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Samedi... de fredonner!

Publié par Imparfaite-et-alors le samedi, mai 01, 2010 3 bouteilles à la mer...
Des fois, on le sait. On le sent. On n’est pas dedans. L’énergie n’est pas au rendez-vous. Notre pied traine de la patte. Notre âme vogue entre les soupirs qui sortent à grands coups de humpf :-(. Puis un petit déclic se fait. Faut se botter les fesses ! Cependant, comment faire quand on n’a pas le moral et qu'on est à plat ?

Je ne sais pas vous, mais moi, quand je veux me donner un boost de soleil-sourire-bonheur-énergie-et-dynamisme, je fais des fouilles dans mes MP3. Je vais à la recherche de mes « chansons ménage ». Le concept m’a été introduit, il y a plusieurs années, par une copine qui travaillait chez un disquaire. Grande mélomane, elle me sortait toujours des petits bijoux à découvrir. Un jour, elle m’a donné un CD en me disant : « ça c’est génial pour récurer le bol de toilette ». Probablement que mon air surpris et réfractaire à laver mon bol de toilette à l’aide d’un CD l’a obligée à m’expliquer sa théorie.

Le concept : rien de plus chiant que de faire le ménage, n’est-ce pas ? Encore pire, il n'y a rien de plus emmerdant que de laver le bol de toilette (pardonnez-mon jeu de mots). Donc en mettant de la musique qui fait sourire, cette tâche devient moins pénible. Du coup, le ménage se fait dans la joie et l’allégresse. (bon, mon dernier commentaire est un peu fort, mais je pense que vous avez compris mon propos)

J’ai donc mis son CD dans mon lecteur et, armée de mon balai et de mon éponge, j’ai fait le ménage un samedi matin pluvieux. Je chantais à et je me faisais aller le popotin de droite à gauche en époussetant. J’avais le sourire aux lèvres malgré l’intense platitude de ma besogne. Son concept fonctionnait! Je me dis alors que ce qui est bon pour le ménage, doit l’être aussi pour tous les autres moments pénibles. Quand les journées sont lourdes et longues, quoi de mieux que de se mettre de la musique légère et joyeuse? Du soleil pour les jours gris, un baume sur les cœurs endoloris. La musique peut redonner l’espoir au plus triste des êtres, s’il sait bien la choisir.

Pour moi, la chanson par excellence est Love is in the air. Tout va bien après que j’écoute le petit beat ringard de cette chanson. Dans ma compilation sourire, on y trouve des chansons de Joe Dassin, B52, The Beach boys, Jack Johnson, Black eyed peas, Cherry Poppin' Daddies et tout ce qui swing musicalement.

Dans ma compilation, il y a aussi des chansons classiques comme Mambo no5, Jump in the line, It's Oh So Quiet, Weapon of Choice et It’s a Beautifull Day. Bref, quand ça va mal, je me fais une sélection de chansons porte-bonheur. À tout coup, c’est un succès sourire. Mon crayon reprend de sa mine. Mes membres reprennent de l’énergie. Mon sourire apparait à nouveau sur mon visage et ma bouche fredonne tant bien que mal les rythmes de ma sélection. Bonheur garanti.

Bon j’admets. Souvent plus c’est kitch, plus c’est accrocheur et plus ça fait sourire. Par contre, il arrive que des chansons tout à fait respectueuses se retrouvent dans le lot. Peu importe, si ça fait sourire, ça marche! Je pense même à ajouter à ma liste la chanson thème de Toupie et Binou. Superpapa et moi la chantons parfois à Fiston. Lui, il nous regarde avec un air qui dit «c’est quoi ces parents-là !!! », mais nous on rigole bien en se dandinant au son des « tou-tou-tou-tou-toupie».

Quelles sont vos chansons ensoleillées qui font fuir les nuages gris de la vie et qui vous font sourire jusqu’aux oreilles ? Quelle est votre playlist sourires.
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Vendredi merci : merci sourires inattendus !

