2. Décembre : Mettre ma santé en avant-plan (sport et alimentation... pour les Fêtes, ce ne sera pas un luxe!)
  3. Janvier : améliorer ma créativité (faire les choses différemment, pour commencer 2012 et la nouvelle session)
  4. Février : m'entourer de gens positifs, établir de nouveaux contacts, sourire et dire bonjour à tous...
  5. Mars : apprendre (lire, conférences...)
  6. Avril : développer ma générosité, donner davantage (temps, argent, objets; idéal pour le ménage du printemps)
  7. Mai : Améliorer ma capacité à relaxer, à vivre le présent (ma formation en hypnose sera justement finie, mandalas...)
  8. Juin : Oser demander (aux gens, à l'univers, à la vie...)
  9. Juillet : éprouver de la gratitude (alors que je serai en vacances avec mon amoureux... à l'autre bout de l'océan... comment ne pourrais-je pas en éprouver ?)
  10. Août : Aimer (inconditionnellement... les gens, les choses, les événements... Dire j'aime à toutes les sauces... entourée, justement, des gens que j'aime puisque nous serons en vacances)
  11. Septembre : améliorer ma confiance (en tout...)
  12. Octobre : passer à l'action... (agir, poser des gestes porteurs de sens me faisant avancer à grands pas, chaque jour)...

Je trouve ça drôle que l'action tombe en dernier. Mais en même temps, c'est comme si c'était la concrétisation de tout ce que j'aurai appris et mis en pratique pendant l'année... J'ai hâte d'essayer ça... !
Et vous, déjà fait quelque chose de la sorte ? Quelle habitude voudriez-vous développer en 30 jours ?

Crédit photo : © tanakawho
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Les potins du dimanche - Bilan comptable

Publié par Julie le dimanche, novembre 06, 2011 2 bouteilles à la mer...
Cent soixante-huit heures depuis mes 6 derniers potins. Neuf heures d'attente à l'urgence pour 3 points de suture. Deux propositions d'ateliers pour l'AQUOPS 2012. Sept cents tomates pour un "lit de grand" pour les 3 ans de Frérot. Une offre qui fait doubler mon rythme cardiaque, mais qui ne se refuse pas. Près de 3 heures d'insomnie, mais un filon trouvé. Un incident diplomatique et 2 gants blancs enfilés. Ma petite sœur qui accouchera de son premier bébé le 18... à 6oo km d'ici! Bref, si je fais le compte, ce fut une grosse semaine!

Par chance, on recule d'une heure!

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Tout le monde en parle...

M connait la recette pour trouver 90 heures de liberté
Trouver du temps

"1, 2, 3, go", nous dit Geneviève
Fini les excuses: voici 3 lunchs prêts en 5, 10 et 15 minutes!

Catherine ne laisse plus rien traîner sur ses comptoirs
Le meilleur jouet au monde

Mamanbooh rêve de liberté
S'inspirer de la garde partagée pour la survie de la famille nucléaire

S'il vous reste encore une citrouille intacte (!?), voici une suggestion de Martine
Graines de citrouille rôties au cari

Quelques jours encore pour Bizz
Lettre à Bébé fiston

Maternit-Anne a toutes les raisons de voir la vie en rose
Après "gros comme le ciel"

Daisydées suggère un projet tout simple, mais haut en couleur
Profitons de l'automne: en apprenant à dessiner des arbres

Dans la forêt des enfants-rois s'y prend d'avance
C'est décidé!

Sage philosophie chez Karine
Plan B.. C.. D..

Enfin, pour celles qui voudraient causer une petite frousse à leurs enfants, dites-leur que vous avez mangé tous leurs bonbons d'Halloween!


Bon dimanche!

Crédits photo: Licence CC Dr Bacchus
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Moi j’veux marcher!

Publié par Audrey le samedi, novembre 05, 2011 1 bouteilles à la mer...
Bébé 1er a commencé à se traîner tout seul. Je dis « traîner » et non « ramper », car ce n’est pas tout à fait le cas encore. Non, Môssieur ne veut pas perdre de temps à apprendre à ramper, mais il travaille drôlement fort pour se mettre debout tout de suite!

