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Comment déclarer votre amour en chanson... sans chanter (mais en faisant rire!)

Publié par Anik le dimanche, février 17, 2013 4 bouteilles à la mer...
Mon chum et moi étions crampé devant ce mec qui interprète, à sa façon, une chanson d'amour de Phil Collins... Avis à tous les célibataires écoeurés de l'être... Il y a de l'espoir, et du rire en attendant. Pour ceux qui sont en couple, la technique mérite d'être analysée. Qui ne craquerait pas (ou plutôt, qui ne laisserait pas aller quelques gouttes dans sa petite culotte) après avoir vu son conjoint ou sa conjointe faire ça ?

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Un concours pour la St-Valentin

Publié par Evely le jeudi, février 02, 2012 8 bouteilles à la mer...
Je n’avais plus pensé au Garçon-qui-sourit-tout-le-temps depuis des années. C’est Superpapa qui me l’a rappelé indirectement alors que nous cherchions un joli prénom pour bb2. Jusqu'à ce qu'il propose celui-là, si un nom plaisait à l’un, il déplaisait à l’autre. Un prénom simple, beau et qui sonne bien. Au début, je l’avais mis sur la liste, mais bien vite, il est devenu le seul nom de la liste.

Plus je le prononce, plus je l’aime. Quand je le dis aux autres, j’ai toujours le même commentaire. « Oh, j’en connaissais un! Il était vraiment gentil, c’est un beau nom... ». Sur le coup, j'ai pensé en connaitre seulement un aussi. Un ami de mes parents. Un Français. Un très gentil monsieur. Je me souviens qu’il était un peu mal à l’aise avec les enfants, mais qu'il essayait vraiment de nous faire sourire. Il n’avait pas d’enfants, mais je pense que c’était parce qu’il n’avait pas encore trouvé la future maman de ceux-ci.

Alors que la Saint-Valentin approche, je me suis rappelée que j’en connaissais un autre. Le Garçon-qui-sourit-tout-le-temps. Il allait à l’école avec moi. Un blondinet qui ressemblait presque au Petit Prince d’Exupéry. Il était gentil. Je l’aimais bien comme camarade de classe.

En deuxième année, il m’a donné une carte pour la Saint-Valentin. Il y avait deux abeilles dessinées dessus. Elles étaient assises sur une fleur et se donnaient la main. Ça m’avait beaucoup touchée. À l’époque, je me voyais comme étant le vilain petit canard avec mes lunettes à grosse monture, avec mes sourcils qui se rendaient jusqu’à mon nez, avec mon corps trop grand pour la petite fille que j’étais et avec mon accent qui était source de moquerie de la part des autres enfants.

Il était mon tout premier Valentin. Je ne l’aimais pas comme un amoureux, mais j’aimais le voir sourire, chose qu’il faisait tout le temps. Je me disais qu’il devait vraiment être heureux, car je ne le voyais jamais triste ou fâché, il souriait tout le temps et c’était parfait.

Plus tard, à la récréation, j'avais parlé avec les autres filles. J'ai appris qu'elles avaient toutes reçu une carte de sa part. Ça ne m’avait pas attristée, au contraire. Il répandait un beau sourire sur les visages de tous les autres enfants. J’aimais ça et j’étais contente d’être une de ses valentines et qu'il soit, lui, mon seul valentin.

Si mon enfant peut être aussi souriant que le Garçon-qui-sourit-tout-le-temps, je serai très fière. Je me dirai que très probablement, il fait du bien à un vilain petit canard qui a besoin de beaux sourires comme ça pour ensoleiller ses journées.

Tout cela m'amène à vous proposer un concours.

Racontez-moi votre premier valentin en commentant ce billet. Je vais tirer un nom le samedi 4 février prochain. La gagnante sera annoncée dans les potins du dimanche. Le prix est une magnifique cravate que vous choisirez pour votre amoureux dans la collection disponible sur le site Sowee. Après tout, la Saint-Valentin, c’est le meilleur moment pour faire un petit cadeau à celui que l’on aime et les hommes sont toujours séduisants en cravate.