Publié par Anik le vendredi, avril 30, 2010 4 bouteilles à la mer...
Pour terminer en beauté ce vendredi merci, je veux dire merci aux gens qui me font sourire sans que je ne leur ai demandé.
  • Merci à cette gentille caissière qui hier, alors que je payais à sa caisse, m’a dit que j’avais un beau collier. Elle a aussi complimenté le choix de chandail que j’avais fait puis a terminé en disant que mes yeux étaient très jolis… (et non, elle ne me draguait pas, n’ayez crainte)… Je l’ai complimenté à mon tour en lui disant que je la trouvais vraiment gentille et en la remerciant chaleureusement.
  • Merci à cette dame croisée dans le stationnement qui a su m’indiquer où était la SAQ la plus proche, alors que je n’étais pas dans mon coin de banlieue…
  • Merci à ce sympathique caissier de la SAQ avec qui j’ai jasé « magasinage »….
  • Merci à mes partenaires de badminton qui ont le don de me faire sourire par leurs compliments souriants et gratuits.
  • Merci aux collègues de travail souriants avec qui il est possible de jaser sans chialer sur le travail.
  • Merci à tous ces gens que je croise et avec qui j’échange des sourires…

 
Un sourire ne coûte rien…
Mais peut faire beaucoup de bien…

Ne l’oubliez jamais.

 
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Comment se retrouver dans un champ de trèfles...

Publié par Anik le jeudi, avril 29, 2010 3 bouteilles à la mer...
J'ai rencontré récemment un homme qui me fait souvent sourire. Par ses théories et ses questions, j'ai parfois l'impression qu'il me fait avancer à vitesse turbo dans mes réflexions, dans ma découverte de la nouvelle moi... L'une des métaphore qu'il a utilisée et qui m'a fait vraiment sourire est celle du champ de trèfles... Un champ de trèfles, direz-vous ? Eh oui, ce symbole de l'Irlande constitue aussi une excellente façon de comprendre que la vie nous offre bien des occasions qu'il faut saisir...

Alors, je cède la parole, ou plutôt la plume, à mon ami Jacques Cossette...

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Mon métier est d’enseigner. Pendant quinze ans, j’ai exercé cette profession après des années de préparation et d’étude. Un diplôme et hop, on est prêt à entrer dans l’arène. Depuis deux ans, j’ai repris l’enseignement après une réorientation de 5 ans, mais dans une matière tout à fait différente de celle de mes premières armes.

Cependant, la matière n’a pas vraiment d’importance puisqu’enseigner, c’est enseigner. La grande différence, par contre, dans ce nouveau rôle est que le fait d’être prof n’est qu’une partie de mon activité professionnelle. La façon que j’ai de « distribuer » les notions pertinentes ne s’arrête pas à une présentation originale, mais bien plus un désir de m’adapter à la façon d’apprendre de mes étudiants. De plus, j’ai aussi une autre flèche à mon arc. Je réserve une partie du cours pour donner de courtes conférences sur certains aspects du comportement humain. C’est ce côté qui se révèle être la fondation de ma prochaine orientation de carrière. Et c’est aussi celle qui est le plus en harmonie avec ma personnalité la plus fondamentale.
Depuis que je provoque des occasions de « conférencer », que ce soit devant 10 ou 200 personnes, j’y retrouve ma vraie nature et je me sens de plus en plus moi-même. C’est également depuis ce temps que curieusement, je reçois des offres. Des opportunités comme celles qui se présentent en ce moment n’étaient pas au rendez-vous quand j’étais un « prof » devant une classe, même si j’ajoutais une certaine créativité dans mes cours à cette époque.

J’appelle ça être dans le « champ de trèfles ». Lorsqu’on est proche de sa nature propre, celle qui reflète nos valeurs les plus authentiques, nos actions sont en harmonie avec ces valeurs. Lorsqu’on est dans le champ de trèfles, il arrive parfois qu’un trèfle à quatre feuilles se manifeste. Ces trèfles constituent les opportunités. Mais on ne trouve pas ces "quadri foliées" dans un banc de sable. Pour les trouver, il faut aller dans le champ où ils poussent.
En reconnaissant nos talents, nos forces et nos réussites significatives, on arrive à se définir comme personne de valeur. Et cette personne aussitôt révélée saura trouver le « champ » d’action qui est le plus harmonieux. Ce n’est qu’à ce moment que les trèfles chanceux sauteront aux yeux de celui ou celle qui les garde ouverts.