Un peu passé les 6 mois, Bébé 1er a commencé à s’exercer. À quatre pattes par terre, il se dandinait dans tous les sens, semblant réfléchir à la prochaine étape. Puis, il a compris qu’en poussant sur ses mains, il pouvait reculer. Il a donc pu faire quelques fois le tour du salon, m’appelant à l’aide lorsqu’il se retrouvait appuyé à un mur ou en train de rentrer en dessous du fauteuil… Pas très pratique, le reculons!

Prochaine étape, il a réussi, à force de se dandiner, à s’asseoir tout seul par terre. Après une journée ou deux, il pratiquait assidûment. Couché sur le dos, hop une petite roulade pour atterrir sur le ventre. Puis, on se hisse à quatre pattes, on bascule sur le côté et voilà! On voit le monde d’un nouvel angle! Malgré cette nouvelle solidité, on a tout de même droit à l’occasion à un grand « boum! » suivi de pleurs… Pauvre petit pou, il faut tomber, se relever, et recommencer!

Logiquement, fiston devrait maintenant ramper. Vers l’avant, devrais-je préciser! C’est important pour son développement psychomoteur, m’a-t-on dit à quelques reprises. Le hic ici, c’est que ce n’est pas « cool », ramper. Ben non, c’est pour les bébés, ça! Mon héritier, lui, veut marcher comme Papa et Maman. Il faut le voir se lever les fesses bien haut et chercher des objets auxquels s’agripper pour se redresser le haut du corps… Il travaille vraiment fort. Il faut dire que, depuis presque toujours, son moment préféré est lorsqu’on le tient debout sur nos cuisses et qu’il peut sautiller.

Je le laisse donc aller un peu à ses tentatives, puis je le prends, le place en position, et essaie de lui montrer à ramper en avançant ses genoux en alternance. Mais dès que je le lâche, il tente à nouveau de se mettre debout. Ah le p’tit coquin!

Ne vieillis pas trop vite, Bébé 1er! Chaque chose en son temps!

Crédit photo : Licence CC Alec Couro
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Mon rituel annuel...

Publié par Anik le vendredi, novembre 04, 2011 5 bouteilles à la mer...
Ce week-end, je vieillis d'un an... Alors, ce soir, je me paie le luxe d'un petit rituel d'anniversaire qui en est à sa troisième édition pour moi. Je le sais, ça fait bizarre, mais je n'en suis plus à une bizarrerie près... ;-)---

Alors, ce soir, je brûle ce que je ne souhaite plus dans ma vie. J'écris ces éléments sur un papier, et je brûle chacun de ces papiers à l'aide d'une chandelle, puis je pulvérise le tout avec mes mains... et ça part en miettes... Je fais le tout la veille de ma fête, en soirée, avec une chanson inspirante en guise d'ambiance...

L'an passé, j'ai brûlé une douzaine de choses. Avec le recul (puisque je me fais une liste positive qui représente le contraire de ce que je brûle, afin de l'attirer dans ma vie), je constate que ce rituel a porté fruit.

Sur ma douzaine d'éléments, les 12 ont suscité de nettes améliorations, et j'en considère 7 comme disparus de ma vie pour avoir été remplacés par leur revers positif.

Cette année, je reprends les éléments qui ne sont pas encore tout à fait disparus, pour les effacer encore davantage. Et j'ajoute deux nouveaux éléments... dont l'un que je vous partage ici, parce que j'ai l'impression que tout le monde pourrait se départit de cela :

Cette année, je brûle les limites que je me mets moi-même quant à mes désirs, mes demandes et ma confiance... Je me permets de rêver, de demander et d'avoir confiance sans limite...

Et vous, que voulez-vous brûler ?

Crédit photo : © Jerry ツ
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Les bonshommes et les clones

Publié par Evely le jeudi, novembre 03, 2011 1 bouteilles à la mer...
Avez-vous vu le film des Schtroumpfs cet été? Moi non. Pourtant je suis une très grande fan des petits lutins bleus. J’en avais une bonne cinquantaine quand j’étais petite. J’avais deux marionnettes à l’effigie des personnages de Peyo. Et mon frère avait la collection intégrale des bandes dessinées dont certaines signées du dessinateur Belge (nous connaissons sa nièce alors elle nous faisait des schtroumpfs de belles surprises).