Crédit photo : ©Sowee.ca
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J’aime…

Publié par Anik le mercredi, février 01, 2012 1 bouteilles à la mer...
Il y a bien des choses que l’on peut aimer dans la vie. Les cappuccinos glacés… et encore plus s’ils sont recouverts de crème fouettée… Nos enfants… L’homme de notre vie (ou de notre lit)… Faire la grasse matinée… Acheter à gros rabais un objet longtemps convoité. Partir en voyage sans courriels…

Enfin, vous comprenez le topo. Notre vie est remplie d’éléments à aimer. Mais si l’amour ultime devait aller plus loin ? En fait, en lisant le livre Lettre à un ami malheureux, Marc Fisher parlait simplement d’aimer « sa situation », quelle qu’elle soit. En fait, lorsqu’on aime sa situation, on n’a d’autres choix d’être bien dans l’instant présent. Je vous l’accorde, ce n’est pas toujours facile. Cependant, chaque situation recèle sûrement d’un petit quelque chose d’aimable ou de positif. Le défi, c’est de s’entraîner à le voir, à le mettre en avant-plan. Par exemple, pris dans le trafic hier, dans la neige, je me suis amusée à écouter une chaîne de musique classique, ce qui m’a calmée du coup et a rendu mon trajet agréable. Je travaillais à 18h, mais je suis partie plus tôt en transport en commun, ensuite, pour aller enseigner. Prête à l’avance, j’ai pris le temps de me payer un petit trio McDo avec les coupons. Un petit bonheur juste avant le travail! Et quand je regarde ma situation globale, mis à part les millions de riche héritière qui me manquent et sur lesquels je ne peux pas compter, bien je me dis que je suis choyée… Il faut juste que je le garde en tête, malgré l’hiver, les bugs du quotidien…

Oui, garder en tête d’aimer notre situation. Ce qui n’empêche nullement de travailler à l’améliorer. Un sourire, avec ça ?

N’oubliez pas, c’est la dernière semaine pour gagner votre exemplaire de l’excellent roman de Fisher, publié aux éditions Un monde différent. La gagnante sera connue la semaine prochaine.
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Se tordre le coeur par amour

Publié par Evely le vendredi, juillet 08, 2011 5 bouteilles à la mer...
Avez-vous déjà pleuré jusque dans le fond du cœur ? Avez-vous déjà supplié que ce moment finisse ? Est-ce que vous avez déjà voulu juste fermer votre tête comme on ferme les yeux pour ne plus rien voir ? Avez-vous déjà eu envie de crier à vous déchirer les cordes vocales, à cracher vos tripes ?

Moi aussi.

Il y plusieurs années de ça. Je parlais au téléphone avec une amie de ma colocataire. Elle me demandait si elle était là. Déçue que non, elle s’est mise à pleurer. Je ne la connaissais pas vraiment, en fait je l’avais vu une fois dans une soirée. Je lui ai demandé ce qui se passait. Elle m’a expliqué que son copain de l’époque venait de la larguer. Elle avait mal. Très mal. Je l’écoutais alors qu’elle essayait de reprendre le contrôle sur ses émotions.

« Arrête donc. Tu as le droit de pleurer, de crier, de sacrer. Non, tu en as le devoir. Tu l’as aimé à t’en arracher le cœur, ben pleure-le avec autant d’amour. »

Surprise de ma réaction, elle ne dit rien pendant un instant. Ça faisait une semaine que tous ceux qui la croisaient lui disaient qu’il y a d’autres poissons dans la mer et qu’elle était de toute manière trop bien pour lui.

« Ouin pis, tu l’aimais, tu l’aimes encore, ben pleure, on s’en fout de la mer, on s’en fout que tu sois trop bien pour lui. Dans ton cœur, c’était lui et c’est tout. »

Silence de quelques secondes.

« Sais-tu, je t’envie moi. Tu as une peine d’amour, ça veut dire que tu as aimé autant que ça. Moi, je n’ai jamais été amoureuse. Je ne pleurais pas à m’en arracher les cheveux, parce que je n’ai pas aimé à m’en exploser la cervelle. Je t’envie, les émotions c’est la plus belle partie de la vie. Oui, là, ce sont celles qui font mal, mais tu as eu pendant cinq ans celles qui font du bien. Ça vaut des larmes, ça. Des larmes de joie d’avoir vécu et de mal d’avoir perdu. »

Elle ne pleurait plus. En fait, elle était contente de l’avoir aimé. Ça lui a pris deux mois après ça pour oublier qu’elle le voyait dans sa soupe. Elle en a trouvé un autre, puis plusieurs autres. Après tout, c’était quand on était encore jeune. Cependant, plus tard, elle m’a dit, que cette fois-là, ce que je lui avais dit lui a fait prendre conscience de combien c’est important de pleurer pour vivre et pour aimer.

J’ai pleuré pour Superpapa et pour P’tit Clown et je pleurais jusque dans le fond du cœur cent fois encore pour eux, c’est à ce point que je les aime. Je supplierais que les moments sans eux n’existent pas. Je fermerais ma tête comme on ferme les yeux si je ne pouvais pas les voir. Je crierais à m’en déchirer les cordes vocales, à cracher mes tripes pour eux. Et surtout, j’en serais heureuse parce que je les aime à ce point.
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