JAK
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Comment retrouver le sourire ?

Publié par Anik le mercredi, avril 28, 2010 4 bouteilles à la mer...
Depuis quelques temps, j'ai l'impression de devenir une autre personne. Cette transformation a été entamée en 2009, mais s'est intensifiée depuis quelques semaines... Je disais à mon amie Edith que j'avais l'impression d'être un serpent qui mue, qui change de peau... Puis, l'image n'étant pas assez reluisante, je me suis comparée à une chenille qui devient papillon et qui peut enfin battre des ailes...

Tout cela pour dire que cette transformation me fait sourire davantage, plus souvent et avec une sincérité non feinte. Évidemment, je n'ai pas la prétention de sourire en toute occasion. Je pogne encore les nerfs contre mes enfants, contre les chauffeurs du dimanche ou contre les foutus bains (soit dit en passant, mes problèmes de rénovation se sont réglés comme par magie hier midi... Merci la vie !), mais il n'en demeure pas moins que le calme et le bonheur m'envahissent peu à peu, de façon surprenante et, ma foi, fort agréable.

Sourire à la vie, poser des gestes qui vont dans le sens de ce que l'on veut vraiment (même si ça demande une certaine dose de courage et d'affirmation de soi), n'est-ce pas là la meilleure façon de se diriger vers le bonheur ? Quel pas pourriez-vous faire vers ce que vous voulez vraiment ?
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Le bain... pour le meilleur et pour le rire...

Publié par Anik le mardi, avril 27, 2010 5 bouteilles à la mer...
Mon bain est un grand ami à moi : lieu de calme et de repos, c'est aussi le santuaire du temps pour soi... Confortablement callée dans l'eau chaude, je me permets un moment juste pour moi, dans le silence de la maison, alors que les enfants sont dans les bras de Morphée. Armée d'une pile de livres ou de mon journal d'écriture, munie de mon attirail de produits de beauté, ajoutant encens, chandelle et musique relaxante à l'ambiance, je me dorlote pour 45 minutes ou une heure, et ça me fait sourire.

Mais cette semaine, le bain est pour moi source de stress : je dois m'en procurer un pour refaire la salle de bain du sous-sol, et cette simple tâche est plus compliquée qu'il n'y paraît... Tous les bains que je veux sont en rupture de stock !!! Alors, ce matin, je vais prendre le premier du bord qui sera disponible et prier pour qu'on puisse me le livrer à temps...

Puis dans deux semaines, j'essaierai ce bain en souriant, effaçant le mauvais souvenir de sa recherche effrénée (et son effet amaigrissant sur mon portefeuille)... On devrait toujours se demander, quand on perd le sourire : « Est-ce que je me souviendrais de cet événement dans 1 jour, 1 semaine, 1 mois ou 1 an ? » Souvent, les événements auxquels on accorde un aspect négatif ne sont pas si graves que cela, non ? Sourions, ça va passer !
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Comment péter le feu?

Publié par Julie le lundi, avril 26, 2010 5 bouteilles à la mer...
J'ai une confidence à vous faire. J'ai PetiteSoeur qui vit à fond son fucking four. Et j'ai Frérot qui semble franchement attiré vers le terrible two. Je vous laisse imaginer les moments de pur bonheur que nous vivons pleinement ces temps-ci à la maison...

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Julie, de bonne humeur même si elle franchi la limite psychologique de se lever avant 5 heures du matin pour être prête à l'heure - Bon matin, mon petit zucchini chéri! Tu t'es levée toute seule ce matin! As-tu bien dormi?

PetiteSoeur, descendant les marches d'un air bourru, même après 11 heures de sommeil - Mais moi je voulais dormir encore... Et je ne veux pas aller à la garderie...