Quand P’tit Clown a célébré son premier Noël, je me suis empressée de lui trouver un toutou Schtroumpf. Cela n’a pas été facile, parce que les Schtroumpfs tombaient tranquillement dans l’oubli. J’aurais dû lui acheter des figurines qui coûtaient trois fois rien, mais vu qu’il était encore jeune, je me suis dit que j’attendrais. Aujourd’hui, une figurine se détaille à plus de trois dollars en raison du film. Superpapa m’a même acheté, il y a quelques années de ça, un coffret DVD des cinquante ans des lutins bleus. Il contient toutes les vieilles émissions que j’écoutais religieusement au canal famille quand j’étais enfant.

Pourquoi ne suis-je donc pas allée voir le film? Parce que j’en ai marre qu'on reprenne les vieux classiques et qu'on se les réapproprie à outrance. Si ce ne sont pas les Schtroumpfs, c’est Tintin. Superpapa est un grand fan de Tintin (tiens, un autre Belge). Lui non plus n’est pas friand à l'idée que Steven Spielberg ait fait un film du héros de son enfance. Lui comme moi ne disons pas que ce sont de mauvais films, mais qu'il y manque quelque chose. Comme si c’étaient des clones incomplets de leur origine.

L’exemple parfait est Astérix et Obélix. Non pas pour comparer les récents films aux bandes dessinées ou aux films animés, c'est plutôt des bandes dessinées en tant que telles. Pendant des années, Goscinny et Uderzo écrivaient et illustraient à merveille l’univers loufoque de ces Gaulois, mais à la suite du décès de Goscinny la qualité des histoires a diminué. Comme si la magie était morte avec de décès d’un des pères d’Astérix et d’Obélix.

Dernièrement, j’écoutais Footloose. Un autre classique de mon enfance. C’est alors que j’ai appris qu’ils refaisaient le film. Les mêmes dialogues, mais des acteurs d’aujourd'hui, dont le jeune Zac Efron. Ma réaction : « Non, pas un autre remake! » Le directeur s’en défendait en disant que c’était encore très actuel comme histoire. Ben tant mieux, mais dans ce cas qu’on repasse le film à la place de le refaire.

Je me souviens du plaisir que j’avais à découvrir les vieux films de la jeunesse de mes parents. Les Sissi, les Mélodie du bonheur et autres. Puis, un peu plus vieille, celui de voir pour la première fois les Citizen Kane, les Casablanca, les West Side Story et les Charlie Chaplin. On ne refait pas les classiques. On les apprécie. On se remet dans la peau de nos parents et de nos grands-parents pour qui tous ces films étaient des découvertes totales et qui trouvaient que les effets spéciaux étaient d’un réalisme incroyable.

Quand j’étais petite fille, je m’assoyais à quelques pieds de l’écran le samedi matin et j’écoutais mes Schtroumpfs, mes Cités d’or, mes Oiseau bleu du bonheur et mes autres bonshommes. De grâce, ne détruisez pas mes classiques avec des répliques plus « actuelles ». Vous avez vu ce qu’ils ont fait à Fraisinette, aux Câlinours et aux Transformers ? Pourquoi ne pas faire des nouveaux souvenirs qu’un jour nos enfants redécouvriront une fois adultes ? Est-ce que la créativité et l’imagination ne sont pas sans limites ? Pourquoi se limite-t-on alors ?

Crédit photo: Licence CC merlinprincesse
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À quoi on joue, aujourd’hui ?

Publié par Anik le mercredi, novembre 02, 2011 3 bouteilles à la mer...
Allez-y! Jetez-vous à l'eau !
Ayez du plaisir... Faites des niaiseries!
Sortez de votre zone de confort.
Quand vous observez les enfants, avez-vous déjà remarqué à quelle fréquence ils se posent cette simple question : « À quoi on joue? »

Et vous, chers adultes, vous posez-vous encore cette question, parfois ? Christine Michaud, dans son livre « Encore plus beau, la vie! », suggère fortement de se la poser, le matin au réveil. Et si la vie était un jeu, après tout ? Pourquoi tout prendre au sérieux ? Pourquoi ne pas mettre le plaisir au centre de notre existence.