Julie, conciliante, s'approchant des escaliers - À ce que je vois, tu pètes le feu! (puis tentant de faire diversion) Tu n'as pas un petit creux?

PetiteSoeur, s'asseyant dans les marches, appuyant son menton dans ses deux mains - ...

GrandeSoeur, de la cuisine, n'en manquant pas une - Ça veut dire quoi "péter le feu"?

PapaZen, ne manquant jamais une leçon de vocabulaire, déformation professionnelle - Ça veut dire "Être vraiment de bonne humeur. Être joyeux, être content". Quand on pète le feu, la vie est vraiment belle.

PetiteSoeur, écoutant d'un air intéressé ladite leçon en mimant à la quasi perfection un air désintéressé - ...

Julie, ne manquant jamais une occasion d'ajouter son grain de sel - Comme ça, quand tu verras ton éducatrice, tantôt, et qu'elle te demandera comment tu vas aujourd'hui, tu pourras lui dire, avec ton plus beau sourire "Je pète le feu aujourd'hui, Marité!".

PetiteSoeur, soupirant comme une ado qui trouve une idée ridicule - Mais non, maman, je ne pourrai pas lui dire ça...

Julie, surprise - Mais pourquoi?

PetiteSoeur, roulant les yeux - Tu ne comprends pas maman. C'est parce que, je vais me faire chicaner...

Julie, ne comprenant pas plus - Je ne pense pas, ma puce. Elle va trouver ça drôle, Marité. C'est tout.

GrandeSoeur, se mêlant toujours de ses oignons - C'est vrai! Elle va rire. Ça va être rigolo.

PetiteSoeur, s'impatientant - Mais non! Tu ne t'en rappelles pas GrandeSoeur qu'on n'a pas le droit de parler de pets à la garderie? Je vais me faire chicaner, c'est sûr. Ça fait trop rire les garçons...

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C'est qu'en même dommage qu'en raison du niveau d'humour des petits amis, les éducatrices de garderie doivent rayer plusieurs expressions de leur vocabulaire. Ainsi, elles ne peuvent pas:
  • péter leur coche ou être en pétard (ce qui est une bonne chose, avouons-le)
  • donner une conséquence à un ami qui pète la petite pelle du carré de sable sur la tête d'un autre (mais elles peuvent le gronder si l'objet se brise)
  • servir des pets de soeurs (c'est peu santé, de toute façon)
  • péter au frette (une petite déprime est si vite arrivée...)
Par contre, on apprécie particulièrement si les éducatrices sont pétillantes et qu'elles font leur planification d'un pet (ça leur donne plus de temps pour s'adonner à leurs imMÈREfections!). Merci aux éducatrices pour leur dévouement!
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Quand dimanche rime avec sourire

Publié par Anik le dimanche, avril 25, 2010 6 bouteilles à la mer...
Julie et moi avons le sourire... parce qu'Evely a accepté de collaborer avec nous et de pondre quelques savoureux textes, de temps à autres sur IEA. Vous vous souvenez d'Evely ? Même si cette sympathique blogueuse, maman d'un petit bonhomme d'un peu plus d'un an, a fermé récemment son blogue, son envie d'écrire demeure toujours. Alors, c'est ici qu'elle prendra la parole pour vous faire rire, réagir, réfléchir...

À toi l'honneur, chère Evely...
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Il y a mille et une raisons de sourire. Si comme moi, vos racines viennent de la ville de Reims en France, vous souriez parce que les anges de la cathédrale le font. C’est un peu de là que vient l’expression « sourire aux anges ». Sinon vous souriez peut-être parce qu’on dit que les rides du sourire sont plus belles que les rides d’inquiétude. Ou encore vous sourirez parce que c’est contagieux, ou parce que sourire c’est la santé ou parce que… quelle que soit la raison pour laquelle vous souriez, elle est bonne et vous faites bien de le faire.

Cependant, la chose la plus difficile à faire, c’est de sourire quand ça va mal. C’est difficile de sourire dans les moments de tristesse, de désespoir et de deuil. Comment arrive-t-on à sourire quand les larmes nous coulent sur les joues? Et pourtant, on devrait le faire. On le sait bien. N'est-ce pas d'ailleurs ce que nous faisons quand Bébé pleure parce qu'il s’est cogné le genou? Pour le consoler, on fait les pitres. On danse comme dans Charlie Brown dans l’espoir, qu’au travers de ses larmes, naisse un sourire. Finalement, sur le coin de la lèvre tremblotante, on voit un petit pincement qui se relève et bientôt Bébé sourit alors qu’on fait une culbute arrière suivie d’un double salto. Donc, on le sait, pour faire passer la tristesse, on devrait sourire. Pourtant quand ça va mal, on a tendance à se renfermer dans notre bulle et à broyer du noir. Parfois, il y a tellement de noir qu’on ne voit plus le soleil à l’extérieur.

Ça me rappelle une anecdote qui m’a appris à sourire quand tout va mal. Comme certains (es) d’entre vous le savent déjà, ma maman est Suisse-Allemande. Quand j’étais petite, nous allions visiter mes oncles, mes tantes, ma cousine et ma grand-maman en Suisse. J’adorais passer mes vacances dans ce pays lointain avec cette langue qui danse dans la bouche. Cependant, quand arrivait le temps de partir, je devenais triste et je me fâchais facilement et pour un rien. Le dernier soir à la gare de train, mes tantes et ma maman discutaient en suisse-allemand. Je ne comprenais rien, mais j’écoutais. Puis elles se sont mises à rire. Pas juste un peu, aux éclats. J’en étais outrée. C’était tellement pas le moment de rire. Nous allions partir pour plusieurs années. C’était d’une tristesse incroyable et elles arrivaient à en rire!!! Après coup dans le train en direction de Paris j’ai demandé à ma maman pourquoi elles avaient gâché un moment endeuillé en faisant des blagues. Puis ma maman m'a regardée et m'a dit que c’était pour sourire. Elle ne voulait pas que le dernier souvenir qu'elle conserverait de sa sœur et de sa belle-sœur pour plusieurs années soit de les voir pleurer. Elle préfère se souvenir des gens quand ils sont tout sourire. Comme ça elle oublie les mauvais moments et ne garde que les bons. Je n’avais que huit ans, mais j’ai bien compris cette leçon de vie. Et depuis, j’essaie tant bien que mal de l’appliquer.

Voilà tout un défi malgré tout, que de sourire quand ça va mal. Il faut prendre une grande respiration, fermer les yeux et se distancer de notre douleur. Sauf que c’est vrai, quand on sourit il y a un petit rayon de soleil qui s’installe au travers la noirceur de cet instant difficile.

Je pense que le bonheur se cache dans la capacité que l’on a à sourire dans l’adversité. Bref, rire dans la face du malheur. Quoi de plus difficile, mais de plus gratifiant. C’est quand on se rend compte que finalement, malgré tout, on va bien. Et ça, ça vaut bien un sourire!
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Samedi... de sourire!

Publié par Julie le samedi, avril 24, 2010 4 bouteilles à la mer...
{ce moment} - Un rituel initié par Soule mama et suivi par des blogueuses telles que M comme maman et Mamanbooh. Une seule photo - aucun mot - capturant un moment de la semaine. Un moment simple, spécial ou extraordinaire. Un moment à capturer pour le savourer et le garder dans nos souvenirs.

PetiteSoeur, tout excitée par son premier spectacle de danse - Maman, tu me mettras du "jour à lèvres"?

GrandeSoeur, toujours dans son rôle de grande soeur - PetiteSoeur, on dit du "rouge à lèvres"!

PetiteSoeur, pleine d'assurance - Pffftt. Je le sais! C'est juste que moi, je le dis en anglais!


© Julie
Sur la scène, je vais faire des beaux sourires!
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Vendredi merci : merci de me faire sourire !