Perso, cela fait deux ans et demi que le plaisir est au cœur de ma « trinité de valeur… » : PLAISIR, LIBERTÉ et AMOUR… Voilà mes trois valeurs fondamentales. Et je vous le dis, ma vie est tellement plus amusante et intéressante depuis… Pas le choix ! Je m’organise pour avoir du plaisir tous les jours. Et à force de me centrer sur le plaisir, j’en suis même au point où je trouve presque plaisant de faire des choses plates… Cette semaine, j’ai dû régler des papiers pour passer chez le notaire, allez chez le doc, porter les demandes de passeport de ma famille… Mais je n’ai pas maugréé… Non, j’y suis allée tout bonnement. En écoutant de la musique, en travaillant, en me remémorant qu’en faisant ces choses, j’aurai une conséquence positive (avoir ma maison à mon nom, pouvoir voyager bientôt)…

Alors, chaque jour, et si on se demandait : « À quoi vais-je jouer aujourd’hui ? » Vous amusez-vous au travail, à la maison, avec vos amis, votre conjoint, votre famille ? Quelle place accordez-vous au plaisir ? Est-ce une place suffisante pour que votre vie soit heureuse ?

Commentez ce billet et courez la chance de remporter le livre « Encore plus beau, la vie! » de Christine Michaud, publié aux éditions Un monde différent.
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La défaite

Publié par Julie le mardi, novembre 01, 2011 4 bouteilles à la mer...
Julie, souffrant comme une petite vieille - Bonjour! J'aimerais avoir votre avis pour un anti-inflammatoire ou un relaxant musculaire. ---

Pharmacienne, professionnelle - Bien. Quel genre de douleur avez-vous? ---

Julie, roulant avec peine son deltoïde - Une douleur à l'épaule. ---

Pharmacienne, consciencieuse - Comment vous êtes vous blessée? ---

Julie, essayant de hausser les épaules, sans succès - Je crains de ne pas le savoir...

Pharmacienne, suggérant - Auriez-vous fait un faux mouvement ou commencé une nouvelle activité sportive?

Julie, faisant peut-être une corrélation entre son désir de retrouver la forme et ce terrible élancement - Hon. Bien oui, justement.

Pharmacienne, de bon conseil - Si vous le pouvez, mettez votre activité physique sur la glace quelques jours. Pour votre demande, je conseille un anti-inflammatoire plutôt qu'un relaxant musculaire.

Nous nous déplaçons vers l'étalage. Elle me propose les comprimés de marque maison.

Pharmacienne, attentionnée - Voici ce dont vous avez besoin. Suivez bien la posologie, vous devriez être rétablie rapidement.

Julie, reconnaissante - J'y compte bien! Je vous remercie!

Pharmacienne, souriante - Ça me fait plaisir.

Alors que je m'apprêtais à me diriger vers la caisse, elle a donné une dernière recommandation.

Pharmacienne - J'oubliais: prenez vos comprimés avec une collation. Ce sera plus doux pour l'estomac!

Julie, comblée d'être aux petits soins - Bonne idée !

Je suis arrivée à la maison et j'ai entrepris de commencer le souper. Lorsque PapaZen et mon trio fiesta sont arrivés, j'ai été prise la main dans le sac.

PapaZen, avec un regard sévère - Ma blonde? Qu'est-ce que tu fais?

Julie, engouffrant une autre croustille - Bien quoi, je mange les croustilles que TU as achetées! La pharmacienne m'a suggéré de prendre une petite collation avec les anti-inflammatoires. Je suis tous ses conseils à la lettre!

PapaZen, piquant une croustille malgré sa "perplexité" - C'est ça, oui!

Julie, mielleuse - Je me demandais... As-tu beaucoup de travail ce soir? Il me semble que j'aurais des visées...

PapaZen, surpris - Tu n'as pas ton nouveau cours de rumba-machin, ce soir?

Julie, feignant la déception - Bien oui. C'est dommage, hein? Mais tu comprends... zumba et anti-inflammatoire ne font pas bon ménage...

PapaZen - Le repos... encore un conseil de ta pharmacienne?

Julie, acquiesçant - Eh oui! C'est une grande sage!

PapaZen, ne trouvant rien à répondre - ...

Julie, attendant une suite à son invitation - Et alors?

PapaZen - Alors quoi?

Julie, heureuse de pouvoir mettre au menu cette soirée sans une once de culpabilité - On écoute des Dexter en rafale ce soir, ou pas?

Crédits photo: Licence CC Jeff the Trojan
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