Publié par Anik le vendredi, avril 23, 2010 5 bouteilles à la mer...
Ah! C'est vendredi... Vendredi d'une semaine particulièrement particulière de particularités..., comme dirait Pat Duval... Comme Nolwenn, La Belle, Mamanbooh et compagnie, je me lance dans mon vendredi merci... Cette semaine, malgré mes problèmes de bouche (!!!), j'ai beaucoup souri, étant de très bonne humeur. C'est que la vie me sourit elle aussi, et pour cause, depuis vendredi dernier :
  • j'ai passé une première journée officielle monoparentale de fin de semaine bien occupée et agréable (malgré l'incident de fin de journée)
  • j'ai passé un super dimanche à relaxer en bonne compagnie
  • j'ai pris congé lundi et passé un moment merveilleux et mémorable...
  • je me suis fait masser lundi soir : délectable ! Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas pris de rendez-vous pour cela.
  • j'ai reçu une offre pour un contrat intéressant, avec Julie, qui devrait se concrétiser bientôt.
  • j'ai reçu sans le demander une offre pour écrire dans une nouvelle revue et le défi est motivant à relever...
  • j'ai trouvé des locataires pour mon sous-sol (mes travaux débutent lundi pour terminer le bachelor)
  • je retourne au badminton ce soir, après 8 semaines d'absence dues à mon pied fracturé. Je jubile!!!
Bref, les choses vont bien. Réellement bien. Je suis heureuse de la tournure des événements... Et je dis merci à la vie de me sourire autant... Je vais lui rendre le mieux que je peux, en souriant à mon tour... :-)

Comment la vie vous sourit-elle ?
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Correspondance: Le ciel est bleu, la mère est calme

Publié par Julie le jeudi, avril 22, 2010 3 bouteilles à la mer...
Ouf quelle semaine! Rien de mieux qu'un bon échange de courriels entre copines pour ventiler. ---

De : Julie ---
Envoyé : 20 avril 2010, 8:35 ---
À : Anik ---
Objet : Le ciel est bleu, la mère est calme ---

Allô Anik,

Je respire.
  • je dois finir le bulletin de Carrefour
  • j'ai 2000 courriels en attente (je les transfère tous à mon collègue en espérant qu'il pourra s'en occuper)
  • j'ai poireauté 1h30, dehors, dimanche matin, pour avoir un rendez-vous à la clinique d'urgence pour Frérot. Diagnostic: une 5e otite!
  • je suis donc allée à la pharmacie pour des antibiotiques, j'ai (re)pris un rendez-vous en ORL, me suis informée pour l'acupuncture et ai convaincu PapaZen que ce n'était pas si ésotérique que ça
  • après avoir réussi à convaincre la secrétaire de ne pas raccrocher parce que le nombre de patients maximal était atteint, je suis retournée à la clinique lundi soir car Frérot a eu un rash de boutons. Diagnostic: pas d'otite pantoute, une roséole
  • j'ai annulé le rendez-vous ésotérique pris en catastrophe et me questionne pour celui en ORL
  • puisque le médecin a oublié de nous dire si c'était contagieux, Frérot est allé à la garderie ce matin et il est présentement à un rendez-vous de routine en ophtalmologie avec PapaZen et PetiteSoeur (belle leçon de civisme!)
  • il y a ce truc qu'on nous a proposé pour IEA? et je n'ai pas deux minutes devant moi pour y penser. Au secours!
  • mon covoitureur a pris congé aujourd'hui, je dois donc me taper 3 heures de transport en commun
  • je n'ai pas écrit un seul billet de blogue depuis le début de la semaine
Je RES-PI-RE.

C'est quoi le thème de la semaine donc? Ah oui, le sourire!

Julie


Anik répond à Julie


De : Anik
Envoyé : 20 avril 2010, 12:28
À : Julie
Objet : RE : Le ciel est bleu, la mère est calme

Que dire ?

Ouf! Reouf!
Je suis essoufflée juste à te lire.

Je t'ai laissé un message sur ta boîte vocale pour t'encourager.

Mon diagnostic: Ta liste est trop longue et tu veux trop bien faire.
Ma prescription: Tourne les coins ronds et prends congé jeudi.

Anik

P.-S. Ne t'en fais pas pour le billet... Je suis certaine qu'Evely a plein d'idées ;-)

Julie répond à Anik


De : Julie
Envoyé : 20 avril 2010, 14:08
À : Julie
Objet : RE : RE : Le ciel est bleu, la mère est calme

Prendre congé jeudi... Tu me tentes...

PapaZen vient de m'appeler. J'ai pensé mettre des collations dans le sacs, des biberons, des couches... Mais j'ai oublié de mettre les cartes d'hôpital! Oups...

J'ai aussi glissé la mauvaise carte d'assurance maladie de PetiteSoeur. Tu sais, celle qui est expirée? ReOups...

Il avait des fleurs dans son coeur, PapaZen.

Julie
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Souriez... vous avez une belle bouche !

Publié par Anik le mercredi, avril 21, 2010 5 bouteilles à la mer...
C'est toujours intéressant de sourire lorsqu'on a une belle bouche... Mais la semaine du sourire me met à rude épreuve. Tout simplement parce que je suis dotée d'un beau feu sauvage qui est apparu hier matin... Mon corps me fait savoir (comme à chaque fois que ça m'arrive) que je suis fatiguée... Mais à force de me coucher à 23h00 ou à minuit, vient un moment où je ne suis plus capable de suivre, malgré que je sois très énergique...

Alors, question de sourire davantage, je me suis couchée plus tôt hier... 22h00, hop au lit !
On verra bien ce que ça va donner... Reste que feu sauvage ou pas, il me semble que le sourire illumine le visage, non ?

On vous complimente sur votre sourire ? Y a-t-il des petits désagréments physiques qui vous empêchent de sourire ? En tout cas, je n'ai d'autres choix que de sourire tout de même, parce que je travaille à l'extérieur aujourd'hui, alors je vais croiser bien du monde... avec le sourire ! (et une bonne couche de rouge à lèvres !!!) Une chance que j'ai les lèvres déjà pulpeuses, ça paraît moins ! ;-)
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Souriez... vous n'allez pas être en «crisse» toute la journée!

Publié par Anik le mardi, avril 20, 2010 3 bouteilles à la mer...
Samedi dernier fut ma première journée officielle de mère monoparentale. Nous avons décidé de nous séparer les fins de semaine (moi, je fais les samedis, lui, les dimanches) afin de bénéficier de plus de temps. Personnellement, je vais devoir travailler les dimanches (du moins, tenter de le faire même si c'est le jour du Seigneur...), question d'ajuster mes finances à ma nouvelle situation. Mais cela ne m'empêchera pas de faire (un peu) la grasse matinée (grasse, le mot est fort : à 8h30, je pense qu'on peut parler de matinée «grassette», ou avec des rondeurs, sans plus).

Enfin, tout cela pour revenir à mon samedi... Bizarrement, quand je suis seule avec les enfants, les choses vont assez rondement. J'avais planifié une journée bien remplie : à 10h15 nous avons quitté la maison pour aller à l'heure du conte... Pendant que Dynamite participait à l'activité (les deux autres n'ont pas entre 3 et 5 ans, donc inadmissibles), moi, Philosophe et AngeCornue nous sommes installées pour lire tranquillement. Petit moment de bonheur simple, avec le sourire. Que j'aime lire avec mes enfants ! (surtout quand je peux lire mes livres ! hihi!)

Ensuite, suivant l'impulsion du moment (et surtout, mon envie quasi viscérale de ne pas faire le dîner), nous sommes allés dîner au royaume du fast-food : le McDonald's... Soit dit en passant, je pense que ce serait potentiellement un bon endroit pour draguer, parce que nous étions 4 parents seuls dans la petite salle de jeux. Les 3 autres étant des pères qui ne doivent pas avoir l'habitude de cuisiner ou qui, comme la plupart des hommes, ne se cassent pas la tête pour concocter des repas équilibrés le samedi midi... ;-) Autre moment de sourire : manger du gras, continuer ma lecture, me laisser bercer les oreilles par une musique d'ascenceur et des cris d'enfants... Un pur délice !

Ensuite, direction Costco pour quelques achats, dont le CD de Lady Gaga et du café froid moccachino que j'adore... Sans parler de toutes les dégustations gratuites du samedi... Plein de sourires en perspectives, et des bisous pour les filles qui se tenaient à la hauteur de mon visage, bien assise dans le panier d'épicerie...

Je suis ensuite allée conduire Philosophe chez un petit copain, puis j'ai fait de la sauce à spaghetti en écoutant de la musique que j'adore (j'ai découvert ITunes en retard, mais c'est super pour classer de la musique). L'odeur de cette sauce me fait aussi sourire... Et certaines chansons, évidemment...

Après le souper, j'ai plié mes 2 énormes brassées de lavage avec AngeCornue... Tout allait bien, au point où je suis ensuite descendue pour écrire un courriel à un ami, ce qui me fait grand plaisir également... Le sourire au lèvre, je sirotais mon fameux mochaccino... Vint alors le moment de quitter la maison pour aller cueillir Philosophe chez son copain...

C'est alors que Dynamite me dit : « Je ne peux pas partir tout de suite, il reste du sable dans la chambre de Philosophe!»...

Du sable??? Du sable??? Mon cerveau se met à faire une constatation rapide. Philosophe a fait des balles de relaxation avec des « ballounes » qu'elle a rempli de sable. Je lui ai demandé de les cacher pour éviter que ses soeurs ne les trouvent... mais Dynamite a un 6e sens pour trouver ce qu'elle ne devrait pas trouver...

Je grimpe les escaliers 2 à 2 et j'arrive dans la chambre pour constater que la plage de Riviera Maya est rendue à Laval ! Il y a du sable partout ! Merde! Merde ! et Remerde ! En un éclair, je suis maintenant en crisse (pardonnez ce québécisme, lecteurs français : je suis en beau joalvert... euh... je suis en pétard ! ça se dit, ça ?)...

Je ne souris plus... Pourtant, j'aurais dû prendre cela avec un grain de sable (lapsus... un grain de sel!)...
Mais je n'y suis pas arrivée sur le moment... Ça m'a pris un petit moment...

Morale : ne pas oublier de sourire, et faire le focus sur l'enfant et non sur la gaffe (pauvre petite Dynamite, elle avait été chercher le balai et tentait tant bien que mal de nettoyer, mais il y avait vraiment trop de sable)...

Alors, souriez... vous ne serez pas en crisse toute la journée!
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Souriez... vous êtes maman!

Publié par Anik le lundi, avril 19, 2010 5 bouteilles à la mer...
Transportez-vous dans le temps... Dans les tréfonds du votre mémoire, retrouvez le premier sourire de votre bébé ? Son petit sourire aux anges, puis son premier sourire franc et sincère, alors qu'il répondait avec bonheur à votre propre sourire ? Cela vous avait transportée de joie, vous aviez assurément ressenti un élan d'amour incroyable pour votre charmant poupon. Malgré ses fesses odorantes, ses régurgitations sur votre chandail propre, ses pleurs... Un seul sourire et rien de tout cela n'avait plus d'importance ... Encore aujourd'hui, je suis convaincue que le sourire qui illumine le visage de vos enfants ou de vos ados vous fait toujours chaud au coeur.

Il est vrai que le sourire est communicatif... Source de bonheur. Avez-vous déjà essayé d'être en *!%#$! alors que vous souriez ? Tentez l'exercice et vous le constaterez, cela s'avère quasi impossible. Considérant cet outil accessible et tout à fait gratuit (surtout comparé au tarif horaire de mon jardiner en bedaine... (on trouve le bonheur où on peut... héhé!)), pourquoi ne pas l'utiliser davantage ?

Pour les deux prochaines semaines, IEA se penche donc sur le sourire et les petits bonheurs de la vie...

Qu'est-ce qui vous fait sourire ? Allez, partager ! Et surtout, souriez ! :-)
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Comment se débarrasser de la déprime ?

Publié par Anik le dimanche, novembre 08, 2009 11 bouteilles à la mer...
Facile ! Il suffit de regarder cette vidéo d'une minute...



Souriez!
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